Quand des investisseurs spéculent sur les conflits commerciaux entre multinationales et Etats. On connaissait la spéculation financière sur les denrées alimentaires, les ressources naturelles, l’immobilier, les produits financiers, et même sur les émissions de CO2.
Voici venu le temps de la spéculation sur les plaintes que déposent des investisseurs contre des Etats en cas de conflit commercial ou fiscal. C’est le nouveau business que permet la multiplication des procédures intentées par des multinationales, qui se disent lésées, contre des Etats pour leur faire payer de lourdes amendes. Un business qui dispose d’une plaque tournante, les Pays-Bas, et qui pose, encore une fois, la question des conflits d’intérêt. Épisode 4, suite de notre série sur les procédures d’arbitrages entre investisseurs et États (voir l’épisode précédent).
Sa méthode est simple, nous explique-t-il après une conférence sur l’arbitrage à Rome. « Nous payons les frais légaux d’une entreprise qui souhaite poursuivre un État. Et si l’arbitre lui-même était lié à l’investisseur ? Le « sandwich » hollandais. Contre la dictature de la finance : la bombe atomique suisse. Comment jeter les banquiers voyous en prison, en dix leçons. Un supermarché pour faire ses courses sans emballage à Bordeaux.
L'Etat pourra bientôt récupérer l'argent des comptes bancaires inactifs. Quand la science découvre les 1% qui dirigent l’économie. Trois chercheurs suisses ont récemment décortiqué le réseau mondial des multinationales en se servant d’une base de données de l’OCDE (Organisation de Coopération et de Développement Economiques) regroupant plus de 30 millions d’acteurs du marché économique.
Manipulation du cours des devises : la guerre monétaire mondiale est à un tournant. Les 5 techniques des banques américaines qui mettent les familles pauvres en difficulté. Malgré une situation instable dans le monde financier, les banques continuent de tirer profit de leurs clients à bas et moyens revenus, ceux dont les difficultés sont les plus grandes pendant la crise.
Le site Market Watch a fait ressortir cinq techniques avec lesquelles les grandes entreprises financières continuent de gagner de l’argent aux dépens de la population la plus défavorisée. 1. Frais de carte de crédit Après avoir reçu par courrier une offre attractive permettant d’obtenir une carte de crédit avec un taux d’intérêt à 0% pendant 6 à 12 mois, beaucoup d’emprunteurs commencent à dépenser l’argent qu’ils n’ont pas. Les complications surgissent lorsque l’offre se termine et que, les taux d’intérêt et les commissions se mettent tout à coup à devenir hors de prix. 2.
Entre 2007 et 2011, plus de quatre millions d’ américains ont perdu leur maison par saisie immobilière. Après 30 milliards d'euros de cadeaux aux patrons, 25 milliards de cadeaux aux banques. En 2013, le gouvernement avait glissé dans le projet de loi de finances pour 2014 un article 60 (devenu article 92) particulièrement scandaleux qui prévoyait, en contrepartie de la mise en place d’un modeste fonds de soutien aux collectivités, une mesure de validation législative rétroactive de l’irrégularité des contrats de prêts tirée du défaut de stipulation du taux effectif global.
Par cette disposition, l’État, porteur du risque des 8,5 milliards d’euros d’encours toxiques qu’il avait repris à DEXIA, essayait de se prémunir de façon déloyale et malhonnête contre la jurisprudence des tribunaux civils défavorable aux banques, quitte à en faire payer le prix aux contribuables. Nous avions déjà à l’époque exposé et dénoncé les vices de ce dispositif[2]. Heureusement, saisi par des députés et des sénateurs, le Conseil constitutionnel a annulé deux des trois paragraphes de l’article 92 dans une décision du 29 décembre 2013[3] . [2] Nous ne sommes pas à l'abri de l'éclatement d'une nouvelle bulle sur les marchés financiers, prévient Gérard Rameix. Ce mercredi 14 mai, la commission des finances du Sénat, présidée par Philippe Marini organisait une audition conjointe sur le thème « Stabilité financière : a-t-on progressé depuis 2008 ?
». A cette occasion était notamment présent autour de la table, Gérard Rameix, président de l'Autorité des marchés financiers. L’ex-PDG d’une grande banque retrouvé mort avec sa femme et sa fille. Délits et crimes financiers : pourquoi les banquiers ne vont jamais en prison. On connaît la maxime : « Trop grandes pour faire faillite » ("Too Big To Fail").
La manière dont les gouvernants ont géré la crise provoquée par les banques débouche sur une nouvelle doctrine, qui peut être résumée par : « Trop grandes pour être condamnées ». Ou « Trop grandes pour être emprisonnées », si on traduit littéralement le nouvel adage qui fait florès aux États-Unis et au Royaume-Uni, « Too Big to Jail » [1 Icône de liens externes ]. En effet, alors que le gouvernement des États-Unis a laissé la banque Lehman Brothers faire faillite en septembre 2008, aucune banque n’a été fermée, ne s’est vu retirer la licence bancaire, n’a été démantelée par décision de justice. L’unique exception dans le monde occidental concerne l’Islande où la justice a condamné à des peines de prison ferme trois dirigeants de banque. ] ont été condamnés respectivement à cinq ans et cinq ans et demi de prison en décembre 2013 (sur le sujet, lire l’enquête de Basta !
18 mars 2014. Mes chères contrariennes, mes chers contrariens !
Il se passe des choses absolument extraordinaires dans notre Europe du 21e siècle censé être un nouveau siècle des « lumières » grâce à la sagesse atteinte par nos générations modernes, alors que les anciennes étaient des sauvages, et à nos nouvelles technologies… c’est évidemment ironique tant nos lumières semblent s’éteindre les unes après les autres. La crise que nous affrontons depuis maintenant 7 ans (je sais, je me répète mais j’insiste) nous permet de découvrir nos dirigeants et nos autorités sous un jour auquel nous ne nous attendions pas forcément et un jour d’ailleurs qu’encore une fois la majorité d’entre nous ne veut pas voir car cela remet profondément en cause nos croyances notamment sur les belles « démocrassies » que nous sommes devenus.
La propriété privée ! Alors il était important de rappeler justement l’importance du principe de propriété privée. Contre la dictature de la finance : La bombe atomique suisse ! Avant-hier, en parcourant ce « cerveau collectif » qu’est Facebook, je suis tombé sur la publication d’un de mes amis et par la même occasion, je suis tombé des nues.
Les médias « main stream », si prompts à sortir l’artillerie lourde contre les votations des Suisses sur les minarets ou l’immigration massive, se sont bien gardés de nous informer de cette initiative en cours, qui a recueilli à ce jour près de 50 000 signatures mais il lui en faudra le double pour déboucher sur un référendum. C’est de la bombe. USA 2014 : Vers une crise Financière pire que celle de 2008. "Un krach va se produire aux Etats-Unis.
En 2013, 2014 ou plus tard... Cet effondrement fera passer celui de 2008 pour une balade dans un parc". Ces propos inquiétants, voire alarmistes, émanent de Peter Schiff, économiste américain reconnu et ancien conseiller du président Bill Clinton. Un particulier américain porte plainte contre plusieurs banques européennes. Les banques spéculent sur les devises, manipulent le marché des changes et la taxe Tobin est dans les limbes.
Les banques sont les principaux acteurs sur le marché des devises.
Elles entretiennent une instabilité permanente des taux de change. Plus de 95 % des échanges de devises sont de type spéculatif. Contre la dictature de la finance : la bombe atomique suisse ! Contre la dictature de la finance : la bombe atomique suisse ! Par Camille DESMOULINS sur Agoravox Avant-hier, en parcourant ce « cerveau collectif » qu’est Facebook, je suis tombé sur la publication d’un de mes amis et par la même occasion, je suis tombé des nues. Les médias « main stream », si prompts à sortir l’artillerie lourde contre les votations des Suisses sur les minarets ou l’immigration massive, se sont bien gardés de nous informer de cette initiative [bientôt] en cours, qui a recueilli à ce jour près de 50 000 signatures mais il lui en faudra le double pour déboucher sur un référendum.
C’est de la bombe. Prix des aliments et des matières premières : les banques inventent l’hyper-spéculation. Via leurs activités de trading, les banques sont les principaux spéculateurs sur les marchés de matières premières et de produits agricoles, car elles disposent de moyens financiers nettement plus élevés que les autres protagonistes en jeu. Une petite visite sur le site du Commodity business awards permet de découvrir une liste de banques et de courtiers qui jouent un rôle de premier plan sur le marché des commodities (marché des matières premières) [1], ou sur celui des produits dérivés basés sur ces commodities.
Parmi ces banques, on retrouve le plus souvent BNP Paribas, Morgan Stanley, Crédit Suisse, Deutsche Bank et Société Générale. Deutsche Bank transfère 100 milliards de dollars hors des États-Unis pour obéir à la Fed. Pendant que Bruxelles temporise, la Deutsche Bank a décidé d’agir. Face à la décision de la Fed de mettre en place des règles plus strictes pour les banques étrangères, l’établissement allemand a décidé de réduire le bilan de ses opérations aux États-UnisIcône de liens externes d’une centaine de milliards de dollars, écrit le Financial Times. Le montant total des opérations de la banque aux États-Unis serait ainsi ramené à 300 milliards de dollars alors que certaines d’entre elles seraient relocalisées en Europe ou en Asie. Le directeur financier Stefan Krause a expliqué au “FT” que la banque pensait ainsi être capable de respecter les nouvelles règles de solvabilité et d’endettement imposées par la Réserve fédérale et que cette réduction du bilan n’équivalait pas à un départ des États-Unis.
En cas de crise, les banques pourront prélever les dépôts des épargnants. Après la ponction des épargnants chypriotes cette année et l'idée émise par le FMI d'une supertaxe de 10% sur le patrimoine, l'Europe vient d'entériner la participation des déposants au renflouement des banques en cas de crise grave.
L'accord, scellé mercredi 11 décembre, est passé relativement inaperçu, alors qu'il pourrait être d'une importance capitale pour les épargnants. Les Européens se sont mis d'accord sur une loi prévoyant des règles de renflouement interne des banques, ou "bail-in", afin d'éviter de ne faire participer que les Etats au sauvetage des établissements financiers. "Grand pas franchi ce soir: accord #BRRD pour 28", a écrit sur son compte twitter le commissaire européen chargé des Services financiers, Michel Barnier, en référence à la directive sur le sauvetage des banques.
Après le FMI et la Bundesbank, l'UE veut 'mobiliser' votre épargne. Il ne faut surtout pas cesser de dénoncer ni de rappeler qu’un braquage immense se prépare sur vos compte bancaires mais également sur tous vos avoir, dont vos plans retraite, votre épargne, et le reste du lait de la vache à lait! Chypre ne fut qu’un essai, la population n’a pas trop réagit, l’Europe sera la suivante! Un banquier illuminati dévoile leur méthode de contrôle. Effondrement économique mondial : Quand les signes précurseurs du krash de 1929 réapparaissent... L'année 2014 sera-elle porteuse d'un nouveau et tragédique « Black Thursday » similaire à celui survenu en octobre 1929 ?
Le graphique qui fait resurgir le spectre du krach de 1929 de Wall Street. Certains intervenants ont récemment souligné des analogies troublantes entre le parcours du Dow Jones depuis deux ans et celui de la période 1928-1929, l'année du fameux krach, qui avait vu le marché d'actions américain plonger de plus de 40% en seulement quelques mois. 1000 milliards de dollars: le montant record des dividendes... Sortez votre argent des banques : Vers des faillites préventives ? Pierre Jovanovic sur la série de "suicides" dans les grandes banques. Comment les grandes banques manipulent le marché des devises.
La confrontation financière entre les États-Unis et la Russie est plus dangereuse qu’elle n’en a l’air pour les deux camps, par Ambrose Evans-Pritchard. Les États Unis ont construit une bombe financière à neutrons. Au cours des 12 dernières années, une équipe d’élite au sein du Trésor Américain a mis au point les outils d’une guerre économique, élaborant des plans pour mettre presque n’importe quel pays à ses pieds, sans avoir à tirer une seule balle. La stratégie repose sur un contrôle hégémonique du système bancaire mondial, renforcé par un réseau d’alliés avec l’accord contraint des états neutres récalcitrants. Appelons cela le projet Manhattan du début du 21e siècle. Si les peuples d'Europe ne se lèvent pas, les banques ramèneront le fascisme. Yapadaxan, Votre texte repris plus bas m’a touchée au coeur ... Bonus, mensonges et lobbying : comment les banques européennes résistent à toute régulation.