Nouvel An à Cologne: 55 des 58 agresseurs n'étaient pas des réfugiés. Près d’un mois et demi après les faits, l'enquête fait la clarté sur les agresseurs de la nuit de la Saint Sylvestre à Cologne.
Et manifestement, ce ne sont pas ceux à qui on a fait porter le chapeau jusqu'ici. Sur les 58 suspects, seuls trois d’entre eux sont originaires d’un pays en guerre: deux Syriens et un Irakien. Les 55 autres sont pour la plupart Algériens et Marocains et ne seraient pas arrivés récemment en Allemagne. Trois Allemands figurent aussi parmi les personnes arrêtées. Ces chiffres ont été fournis par le procureur de Cologne dans une interview à Die Welt, l’un des plus gros quotidiens du pays.
Pas des réfugiés On peut parler d’un fameux revirement de situation. La majorité des agressions n'étaient pas à caractère sexuel Et ce n’est pas tout. Sur 1054 plaintes, 454 concernent des agressions sexuelles. Manipulation : une vidéo égyptienne illustrant les évènements de Cologne pour servir le choc des civilisations. Gare à la manipulation !
Tout aussi préoccupantes que soient les agressions sexuelles de masse survenues à Cologne le soir de la dernière Saint-Sylvestre, il nous paraît important d’alerter ici sur les dérives d’un jeu malsain et dangereux qui consisterait à forcer toujours plus le trait de cette « guerre de civilisation » prophétisée par nos élites. Une vidéo d’origine allemande se répand actuellement comme une traînée de poudre sur les réseaux sociaux (Facebook en tête) en atteignant à l’heure où nous écrivons ces lignes le nombre de 1,9 millions de vues (en à peine 20h) : la voici. À la lecture des commentaires, que l’on comprend glacés d’effroi, notamment dans le contexte très lourd des évènements de Cologne, force est de constater que cette vidéo atteint son but : attiser toujours un peu plus les haines. Témoignage direct des événements du Nouvel an à Cologne. Mots-clés : Allemagne, Cologne, nouvel an, réfugié, viol Dans cette vidéo Ivan Jurcevic, videur » à l’entrée de l’Hôtel Excelsior de Cologne, raconte que des femmes venaient le supplier de les laisser entrer dans l’hôtel car elles étaient pourchassées par des immigrés qui voulaient les violer. ivan Jurcevic décrit la nuit d’horreur.
Des immigrés crachaient sur les clients de l’hôtel, les frappaient. Ils ont attrapé des gens, les ont tabassés et piétinés. Les policiers étaient en nombre insuffisant pour mettre fin à ces horreurs. "Nous n'avions pas le droit d'arrêter les réfugiés" International URL courte La police fédérale allemande a été sommée de ne pas arrêter les réfugiés qui cherchent à se sauver lors de la vérification des papiers, a déclaré au quotidien Bild un policier souhaitant garder l'anonymat.
"Au début, il y avait plutôt des femmes avec enfants qui paraissaient instruites et qui parlaient anglais. Maintenant, 95% des réfugiés sont des hommes solitaires dont la moitié n'ont pas de passeports ou autres papiers", a-t-il indiqué, faisant part de son expérience de travail dans un centre de réfugiés. "Les gens ne reçoivent pas d'informations sur ce qui se passe en réalité.
"Si un réfugié veut prendre la fuite lors de la vérification de ses papiers, nous n'avons même pas le droit de l'arrêter. Allemagne: le rapport interne de la police fait froid dans le dos. Suite aux agressions en masse du Nouvel An dans plusieurs grandes villes allemandes, un rapport interne de la police met en lumière l'ampleur du chaos.
Selon ce rapport, publié jeudi par le magazine allemand «Spiegel», les policiers redoutaient des morts. Dans la nuit de la Saint-Sylvestre à Cologne, l'Etat ne contrôlait plus la situation. Tel est le constat d'un rapport interne de la police fédérale daté du 4 janvier et publié ce jeudi par le «Spiegel». Ce rapport, rédigé par un cadre de la police, fait froid dans le dos. Femmes et jeunes filles, accompagnées ou non, ont été assaillies de toutes parts par des hordes d'hommes alcoolisés et loin de se laisser impressionner par la présence policière. Cette nuit-là, les forces de l'ordre ont été témoins d'innombrables passants, des femmes surtout, bouleversées, en larmes, qui rapportent vols et violences sexuelles.