Pourquoi ce pélerinage à Saint-Jacques de Compostelle ? - Cheminements vers Compostelle. En chemin vers Saint-Jacques-de-Compostelle - xavier-compostelle.over-blog.com. Un défi personnel Je ne suis pas un grand marcheur ni un mystique.
Alors pourquoi entreprendre ce "pèlerinage" athée ? L'idée même de prendre à mon tour, après tant d'autres, le chemin de Compostelle m'a longtemps fait rêver. Et je me suis dit que le temps était venu pour moi de tenter l'expérience. Marcher, profiter de la nature au printemps, des paysages mais aussi des monuments érigés par les hommes depuis des siècles, de l'humble chapelle à la majestueuse cathédrale, faire des rencontres, se rencontrer soi-même... Un défi physique : mon corps, peu habitué au sport et malmené il y a peu par la maladie, me permettra t-il de vaincre la fatigue, les courbatures, d'enchaîner les étapes ? Un défi mental : ma volonté sera t-elle suffisante pour surmonter la solitude, le découragement qui pourront apparaître ? C'est après quelques jours ou semaines que j'aurai les premières réponses à mes questions.
Les encouragements nombreux me poussent et m'aident. Sur les chemins de Saint-Jacques - (blog de voyage à vélo tandem) Un des tracés principaux de la route vers Saint-Jacques de Compostelle part du Puy en Velay et passe à travers l’Aubrac, puis longe le Lot plus ou moins pour ensuite bifurquer à partir de Cahors.
Nous voilà donc en présence alternée avec les pèlerins et autres spécificités du tracé. Doit-on se considérer comme coquillard pour autant ? Disons que sur la définition stricto sensu, nous ne nous sentons pas véritablement guidés par une motivation d’aspect religieuse où la finalité est de se rendre sur les reliques d’un saint avec pour unique orientation la spiritualité chrétienne. Seulement, nous vivons notre aventure de vie selon nos convictions. Où il est important de se réapproprier son temps et ses choix pour un bien-être individuel mais aussi commun. Saint-Jacques de Compostelle. Deux cents kilomètres à pied, aucune difficulté montagnarde.
De l'hébergement à profusion, une organisation transbagages impeccable, un lieu inouï de rencontres. N'en demeure pas moins que la première étape de la «Via Podiensis» (ou GR 65) est une épreuve de vérité pour bien des marcheurs: sac à dos trop lourd, ampoules aux pieds, angoisse de l'étape du soir... Continuer ou pas? On opère les petits réglages d'usage, on étudie la logistique, on se calme. Et puis, comme par miracle, de randonneur on devient pèlerin. Haute-Loire — Un coup de trompe retentit en gare de Saint-Étienne. En 951, c'est à Puy-en-Velay, «Le Puy» pour les intimes, que l'évèque Godescalc entreprit à dos de mule le premier pèlerinage jusqu'à Compostelle.
JOUR 33 LE 10 MAI 2015 - Notre journal vers Compostelle. 8 h 30 nous quittons Nasbinals sous un beau soleil remisant pèlerines et polaires dans les sacs à dos.
Comme c’est bon de marcher dans ces conditions ! Ce matin, c’est un peu l’autoroute environ une bonne trentaine de pèlerins prenant le chemin en même temps, certains d’ailleurs bien chargés ! Mais en fonction des vitesses de progression tout se régule sur un kilomètre. Nous entamons la montée sur Aubrac à 1300 m d’altitude par de beaux sentiers serpentant dans les pâtures, vides de tout occupant la transhumance ayant lieu le vers le 20 mai. Mais nous trouvons de belles fleurs ; pensées sauvages, orchis blanches et violettes et les premières feuilles de gentiane. Au sommet de la colline nous quittons la Lozère – 48 pour entrer dans l’Aveyron – 12. . « dans le silence et la solitude on n’entend plus que l’essentiel ». Pour « récupérer » une partie du temps consacré à ce moment d’heureuses retrouvailles, ils nous rapprocherons de 7,5 km sur le chemin avant de poursuivre leur route.
Chemins de Compostelle. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Chemins contemporains en Europe pour se rendre à Saint-Jacques-de-Compostelle. Exemples de balisage des chemins de Compostelle. Borne marquant l'entrée dans le municipio de Saint-Jacques-de-Compostelle. Depuis l'origine du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle (Santiago de Compostela en espagnol), les pèlerins ont emprunté les voies de communication de tous les autres voyageurs. Sauf à proximité immédiate des sanctuaires, il n'y avait donc pas à proprement parler de chemins de pèlerinage spécifiques. C'est à partir de 1882, avec l'impression du dernier Livre du Codex Calixtinus, recueil composé au XIIe siècle, que s'est répandue la notion de chemins de pèlerinage. Très sommairement décrits, ces chemins sont désignés par les noms des villes qu'ils traversent (cf infra).
Les itinéraires modernes[modifier | modifier le code] Itinéraire culturel européen[modifier | modifier le code] Patrimoine mondial[modifier | modifier le code]