Libye: avant et après Kadhafi. International URL courte Les groupes armés du pays entrent en conflits entre eux et freinent les tentatives de stabiliser la situation politique.
Selon les informations du ministère libyen des Affaires intérieures, actuellement, près de 16.000 personnes possèdent des armes illégales et sont actives dans des groupes armés. Les autorités du pays n'arrivent pas à désarmer tous ces groupes. Par ailleurs, les tentatives de les réunir pour procéder à des négociations restent infructueuses.
Dans le même temps, les citoyens du pays ne peuvent pas avoir confiance dans la situation économique. La production pétrolière de la Libye, qui est l'un des pays les plus riches en Afrique du nord et au Proche-Orient de par ses capacités dans ce domaine, est en crise profonde, suite aux évènements qui ont détruit la stabilité politique du pays. Les chiffres parlent d'eux-mêmes. La Lybie traverse une période d'extrêmes difficultés. Le chef de la fausse révolution libyenne admet que Kadhafi n’a pas tué de manifestants.
Libye : Des rebelles défient l'État et tentent d'exporter le pétrole. Des rebelles autonomistes de l’Est libyen tentaient samedi d’exporter du pétrole hors du cadre de l’État à bord d’un pétrolier battant pavillon nord-coréen, dans un nouveau geste de défi à l’égard des autorités qui menacent de recourir à la force contre le navire.
Ces miliciens faisaient partie des gardes des installations pétrolières, avant de se rebeller contre les autorités de transition, bloquant les terminaux pétroliers en réclamant l’instauration d’un système fédéral et une meilleure répartition des revenus pétroliers. Le gouvernement autoproclamé de la Cyrénaïque (est), bras politique de la rébellion, a annoncé au cours d’une cérémonie le début des exportations de brut depuis le port d’al-Sedra, qu’il bloque depuis juillet. Le vice-ministre libyen de la Défense, Khaled al-Chérif, a déclaré à l’AFP qu’un«comité de crise» composé de membres du gouvernement et du Parlement avait donné un ultimatum au navire pour quitter les eaux territoriales libyennes.
Libye : la transition démocratique de plus en plus incertaine. Note utilisateur: Détails Catégorie parente: International Catégorie : Ça s'est dit par là...
Créé le 4 mars 2014 Mis à jour le 4 mars 2014 Publié le 4 mars 2014 Écrit par folamour Affichages : 182 Les autorités libyennes, de plus en plus affaiblies, tentaient lundi d'éviter le pire, au lendemain de l'assassinat d'un ingénieur français et de manifestations violentes au Parlement, quelques jours avant une Conférence internationale à Rome sur la Libye. Le gouvernement a annoncé avoir dépêché dimanche soir une délégation ministérielle à Benghazi (est), pour examiner les moyens de rétablir l'ordre dans cette ville où les forces de l'ordre et les expatriés sont la cible d'attaques et d'assassinats quasi-quotidiens. Lundi encore, deux membres des services de sécurité ont été tués par balles dans le centre de la ville, selon des sources hospitalière et de sécurité. Libye : le Mossad, Al-Qaida et le Hezbollah ont fait le sale boulot de l’OTAN.
Joanne et Jimmy Moriarty travaillaient en Libye au moment de l’invasion : "Nous avons une copie d’un accord entre les soi-disant rebelles et le Mossad.
L’accord stipule qu’Israël fournira des armes et une formation aux rebelles afin qu’ils s’emparent du pays et qu’en retour Israël obtiendra d’installer une base militaire dans la zone libyenne de la Montagne Verte (Djebel Akhdar). " La Syrie est une redite de la Libye avec Al-Qaida servant à nouveau d’outil de procuration pour les banquiers Illuminati (Israël pilotant l’OTAN).
En Syrie, le Hezbollah est passé dans le camp adverse. Pendant ce temps, «Al Ciada» est toujours «l’ennemi» au Pakistan et en Irak. La guerre est un théâtre. Par Joanne et Jimmy Moriarty Nous faisions des affaires en Libye depuis janvier 2007. Le peuple libyen n’était en aucune façon des extrémistes musulmans. Les femmes avaient été émancipées dans les années 1970 par Kadhafi. La guerre contre la Libye avait été planifiée depuis longtemps. Like this: J'aime chargement… Dieudonné avait raison ! Les dessous du témoignage historique du n°2 libyen contre Sarkozy.