Blockchain : la fin du Big data ? Si la production des données numériques dans le monde a le vent en poupe, 90% de ces données ont été produites dans les deux dernières années, Facebook y est bien pour quelque chose. Le plus grand réseau social en ligne a récolté 300 petabytes de données personnelles depuis son commencement, cent fois la quantité que la Bibliothèque du Congrès a pu collecter en deux siècles ! Dans l’ère du big data, les données sont avidement rassemblées et analysées : les entreprises et les organisations les utilisent pour personnaliser des services, optimiser les processus de prise de décisions, prévoir des tendances futures et plus encore.
Aujourd’hui, les données sont un actif de valeur de l’économie mondiale. La préoccupation est croissante, concernant la vie privée des utilisateurs. Les chercheurs ont développé des techniques diverses visant à sécuriser la vie privée et les données personnelles. On connaît l’adage : «Lorsqu’un service est gratuit sur le web, le client c’est vous.» A propos. Big Data : l'heure de la désillusion ? De Big Brother à Big Data -- Pierre VERHAS. Cela inquiète à juste titre les autorités qui ignorent comment lutter contre ce phénomène. Mais leur inquiétude porte sur la sécurité des usagers et non sur les nuisances provoquées par la conception de ce jeu. Dans un Etat digne de ce nom, « Pokemon go » serait purement et simplement interdit. Mais « Pokemon go » rapporte gros à ses promoteurs, les puissantes entreprises transnationales de l’informatique. Et – c’est le plus dangereux – l’application « Pokemon go » met ses usagers en condition pour l’avenir que nous préparent ces entreprises, c’est-à-dire une vie dans un monde où l’on ne pourra plus séparer l’illusion virtuelle du monde tangible.
On vivra désormais dans une caverne de Platon high tech. Comment cela ? C’est expliqué dans un ouvrage récent intitulé L’homme nu, la dictature invisible du numérique par le romancier et ancien chef d’entreprise Marc Dugain et le journaliste spécialiste de l’informatique à l’hebdomadaire Le Point, Christophe Labbé. L’ennemi : l’Etat Il n’empêche. Big data in global health: improving health in low- and middle-income countries.
Pourquoi et comment les géants pharmaceutiques accélèrent dans le big data. Les laboratoires pharmaceutiques n'exploitent pas encore tout le potentiel des mégadonnées. "La vitesse de maturation des laboratoires pharmaceutiques dans le big data n'atteint pas celle du secteur des assurances", explique à La Tribune Alexandre Templier, cofondateur de la société française Quinten spécialisée dans le big data, et travaillant notamment pour les industries pharmaceutiques, les sociétés de parfumerie ou encore les entreprises financières. Le big data n'a cependant rien d'abstrait pour l'industrie pharmaceutique. Quinten lui-même travaillait déjà avec des laboratoires pharmaceutiques lors de sa création, il y a 7 ans.
Les géants pharmaceutiques utilisent largement le big data pour analyser les résultats de leurs molécules sur les patients en phase d'étude clinique (d'abord quelques dizaines en phase I, puis quelques milliers en phase III). Les big pharmas utilisent aussi largement les mégadonnées pour concevoir de nouvelles molécules. Pressions économiques.
How Big Data Analytics is Changing Legal Ethics (Perspective) Editor’s Note: The author of this article is a professor at the University of Houston Law Center. She is the co-author of a casebook, Professional Responsibility: A Contemporary Approach, and numerous scholarly law review articles. By Renee Knake, Professor of Law, University of Houston Law Center Big data analytics are changing how lawyers find clients, conduct legal research and discovery, draft contracts and court papers, manage billing and performance, predict the outcome of a matter, select juries, and more. Ninety percent of corporate legal departments, law firms, and government lawyers note that data analytics are applied in their organizations, albeit in limited ways, according to a 2015 survey. The Legal Services Corporation, the largest funder of civil legal aid for low-income individuals in the United States, recommended in 2012 that all states collect and assess data on case progress/outcomes to improve the delivery of legal services.
Communication. Confidentiality. Consent. Progrès et égalité des chances : à quand le Big data à l’Ecole ? Internet permet la collecte d’un nombre toujours croissant de données, tout comme le développement d’outils destinés à leur analyse à plus ou moins grande échelle. Ce "Big data" présente l’intérêt majeur de sonder et d’étudier les comportements d’une population afin d’en adapter les services qui lui sont dédiés.
Les champs du Big Data sont multiples, allant du marketing aux sciences, en passant par le développement durable ou encore la santé. Alors pourquoi pas l’Education ? En effet, l’éducation possède bel et bien, aujourd’hui, des prédispositions au Big data et ce, à plusieurs titres : d’une part le numérique, en entrant progressivement à l’école, a permis et permet encore la récolte de données exponentielles sur l’évolution du niveau des élèves, leurs difficultés et leurs besoins ; d’autre part, le secteur, au cœur de la réforme actuelle de l’Etat mérite que l’analyse statistique vienne en support des transformations en cours et à venir.
Luc Ferry: «Seule une prise de conscience mondiale pourra réguler les progrès de la technomédecine.» Luc Debraine Interview. Dans son nouvel essai, «La révolution transhumaniste», le philosophe français nous prévient: la techno-médecine et l’ubérisation du monde vont bouleverser notre existence. Jusqu’à remettre en question la définition même de notre humanité. La révolution est en route: passer d’une médecine thérapeutique, qui répare ce qui peut l’être, à une médecine de l’amélioration progressive de l’être humain. Une technoscience dont l’ambition prométhéenne est de supprimer la loterie des inégalités génétiques, les affres du vieillissement, l’inéluctabilité de la mort. Une biotechnologie qui entend proposer des choix, par exemple aux parents d’enfants à naître, plutôt que de subir la loi du hasard. Tel est l’enjeu capital empoigné par Luc Ferry dans La révolution transhumaniste (Ed. Comment définir le transhumanisme, et en quoi est-il une révolution, pour reprendre le titre de votre essai?
La prudence est de rigueur. Excellente question, et c’est tout l’objet de mon livre. The hidden danger of big data. In game theory, the "price of anarchy" describes how individuals acting in their own self-interest within a larger system tend to reduce that larger system's efficiency. It is a ubiquitous phenomenon, one that almost all of us confront, in some form, on a regular basis.
For example, if you are a city planner in charge of traffic management, there are two ways you can address traffic flows in your city. Generally, a centralised, top-down approach - one that comprehends the entire system, identifies choke points, and makes changes to eliminate them - will be more efficient than simply letting individual drivers make their own choices on the road, with the assumption that these choices, on aggregate, will lead to an acceptable outcome.
The first approach reduces the cost of anarchy and makes better use of all available information. The price of anarchy The world today is awash in data. Every time we send a message, make a call or complete a transaction, we leave digital traces. Forget ideology, liberal democracy’s newest threats come from technology and bioscience | John Naughton | Opinion.
The BBC Reith Lectures in 1967 were given by Edmund Leach, a Cambridge social anthropologist. “Men have become like gods,” Leach began. “Isn’t it about time that we understood our divinity? Science offers us total mastery over our environment and over our destiny, yet instead of rejoicing we feel deeply afraid.” That was nearly half a century ago, and yet Leach’s opening lines could easily apply to today. He was speaking before the internet had been built and long before the human genome had been decoded, and so his claim about men becoming “like gods” seems relatively modest compared with the capabilities that molecular biology and computing have subsequently bestowed upon us. The title that Leach chose for his Reith Lecture – A Runaway World – captures our zeitgeist too. But in the last five years or so even that cautious, pragmatic optimism has begun to erode.
There’s a sense, therefore, that we are approaching another “end of history” moment – but with a difference. How come? 1.