Jean Racine. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Pour les articles homonymes, voir Racine. Jean Racine Portrait de Racine Œuvres principales Jean Racine (La Ferté-Milon, 22 décembre 1639 - Paris, 21 avril 1699) est un dramaturge et poète français, considéré comme l'un des plus grands auteurs de tragédies de la période classique en France. Privilégiant les sujets grecs, Racine, cherchant à rivaliser avec Pierre Corneille, a néanmoins traité trois sujets romains, et un sujet moderne, Bajazet (1672), mais décalé dans l'espace puisque se déroulant dans l'Empire ottoman. L'économie des moyens (densité du propos avec un nombre restreint de mots pour toutes ses œuvres, utilisation du confident pour rendre plus naturelle l'expression des personnages), la rigueur de la construction (situation de crise menée à son acmé), la maîtrise de l'alexandrin et la profondeur de l'analyse psychologique font des œuvres de Jean Racine un modèle de la tragédie classique française.
Biographie. Le Malade imaginaire. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Le Malade imaginaire est la dernière comédie écrite par Molière. Il s'agit d'une comédie-ballet en trois actes (comportant respectivement 8, 9 et 14 scènes), représentée au Théâtre du Palais-Royal le par la troupe de Molière ; après les « comédies désespérées » (Dom Juan ou le Festin de pierre et Le Misanthrope ou l'Atrabilaire amoureux), elle retrouve une certaine inspiration de la commedia dell'arte, mais d'une qualité bien supérieure aux premières farces de Molière. La musique est de Marc-Antoine Charpentier et les ballets de Pierre Beauchamp. Personnages[modifier | modifier le code] ARGAN : « Ah ! Argument[modifier | modifier le code] La pièce tourne essentiellement autour d'Argan, qui est le « malade imaginaire » qui a donné son titre à la pièce.
Il se fait faire des saignées, des purges et prend toutes sortes de remèdes, dispensés par des médecins pédants et soucieux davantage de complaire à leur patient que de la santé de celui-ci. George Dandin - Théâtre Douze - Maurice Ravel. Le texte théâtral : Les genres théâtraux. Genres littéraires ► Le théâtre ► vous êtes ici Genres littéraires : Le théâtre Le texte théâtral Article rédigé par Roula NASRANI.
Introduction La notion de genre au théâtre n’a de sens que dans certains pays et à certaines époques. La tragédie La tragédie décrit une crise grave où les personnages, en proie à de fortes passions, s’affrontent sans pouvoir éviter un dénouement malheureux. La scène est à Buthrote, ville d’Épire, dans une salle du palais de Pyrrhus. Jean Racine, Andromaque, 1667. Le lieu est unique. . → Lire : Historique et règles de la tragédie. La comédie et la farce La comédie cherche à divertir, à faire rire, par une intrigue légère ou en peignant les caractères de certains personnages. Alceste, amant de Célimène. Molière, Le Misanthrope, 1666. Les personnages sont d’origines sociales diverses. . → Lire : Les procédés du comique. → Lire : La farce. Le drame Le drame est apparu dans la première moitié du XIXe siècle. George Dandin ou le Mari confondu. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Personnages[modifier | modifier le code] George Dandin est un riche paysan. En échange de sa fortune, cédée à monsieur et madame de Sotenville, il acquiert un titre de noblesse, (Monsieur de la Dandinière), un rang et une épouse, Angélique. Mais sa jeune femme n'a jamais voulu cette union. Elle se refuse à lui faire un enfant. [modifier | modifier le code] Portrait de Molière par Charles-Antoine Coypel. La pièce se termine mal, George Dandin étant sans arrêt dupé par tout le monde, des aristocrates aux domestiques, avec un acharnement sadique de la part de sa femme, de l'amant et de la servante de celle-ci.
Cependant, la solitude et le sort tragique du protagoniste principal a permis plusieurs mises en scène assez originales. Tout Molière - Le site de référence sur l'œuvre de Molière. Règles du théâtre classique. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Le théâtre de la seconde moitié du XVIIe siècle est souvent appelé théâtre classique parce qu'il répond à un ensemble de règles inspirées du théâtre antique. D'abord tacites, ces règles, connues sous le nom de règles des trois unités, furent formulées explicitement par l'abbé d'Aubignac et avant lui par l'érudit italien Jules César Scaliger et furent préconisées en 1630 dans la Lettre sur l’art dramatique de Jean Chapelain, conseiller du cardinal Richelieu[1]. Régentant une bonne part du langage théâtral de l'époque, elles sont caractéristiques de ce qu'on appela plus tard le théâtre classique. Elles sont introduites en 1634 dans le chef-d’œuvre de Jean de Mairet, Sophonisbe[2].
Qu'en un lieu, qu'en un jour, un seul fait accompliTienne jusqu'à la fin le théâtre rempli. La règle des trois unités[modifier | modifier le code] En un jour : l'unité de temps[modifier | modifier le code]