L'amortissement variable (par unités d'oeuvre) : définition, calcul et exemple. En comptabilité, aucune méthode d’amortissement n’est interdite.
Une entreprise peut faire le choix d’amortir ses biens selon des modes traditionnels (linéaire ou dégressif). Mais elle peut également opter pour un amortissement variable, également appelé l’amortissement sur la base des unités d’oeuvre. Compta-Facile présente cette méthode d’amortissement en répondant à différentes questions : Qu’est-ce que l’amortissement variable ? L’amortissement variable consiste à calculer la perte de valeur d’un bien en fonction des conditions prévues de son exploitation.
Amortissement linéaire ou dégressif : que faut-il choisir? L’amortissement est une technique comptable qui permet de constater la dépréciation de la valeur des investissements (machines, véhicules, bâtiments…).
L’amortissement, c’est quoi ? Amortir, c’est constater dans le bilan et dans le compte d’exploitation la dépréciation de la valeur d’un investissement. Les écritures comptables. Compta écritures. Les immobilisations - Memo Compta. Les immobilisations sont des biens durables, acquises par l’entreprise pour être garder au moins un an.
Les biens d’une valeur supérieure à 500 € HT. Les immobilisations doivent être enregistrés dans un compte d’immobilisation (compte de la classe 2). Ainsi, ils apparaîtront à l’actif du bilan (actif immobilisé). La charge que représente ces investissements sont comptabilisées via les dotations aux amortissements (compte 68) en fin d'exercice comptable.
La charge est répartie sur plusieurs année. Il existe 3 types d’immobilisations : Les immobilisations corporelles (sous-compte de 21. Facture d'achat - Memo Compta. Une facture est un document comptable attestant que le fournisseur doit livré de la marchandise ou accomplir une prestation de service pour son client.
En contrepartie, le client et redevable vis à vis de son fournisseur du montant figurant sur la facture. Il s’agit donc d’un contrat de vente. Quelles mentions doivent apparaître sur une facture ? Une facture pour être valable doit comporter les éléments suivant : le nom et l’adresse complète du client et du fournisseur (siège social) ;la dénomination précise ;le numéro Siret (SIREN + RCS);le numéro de TVA intracommunautaire;la date de la vente ou de la prestation de service ;le numéro de facture unique ;le prix unitaire de la vente ou du service HT ;la quantité et la désignation précise des produits ou servicesle montant des remises ;le taux de TVA ainsi que son montant.
Cette liste énumère les mentions courantes. Fiche ressource 2 - Les factures d’avoir. L'enregistrement comptable des factures d'achats. Page mise en ligne avant 2006 Voyez aussi les pages : Comptabiliser les factures d'achats L'enregistrement comptable des salaires L'enregistrement comptable des dons manuels et des cotisations Les achats sont classés selon les critères retenus pour la nomenclature des stocks : les comptes 601, 602 et 607 correspondent aux comptes 31, 32 et 37 Prix d'achat et TVA Les achats sont comptabilisés hors taxe déductible.
Les obligations comptables de droit commun. Les personnes morales et physiques commerçantes doivent établir des comptes annuels, procéder à l'enregistrement chronologique des mouvements affectant le patrimoine de l'entreprise, vérifier l'existence et la valeur des éléments d'actifs et passifs (inventaire) et tenir les documents correspondant (un livre journal, un grand‐livre et un livre d'inventaire).
Toute la comptabilité est basée sur l'existence de pièces justificatives qui peuvent être internes à l'entreprise (fiches de paies) ou externes (factures). Ces pièces justificatives seront enregistrées dans un certain nombre de documents obligatoires, avant d'être centralisés pour donner naissance aux comptes annuels et à l'annexe. Ces comptes sociaux feront ensuite l'objet d'une publication. Au coeur du droit comptable. Une clause d'exclusivité générale et imprécise est illicite. Le contrat de travail d’un salarié à temps complet occupant les fonctions de chef de marché marketing dans une société d’édition et effectuant ses tâches par télétravail, contient une clause par laquelle il s’engage expressément à demander l’autorisation de la société pour toute activité complémentaire qu’il souhaiterait exercer.
Profitant de ses capacités de maniement de l’outil informatique, l’intéressé crée et exploite une société de vente en ligne de vêtements. Il est licencié pour avoir ainsi violé sa clause d’exclusivité, sans qu’aucune incidence de cette activité sur la qualité de son travail salarié lui soit repprochée. Estimant la clause d’exclusivité illicite, la cour d’appel juge le licenciement dépourvu de cause réelle et sérieuse et condamne l’employeur à payer à l’intéressé une somme au titre du licenciement abusif. Le pourvoi formé par l’employeur est rejeté. Pour la Cour de cassation, les juges du fond ont légalement justifié leur décision. Dissimuler un cumul d'emplois peut constituer une faute grave. En principe, un salarié peut cumuler plusieurs emplois (sauf clause contraire de son contrat de travail) à condition de faire preuve de loyauté envers ses employeurs en n'exerçant pas d'activités concurrentes.
Cette liberté cède toutefois devant l'obligation de respecter les durées maximales quotidiennes et hebdomadaires de travail, en particulier pour des raisons de santé et de sécurité. A noter : La durée de travail ne peut pas dépasser, sauf dérogations, 10 heures par jour et 48 heures sur une même semaine (C. trav. art. L 3121-18 et L 3121-20). La durée hebdomadaire moyenne de travail calculée sur une période quelconque de 12 semaines consécutives ne peut pas, en outre, excéder 44 heures (C. trav. art. L 3121-22). En l'espèce, un salarié travaille à temps partiel pour un premier employeur dans le cadre d'un contrat de travail à durée indéterminée (CDI) en qualité d'agent d'entretien et pour un second employeur en tant qu'assistant en contrat à durée déterminée.
Cécilia DECAUDIN.