The New Wizard of the West. An interview with Tesla, the Modern Miracle-Worker, who is Harnessing the Rays of the Sun; has Discovered Ways of Transmitting Power without Wires and of Seeing by Telephone; has Invented a Means of Employing Electricity as a Fertiliser; and, Finally, is Able to Manufacture Artificial Daylight. From Pearson's Magazine, May 1899 Index to Illustrations [Tesla's proposed arrangement of balloon stations for transmitting electricity without wires.]
NOT to stagger on being shown through the laboratory of Nikola Tesla requires the possession of an uncommonly sturdy mind. No person can escape a feeling of giddiness when permitted to pass into this miracle-factory and contemplate for a moment the amazing feats which this young man can accomplish by the mere turning of a hand. Fancy yourself seated in a large, well- lighted room, with mountains of curious-looking machinery on all sides. Scarcely have you begun to marvel when the light goes out by a touch on a button by the young man's hand. Tesla turbine. Tesla turbine The Tesla turbine is a bladeless centripetal flow turbine patented by Nikola Tesla in 1913. It is referred to as a bladeless turbine because it uses the boundary layer effect and not a fluid impinging upon the blades as in a conventional turbine. The Tesla turbine is also known as the boundary layer turbine, cohesion-type turbine, and Prandtl layer turbine (after Ludwig Prandtl). Bioengineering researchers have referred to it as a multiple disk centrifugal pump.[1][2] One of Tesla’s desires for implementation of this turbine was for geothermal power, which was described in "Our Future Motive Power".[3] Description[edit] View of Tesla turbine "bladeless" design Tesla wrote, "This turbine is an efficient self-starting prime mover which may be operated as a steam or mixed fluid turbine at will, without changes in construction and is on this account very convenient.
This turbine can also be successfully applied to condensing plants operating with high vacuum. Pump[edit] Tesla Other. Ball lightning. A 1901 depiction of ball lightning Ball lightning is an unexplained atmospheric electrical phenomenon. The term refers to reports of luminous, spherical objects with diameters varying from pea-sized to several meters. It is usually associated with thunderstorms, but lasts considerably longer than the split-second flash of a lightning bolt. Many early reports say that the ball eventually explodes, sometimes with fatal consequences, leaving behind the odor of sulfur.[1][2] Many scientific hypotheses about ball lightning have been proposed over the centuries. In January 2014, spectrography data that were captured by chance (discussed below) lent support to the vaporized silicon hypothesis. Scientific data on natural ball lightning are scarce, owing to its infrequency and unpredictability.
The presumption of its existence is based on reported public sightings, and has therefore produced somewhat inconsistent findings. Historical accounts[edit] Wells, Somerset[edit] The Catherine and Mary[edit] Étoile à neutrons. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Historique[modifier | modifier le code] Le concept d'étoiles à neutrons est né immédiatement après la découverte du neutron en 1932 par James Chadwick. Le physicien Lev Landau proposa alors qu'il puisse exister des astres presque entièrement composés de neutrons et dont la structure serait déterminée par un effet de mécanique quantique appelé pression de dégénérescence, à l'instar d'une autre classe d'astres, les naines blanches dont la structure est déterminée par la pression de dégénérescence des électrons.
Deux ans plus tard, en 1934, les astronomes Walter Baade et Fritz Zwicky eurent l'intuition que le passage d'une étoile ordinaire à une étoile à neutrons libèrerait une quantité considérable d'énergie et donc de rayonnement électromagnétique, donnant l'illusion de l'allumage d'un astre nouveau. L'étude des étoiles à neutrons n'a pris son essor qu'à partir de leur phénomène d'émission pulsée les révélant sous la forme de pulsar. Superfluide. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La superfluidité est un état de la matière dans lequel celle-ci se comporte comme un fluide dépourvu de toute viscosité. Découverte en 1937 par Pyotr Leonidovitch Kapitsa, simultanément avec, semble-t-il, John F.
Allen et A. Don Misener, elle a d'abord été décrite comme une propriété de l'hélium (à très basse température) lui permettant de s'écouler à travers des canaux capillaires ou des fentes étroites sans viscosité. Par la suite, le phénomène a trouvé des applications non seulement dans la théorie de l'hélium liquide, mais également en astrophysique, en physique des particules et dans la théorie quantique des champs.
Point lambda[modifier | modifier le code] Les physiciens mentionnés ci-dessus ont constaté qu'en dessous de la température critique de 2,17 kelvins, (soit -270,98 °C), qui est appelé le point lambda (λ), l'hélium 4 subissait une transition de phase. Propriété d'un superfluide[modifier | modifier le code] Portail de la physique. Des étoiles pourraient abriter des trous de ver en leur centre. Naca-report-1124.pdf. Fluide parfait. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. En mécanique des fluides, un fluide est dit parfait s'il est possible de décrire son mouvement sans prendre en compte les effets de viscosité et de la conductivité thermique[1].
Avec en plus l'hypothèse, de validité très générale, de conservation de la masse[2], le mouvement du fluide est donc isentropique[3]. Mathématiquement cela revient à annuler les termes correspondants dans l'équation de Navier-Stokes, on obtient ainsi l'équation d'Euler des fluides. Ce sont le produit des coefficients de viscosité et de conductivité thermique (et pas seulement ces coefficients) avec respectivement les cisaillements de vitesse et les gradients thermiques, qui doivent être négligeables. Tous les fluides ayant une viscosité (sauf un superfluide, ce qui en pratique ne concerne guère que l'hélium à très basse température et l'intérieur d'une étoile à neutrons), le fluide parfait ne peut être qu'une approximation pour une viscosité tendant vers zéro.
Où d'où.