L'Icann veut son indépendance avant la présidentielle US. Pour échapper à la tutelle du gouvernement américain, l'Icann doit valider son projet de gouvernance globale avant l'élection présidentielle US de novembre 2016.
En quête d'indépendance, l'Icann a soumis son plan de transition au gouvernement américain. L'élection présidentielle de novembre prochain risque toutefois de compromettre ce projet de gouvernance globale si le nouveau président se prononce contre. Amazon rattrapée par les taxes Européennes. Comme vous le savez très certainement, Amazon, la France et les pays de l'Union Européenne ne sont pas vraiment en bons termes.
La raison en est simple, la firme américaine joue sur les taxes en domiciliant sa société là où il lui est permis de les minimiser voire de les éviter carrément. De la même façon que Google en Irlande, ce qui provoque souvent des cas de concurrence déloyale. Le truc est que l'Europe surveille ces géants de près et que s'ils se font chopper la douloureuse n'est pas sympa.
Amazon en travaillant depuis le Luxembourg pouvait jusque là être plus que compétitive sur ses tarifs en Allemagne et au Royaume-Uni. Apple vs FBI : la marque à la pomme ne pliera pas. Soutenu par les géants des nouvelles technologies, Apple reste campé sur ses positions et refuse d’accéder aux injonctions du FBI.
Celui-ci demande à Apple un moyen de débloquer l’iPhone de Syed Farook, un des terroristes ayant participé à la tuerie de San Bernardino. Pour la marque à la pomme cela reviendrait à créer un système permettant d’accéder aux données de n’importe quel iPhone. Apple prêt à mener le combat judiciaire jusqu’au bout Dans le cadre de l’enquête sur la tuerie de San Bernardino, le FBI a récupéré l’iPhone de Syed Farook mais ne peut pas accéder aux données. Le bureau fédéral demande l’aide d’Apple afin de créer une backdoor pour récupérer les données. L’appareil se débloque à l’aide d’un code secret mais au bout de 10 tentatives, les données sont détruites. SFR encore condamné par la justice pour 22 clauses abusives. SFR vient d’être condamné par le Tribunal de Grande Instance de Paris pour pas moins de 22 clauses abusives et / ou illicite dans les contrats qui lient l’opérateur à ses clients.
Comme nous l’apprend aujourd’hui l’UFC Que Choisir, l’opérateur SFR vient d’être condamné pour 22 clauses abusives présentes dans ses différents contrats. On lui reproche notamment de ne pas mettre sa responsabilité en cause en cas d’échec des appels et de transmission des SMS et des données à hauteur de 10%. Un taux d’indisponibilité bien supérieur aux obligations imposées aux opérateurs par l’ARCEP. En outre, le tribunal a également reproché à SFR grand champion des plaintes utilisateurs son manque d’engagement vis à vis de ses clients au sujet des débits minimums qui restent pourtant une obligation légale.
Lui a également été reproché d’empêcher ses clients de résilier en cas d’augmentation des tarifs ou lorsqu’ils ne peuvent pas accéder aux services proposés en option en leur imposant des frais. Pourquoi le règlement européen adopté par les députés ne protégera pas la neutralité du Net. Le parlement européen a adopté ce mardi le projet de règlement sur la neutralité du Net en seconde lecture mais a rejeté les amendements censés éviter des failles dans le texte.
Tandis qu'Axelle Lemaire a dévoilé, il y a quelques semaines, le projet d'article défendant la neutralité du Net pour sa loi numérique, la directive européenne du Marché unique européen des communications électroniques portant sur le sujet est passée ce mardi 27 octobre devant le Parlement européen. Neutralité du Net, le Parlement Européen signe avec les lobbies des opérateurs.
Le Parlement européen vient d’adopter un texte important, celui de l’« Internet ouvert ».
Son objectif est censé mettre fin aux frais d’itinérance en Europe et surtout d’établir une bonne fois pour toute la notion de « neutralité du Net ». Pour certains il s’agit d’un moment historique, pour d’autres ce n’est qu’une victoire en demi-teinte. Protection des données : la Cnil tape sur les doigts de Numericable. Dans le cadre de la lutte contre la contrefaçon sur Internet, les opérateurs télécoms ont obligation de transmettre à la Hadopi (Haute Autorité pour la diffusion des œuvres et la protection des droits sur Internet) les coordonnées de leurs abonnés accusés par les ayants-droits d’avoir téléchargé illégalement du contenu.
Un système rodé qui rencontre parfois des couacs. Ce qui peut être très dommageable pour les utilisateurs. Vie privée : la CNIL dit " non " aux portes dérobées. Aujourd’hui, la commission nationale de l’informatique et des libertés a tenu à donner sa position concernant les portes dérobées dans les logiciels ou sur les services.
Elle s’y oppose catégoriquement. Voilà déjà plusieurs semaines qu’un débat s’est ouvert sur fond de terrorisme, concernant la question du chiffrement des données. Une bataille médiatique et judiciaire a eu lieu aux États-Unis entre Apple et le FBI pour la création de backdoor permettant aux autorités d’accéder aux données. La firme de Cupertino s’y était refusée, soutenue par de nombreuses associations, le lanceur d’alertes Edward Snowden et de nombreux géants du web. L'Arcep obligée de déréguler le prix des SMS. La CNIL dit "oui mais" à la surveillance accrue sur Internet. L'autorité de la concurrence rouvre le dossier SFR - Numericable. L'autorité de la concurrence a beau avoir autorisé, sous conditions, le rachat de SFR par Numericable, elle n'en demeure pas moins très vigilante sur la manière dont le câblo-opérateur exécute les engagements qu'il a pris pour obtenir ce feu vert.
Itinérance avec Orange : l'ARCEP veut organiser le "sevrage" de Free. Depuis le 3 mars 2011, un accord d'itinérance nationale lie Free et Orange.
Grâce à celui-ci, Free a été en mesure de vendre très rapidement des offres de téléphonie mobile (dès le début de l'année 2012) alors même qu'il ne dispose pas encore de son propre réseau. En fait, Free utilise les infrastructures de son partenaire pour faire circuler les communications de ses clients. Mais cet accord d'itinérance nationale n'a pas vocation à durer éternellement. Quand il a été mis en place, c'est-à-dire lorsque Free a été capable d'assurer seul la couverture de 25 % de la population française vivant en métropole, une échéance a été fixée afin de pousser le nouvel entrant à déployer sans tarder ses propres antennes-relais sur tout le territoire.
Officiellement, l'accord d'itinérance nationale doit prendre fin en 2018. A priori, Free respecte le calendrier imposé. Adblock Plus l’ennemi numéro 1 du web ? - Justice. La bataille qui oppose les éditeurs du Web et le bloqueur de pub Adblock Plus pourrait connaître un nouveau tournant inattendu. En effet, d’après nos confrères Les Echos, une plainte pourrait être déposée à l’encontre du développeur allemand. Cette montée en puissance de la colère des éditeurs fait suite à de nombreuses échauffourées qui ont eu lieu entre les deux partis.
Il faut dire qu’Adblock Plus, de par son efficacité et sa simplicité d’utilisation, a séduit bon nombre d’internautes. Ces derniers, lassés de la pollution abusive présente sur certains sites, ont retrouvé un surf agréable grâce à l’usage de ce bloqueur. À travers ce sujet d’initiés, se cachent en fait plusieurs autres sujets importants auxquels le net est confronté depuis toujours. Pour répondre à cette ultra dépendance, certains sites ont choisi d’autres modèles économiques. Les réseaux WiFi publics ne respectent pas votre vie privée selon la CNIL !