Hausse de 15% des volumes de viande bio abattus en 2016. Manger aujourd’hui et demain: trois grandes tendances au cœur de nos assiettes. Contenu Sponsorisé.
Les Français consacrent quotidiennement plus de deux heures à l’alimentation, tout en conservant le modèle traditionnel des trois repas par jour (d’après une étude de l’Insee en 2010). Mais les pratiques alimentaires évoluent largement, au gré de nouveaux outils ou de nouvelles motivations. En tête, le numérique. «Ce qui est arrivé en premier, c’est l’aspect achat: le e-commerce, avec le drive, les comparateurs de prix, …», explique Pascale Hébel, Directrice du Pôle Consommation et Entreprise du Crédoc (Centre de recherche pour l’étude et l’observation des conditions de vie), qui animait le panel «Et demain?»
Lors du Forum «Bon appétit!» Autre grande transformation, plus récente : l’arrivée des services de livraison de repas tout prêts, lancés grâce à des sites bien pensés, des applis et des algorithmes pointus. Pourquoi les villes, comme les hommes, sont ce qu’elles mangent. Rien n'arrêtera le mouvement Maker. Agriculteurs et jardiniers seront-ils bientôt obligés de cultiver dans la clandestinité. La Cité de l’Alimentation et de l’Agriculture. Description : La Cité de l’Alimentation et de l’Agriculture méditerranéenne.
Un lieu d’exception dédié à la formation, l’insertion, l’innovation et l’expérimentation.Un site passerelle entre le social et l’entreprise qui favorise les populations en difficultés.Un site pilote zéro déchets et autonome en énergie.Une autonomie financière. Les néo-paysans. Gaspard D'Allens et Lucile Leclair sont partis un an sur les routes de France à la rencontre des néo-paysans.
Ces hommes et femmes ont décidé de cultiver leur rêve ailleurs que sur le bitume, en changeant de vie pour devenir maraîcher, éleveur, apiculteur, arboriculteur... Les néo-paysans, Gaspard d'Allens, Lucile Leclair, ed. Seuil-Reporterre, 144p, 12 euros Je m’appelle Nicolas, j’étais directeur d’une entreprise de produits phytosanitaires avant d’exploser à quarante ans. Je veux vivre autre chose, devenir paysan-boulanger. Moi c’est Alice, j’ai grandi au sixième étage d’un HLM, ma nature c'était le bac à sable et les cheveux au vent sur la balançoire. Je suis Sonia, j’ai toujours rêvé d’être bergère même si mes parents étaient chocolatiers. BOU’SOL : le réseau des boulangeries solidaires. Lauréat du deuxième appel à projets PTCE PTCE Pôles territoriaux de coopération économique.
(Pôle Territorial de Coopération Economique), Bou’Sol a pour vocation de créer et animer un réseau de boulangeries solidaires. Fournisseurs de blés, producteurs de farine et boulangers ont créé ensemble une filière bio durable, solidaire et créatrice d’emplois. Bou’Sol, c’est d’abord la rencontre de deux entrepreneurs de Provence Alpes Côte d’Azur, Benjamin Borcel et Samuel Mougin avec les acteurs d’une entreprise boulangère d’insertion implantée à Marseille, « Pain et Partage ». Jusque-là tournée vers une logique de réinsertion professionnelle, l’association Association Définition « Pain et Partage » a souhaité donner une dimension citoyenne et responsable à son projet.
Un PTCE PTCE Pôles territoriaux de coopération économique. pour l’essaimage de boulangeries solidaires partout en France. Mon alimentation, c'est moi. Un appétit croissant pour le « manger local » en Île-de-France. 54 % de la population mondiale vit aujourd’hui en ville, et 2,5 milliards supplémentaires d’urbains sont attendus à l’horizon 2050, selon l’ONU.
Au fil du temps, les relations entre la ville et l’agriculture ont évolué : les villes se sont détournées de leur hinterland nourricier, allant chercher des produits toujours plus loin, notamment grâce au développement des transports ferroviaires puis routiers frigorifiques. L’agriculture s’est progressivement détournée de la ville en se spécialisant et en répondant aux logiques de marché. En parallèle, les questions climatiques, énergétiques, financières, environnementales sont de plus en plus prégnantes et parfois contradictoires. Comment nourrir ces populations urbaines coupées de leur terre nourricière ? Cela coûte (vraiment) moins cher de ne pas faire ses courses dans les superma...
SÉRIE #UNMOISSANSSUPERMARCHE 6/6 - Aidée par les internautes, une journaliste du Figaro.fr a cessé de mettre les pieds dans les grandes surfaces pendant un mois.
Conclusion de cette expérience collaborative : on dépense moins en consommant mieux ! Pour aider les agriculteurs, j'ai relevé le défi lancé par les internautes de ne plus mettre les pieds dans un supermarché. Au terme de cette expérience collaborative, la conclusion est sans appel: quelles que soient les solutions adoptées chaque semaine, j'ai dépensé moins tout en consommant mieux.
En un mois, j'ai dépensé 264,50 euros pour me procurer tous les produits de consommation courante: cosmétiques, produits ménagers et alimentation. Sur le mois précédant, j'avais dépensé 300 euros en me rendant uniquement en supermarché. Circuits courts : consommez local avec notre carte des producteurs près de ch... Découvrez notre carte interactive pour consommer local, un annuaire conçu sur les recommandations des auditeurs et internautes de France Bleu et auquel vous pouvez toujours participer.
France Bleu publie son annuaire des producteurs en circuit court. A partir des recommandations des auditeurs et internautes de France Bleu, et sur la foi des informations fournies par les producteurs que nous avons ensuite recontactés, découvrez notre carte interactive des producteurs à proximité de votre domicile pour consommer local. Ecochef Challenge - Cuisinez au naturel. Les enjeux d'une alimentation durable. Le colloque inaugural de la chaire Unesco Alimentations du monde se tiendra à Montpellier, le 27 janvier prochain.
L'alimentation durable sera au cœur des débats de ce rassemblement. Les intervenants et organisateurs partent d'un constat paradoxal: " la FAO estime que deux milliards d’individus souffrent de la faim ou de carences alimentaires sévères et, selon les statistiques de l’Organisation mondiale de la santé, environ un milliard de personnes seraient atteintes d’obésité. " Cet événement va se tenir alors que l'INRA (Institut national de la recherche en agronomie), en collaboration avec le Cirad (Centre international de recherche agronomique), vient de publier une synthèse dans le cadre d'un programme de recherche intitulé DuALIne. Végétarien, sans gluten, crudivore: à chacun son assiette. Comment réunir autour d’une même table votre fille végétarienne, un ami converti au sans gluten, une nièce crudivore?
En cette période de fêtes, les repas peuvent virer au casse-tête face aux régimes et modes alimentaires qui font de plus en plus d’adeptes. Qu’elles soient motivées par des raisons médicales, éthiques, nées en réaction à des scandales alimentaires, ces tendances «sans» (viande, gluten, lactose, sucre, sel, gras etc.) et bio gagnent toujours plus d’assiettes occidentales. «Il aurait été improbable il y a une dizaine d’années d’avoir un invité sur dix qui consomme sans gluten, aujourd’hui vous avez plus de chances d’en avoir un, voire deux», relève Xavier Terlet, président de XTC World Innovation, cabinet de conseil sur l’alimentaire. Outre-Atlantique, cette situation était déjà décrite en 2010 par un dessin du New Yorker, intitulé «Le dernier Thanksgiving»: une table vide, sans la dinde traditionnelle, entourée de convives ayant tous un régime différent.
Le plaidoyer d'Alexandre Gauthier pour une cuisine d'art et d'essai. Défenseur d'une cuisine locale et soucieuse de l'environnement, le chef de La Grenouillère casse les codes.
Et réinvente la gastronomie d'auteur en s'inspirant de l'art contemporain. Le 30 novembre, Alexandre Gauthier élaborait le déjeuner officiel de la COP21, servi à cent cinquante chefs d'Etat. Les grands chefs passent au vert. Exit l'époque où la cuisine végétarienne était le parent pauvre des tables de luxe. Joël Robuchon, Christophe Moret et Thierry Marx, entre autres, s'emballent pour cet univers encore à défriche. Les palaces auraient-ils perdu le sens de l'étiquette?
20110615GUIDE 2010 BDF cle01625c. ACTES 9 121. Favoriser la biodiversité urbaine/atelier cuisine durable — ShakePeers. Par Guillaume B. Vous êtes sur la version de travail d'un article en révision que vous pouvez contribuer à améliorer. Contributeurs : Guillaume B., Vincent Bonhomme · Éditeur : ? No_editorDate création : 20 novembre 2014 · Date révision : ? Date_rev · Version révision : ? Id_rev Fiche atelier cuisine durable. CHAIRE-UNESCO Alimentations du monde. Rôle social et culturel de l'alimentation. Les facteurs socio-économiques, culturels, politiques, historiques, religieux et écologiques exercent une influence sur ce que nous mangeons ou ne mangeons pas.
Manger ne signifie pas simplement se nourrir, car l'alimentation occupe une place bien plus large dans notre vie. Elle joue notamment un rôle très important dans les relations sociales et économiques des individus. Un aliment est certes un produit, mais à côté de cela il peut faire fonction de symbole du statut d'une personne ou encore refléter son identité. C'est donc aussi une raison pour laquelle nous le consommons. Ces grands chefs français qui se mettent à l'heure végétarienne.
La gastronomie française est reconnue internationalement. La viande (et le vin !)