L’incroyable saga de Marcial Maciel, le padre qui bernait les papes - Édition du 13 mai 2010 (n°3376) L'Eglise n'est pas... Le Pape a parlé de la valeur qu’a, dans la vie d’un chrétien, la confiance en Jésus « qui ne déçoit jamais ».
Pour aider à mieux comprendre la valeur de la confiance dans les promesses du Père, le Pape a fait référence à l’épisode raconté par l’Evangile de Jean (4,43-54) dans lequel on parle de ce fonctionnaire du roi qui, apprenant l’arrivée de Jésus à Cana, va à sa rencontre pour lui demander de sauver son fils malade et en fin de vie à Capharnaüm. Le blog de Jean MERCIER. Le pape ne cesse d'élever une voix prophétique contre ce qui lui semble aller de travers dans l'Eglise et le monde.
Des dénonciations qui invitent à la conversion mais créent aussi un désarroi devant la tâche à accomplir... Il y a peu, je discutais avec un professeur de l’Institut protestant de théologie, le bibliste Elian Cuvillier. Il m’expliquait qu’il voyait son rôle d’enseignant comme celui d'un défibrillateur. Pour ceux qui ne sauraient pas ce dont il s’agit, le défibrillateur est un engin permettant de réanimer une personne ayant eu un arrêt cardiaque. J’ai pensé immédiatement à François, et sa façon d’interpeller les catholiques et le monde en général, sur un mode prophétique et parfois en les choquant, à l’image d’une décharge électrique destinée à provoquer le sursaut d’un organe devenue inerte. Parmi ces “clous”, et dans les homélies, longues ou courtes, du pape, j’ai relevé des dénonciations et indignations récurrentes : Le Pape critique «l'arrogance» des évêques italiens.
Comme jamais, François a osé attaquer directement la « paresse », l'esprit de « carrière » et le goût de « l'argent » de l'épiscopat italien.
La cérémonie, jeudi soir dans la basilique Saint-Pierre, devait se dérouler comme un long fleuve tranquille. Les membres de l'un des plus puissants épiscopats du monde (près de 300 évêques pour 221 diocèses, soit deux fois plus qu'en France) étaient venus clôturer leur 65e assemblée générale en présence du pape François. Ils devaient repartir sereins, la plupart dans de solides limousines, surtout très préoccupés par la situation politique italienne et l'implication de l'Église, à l'image de leur président, le cardinal Angelo Bagnasco. "Bergoglio is completely innocent," says Argentina's Supreme Court. The Pope receives Cristina Fernández vatican insider staff Rome Today, the President of the Argentine Supreme Court of Justice, Ricardi Lorenzetti said that pope Francis “is completely innocent” and was never suspected of being involved in violations of human rights committed during the military dictatorship (1976-83).
“Although some people disagree or claim that he may have done this or that, the fact remains that there is no concrete accusation” against former cardinal Jorge Bergoglio, Lorenzetti said in a radio interview. The President of the High Court stressed the need to respect the principle of innocence, even in Pope Francis’ case, adding that “this is a man who has never been convicted” of violations during the dictatorship. Meanwhile, delegations of states from across the world continue to arrive in Rome for the inauguration of Pope Francis’ pontificate which will take place tomorrow in St.
Full text of Pope Francis’s Urbi et Orbi address. Intervention du cardinal Jorge Mario Bergoglio lors des congrégations générales précédant le conclave. « On fait référence à l’évangélisation.
C’est la raison d’être de l’Église “La douce et réconfortante joie d’évangéliser” (Paul VI) C’est le même Jésus-Christ qui, de l’intérieur, nous pousse. 1 – Évangéliser suppose un zèle apostolique. Évangéliser suppose que l’Église ait la liberté de sortir d’elle-même. 2 – Quand l’Église ne sort pas d’elle-même pour évangéliser, elle devient son propre référentiel et donc tombe malade (cf. la femme courbée sur elle-même dans l’Évangile). Dans l’Apocalypse, Jésus dit qu’il est à la porte et qu’il frappe à la porte. 3 – L’Église, quand elle est autoréférentielle, sans le savoir, croit qu’elle détient une lumière qui lui est propre ; elle néglige de viser le mysterium lunae et donc donne lieu à ce mal si grave qu’est la mondanité spirituelle (selon Lubac, c’est le pire mal qui peut survenir dans l’Église).
Cela doit nous éclairer sur les changements et les réformes possibles qu’il est nécessaire de faire pour sauver les âmes. La «papamania» bat son plein. Boom des pèlerinages à Rome, livres réédités en milliers d'exemplaires, opinion unanime sur sa personnalité... un véritable culte est voué à François qui, non «papabile» hier, fait aujourd'hui l'objet d'une «papamania».
De gauche ou de droite, jeunes ou plus âgés, classes populaires ou aisées, croyants et athées... La personnalité et la spiritualité du nouveau Pape ont accordé tant de cœurs dissonnants en quelques semaines seulement que l'on parle déjà de «Françoismania» ou «papamania» pour décrire l'unanimité dont le Souverain Pontife fait l'objet. Le pape François veut décomplexer l'Église. En ouverture de la semaine sainte, le Pape a placé l'évangélisation comme son objectif principal.
L'époque de la radio est revenue, le temps d'une messe, jeudi à Rome. Impossible pour des raisons de protection d'identités de disposer des images de la messe du jeudi saint que le pape François a tenu à célébrer en fin d'après-midi dans une prison pour jeunes mineurs dans la banlieue de Rome. Un simple micro était donc le témoin sensible de cette messe derrière les barreaux, mais les voix des jeunes comme celles du Pape transmettaient une très vive émotion.