Les légumineuses, une solution durable pour améliorer l’alimentation – Lavieeco. Pour encourager la production et la consommation, 2016 est proclamée par l’ONU Année internationale des légumineuses alimentaires.
Le Salvador bannit le Roundup de Monsanto et connaît des récoltes records. Le Salvador a tourné le dos aux grandes multinationales semencières et aux phytosanitaires pour favoriser la culture de graines locales.
Depuis, le système agricole du pays aurait gagné en durabilité et en productivité. En septembre 2013, le Salvador votait l’interdiction de 53 produits phytosanitaires à usage agricole. L’agriculture bio, «pas que pour les bobos», mais attention aux dérives. «De la bio pas que pour les +bobos+»: les acteurs du secteur encouragent un accès élargi à l’agriculture biologique, à condition que ses principes clés ne soient pas dévoyés par la grande distribution, et ont élaboré une nouvelle charte.
Face au changement d’échelle de l’agriculture biologique et à un intérêt croissant de la grande distribution, la Fédération nationale de l’agriculture biologique (FNAB) a révisé sa charte dont l’objectif est d’éviter une «bio au rabais». «On va vers une bio à deux vitesses», explique Brooks Wallin, du syndicat professionnel Natexbio. L’agriculture biologique, outil anti-chômage.
Les jeunes Fidjiens, ni-Vanuatu et Samoans de 18 à 30 ans sont concernés par ce projet d’emploi durable. (© CPS)
Le bio est capable de nourrir la population mondiale. Etiquetage OGM : un collectif citoyen dépose une plainte auprès de l'Union européenne. Le collectif citoyen "Consommateurs pas cobayes" a annoncé, mardi 9 février, le dépôt d'une plainte auprès de l'Etat français et de l'Union européenne pour non-respect de la réglementation en matière d'accès à l'information sur les OGM.
Il réclame l'étiquetage obligatoire de tous les produits alimentaires issus d'animaux nourris avec des OGM. Après le lancement d'une pétition ayant rassemblé plus de 240.000 signatures, le collectif entend rappeler aux autorités européennes et nationales, leurs obligations liées à la Convention d'Aarhus entrée en vigueur en 2002. De nombreux soutiens étaient présents, notamment l'avocate Corinne Lepage, la députée Brigitte Allain (écologistes) et le président de FNE, Denez L'Hostis. L’agriculture sera bio… ou ne sera plus. De là à le traiter d’archaïque, indécrottable nostalgique d’une vie paysanne qui fait corps avec la nature et les saisons, il n’y a qu’un pas que franchissent ses détracteurs.
Constatant la crise qui touche toutes les filières, Marc Dufumier pourfend l’agriculture industrielle, la PAC, les multinationales semencières, prône la « production intensivement écologique » et fait enrager les tenants de l’agriculture conventionnelle qui raillent en retour son « passéisme ». Les amanins centre agro-écologique. Terre et humanisme, promoteur infatigable de l’agroécologie. LE MONDE ARGENT | • Mis à jour le | Par Frédéric Cazenave Le Mas de Beaulieu : ce nom ne vous dit sûrement rien, mais il parle à tous les adeptes de l’agroécologie et de son gourou Pierre Rabhi.
C’est ici, à Lablachère, en Ardèche, à une trentaine de kilomètres d’Aubenas, que l’association Terre et humanisme sensibilise le public et forme tous ceux qui souhaitent apprendre les grands principes de cette pratique agricole – respecter la terre, refuser les ajouts chimiques et favoriser la biodiversité – à mille lieues de l’agriculture conventionnelle. « L’agroécologie ne se résume pas à des techniques mais répond à une éthique d’existence. Nous sommes soucieux du patrimoine que constitue la terre, et souhaitons le préserver pour les générations futures », précise M. Rabhi. Transmettre l'Agroécologie. Le Bhoutan : premier pays à passer à une agriculture biologique intégrale. Image : Allpe Le Bhoutan, avec ses quelque 750 000 habitants, sera le premier pays à passer à une agriculture biologique intégrale, et ce avant 2020.
La vente de pesticides et d’herbicides chimiques sera dès lors interdite. Les agriculteurs bhoutanais n’utiliseront plus de produits chimiques artificiels pour leurs cultures, mais uniquement des engrais organiques naturels obtenus à partir de leur bétail. Pour l’heure, une grande partie de l’agriculture bhoutanaise est biologique en raison du coût élevé des pesticides et des herbicides artificiels. Agriculture. Les maraîchers bio : pas riches mais heureux. On ne fait pas fortune dans le maraîchage bio.
Selon une récente étude du Groupement régional des agriculteurs bio (Grab) de Basse-Normandie, le revenu net moyen des maraîchers bio ne dépasserait pas 740 € par mois... « Un maraîcher sur cinq ne se prélève aucun revenu, révèle Antoine Marquet, du Gab 14, qui a passé au crible 31 des 125 fermes maraîchères bio de la région. Seuls deux producteurs arrivent à se rémunérer au-dessus du smic horaire.
L'un d'entre eux dépasse les 2000€ mensuels. » Lire aussi : Loire Atlantique. Le maraîcher diversifie ses sources énergétiques Les fermes qui ont plus de dix ans d'expérience s'en sortent mieux, avec un chiffre d'affaire dépassant 35 000 €, seuil minimum pour dégager plus de 1 000 € de revenu. « Mais beaucoup de maraîchers se sont installés ces trois dernières années. Rapprocher Bio et ESS, c’est vital !
Le Labo de l’Ess ESS Économie sociale et solidaire | Présentation est tout naturellement partenaire de la campagne de nos amis de la Fédération Fédération Définition National de l’Agriculture biologique : "manger Bio local, c’est idéal".
Nous partageons en effet complètement la conviction que l’agriculture bio est favorable à l’environnement, en maintenant la vitalité des sols et des eaux, au climat - en permettant le stockage du carbone - à l’économie de proximité - en localisant la valeur ajoutée et les emplois - à la santé - avec une utilisation bien moindre de résidus de pesticides... Tout cela fait partie de nos propres combats pour une conception plus durable de l’économie, à l’heure de la Cop21 à contrario du développement de l’agriculture de ces dernières décennies. Il faut aller plus loin.
A commencer par celle du changement d’échelle. CR Conférence internaitonale Agriculture biologique et Sécurité Alimentaire. Agriculture bio en France. Produire bio et local, c’est idéal. Economie locale Economie locale Définition, environnement, climat, santé, qualité ou encore convivialité, les impacts positifs d’une agriculture bio produite et consommée en circuit-court sont des leviers puissants. Nous savons aujourd’hui que l’Agriculture Biologique est bonne pour notre santé.
On retrouve 233 fois moins de résidus pesticides dans notre assiette quand celle-ci contient des aliments bio (étude Génération Futures). Certains de ces pesticides sont de plus, cancérigènes ou perturbateurs endocriniens. La qualité et la variété des produits est également supérieure : davantage de nutriments dans les aliments bio ou encore de variétés de produits aujourd’hui introuvables dans le commerce comme les sucres non raffinés ou des produits transformés à base de céréales de variétés anciennes ou locales.