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Grèce

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Les véritables motifs derrière la « crise perpétuelle » de l’Europe et la mort de la Grèce. “Hier, Richard Koo de Nomura a présenté l’une des meilleures évaluations de la situation en Grèce, quand il a déclaré que le « FMI commence lentement à comprendre l’économie grecque », ce qui explique son revirement stratégique, à propos de celle qui exige désormais des réductions de sa dette bien plus importantes que ce que l’Europe, et l’Allemagne tout particulièrement, sont prêts à concéder. Koo note en outre que « la raison qui explique le plongeon du PIB de la Grèce provient de ce que la consolidation budgétaire a été réalisée en plein bilan de récession, résultant d’une spirale déflationniste destructive qui a complètement dévasté la vie des Grecs ordinaires. Alors même que la nation peut donner l’impression de faire des progrès si nous prenons en considération les données en pourcentage du PIB, les données brutes nous montrent à contrario une économie en plein effondrement.

Ce ne fut pas vraiment le cas, comme les événements du 5 Juillet l’ont démontré. Du 30 mai 2008 Grèce: 94% DSK partage ses pensées sur la Grèce dans une lettre ouverte "À (ses) amis allemands" GRÈCE - Après avoir partagé ses conseils pour sortir de l'impasse grecque fin juin, DSK publie samedi 18 juillet une lettre ouverte intitulée "À mes amis allemands", faisant office de plaidoyer pour l'Europe. En trois langues –anglais, allemand et français–, ce texte partagé sur Twitter à ses 59.000 followers revient sur l'accord grec conclu le week-end dernier. L'ancien ministre de l'Economie ne mâche pas ses mots sur ce qui s'est joué en coulisses: "Les conditions de cet accord (...) sont proprement effrayantes pour qui croit encore en l'avenir de l'Europe. Ce qui s'est passé le week-end dernier est pour moi fondamentalement néfaste, presque mortifère.

" "Sans discuter en détail les mesures imposées à la Grèce (...), ce que je veux souligner ici, c'est que le contexte dans lequel ce diktat a eu lieu crée un climat dévastateur", dénonce encore DSK. » Descendez tout en bas du document pour lire l'intégralité de la lettre ouverte en français: » Que le diable les emporte s’ils ne sauvent pas la Grèce, par Helmut Schmidt.

L’ancien chancelier s’élève contre l’euro-hystérie. Jusqu’ici, pas un seul euro n’aurait été versé par l’Allemagne à la Grèce. Au lieu de se mobiliser contre Athènes, les politiciens feraient mieux de brider les marchés financiers. Cher monsieur Schmidt, depuis des mois les médias n’arrêtent pas de parler des turbulences sur les marchés financiers. Mais malgré tout ce que le public peut entendre ou lire, il reste un point où il demeure ignorant : une faillite de la Grèce serait-elle vraiment un désastre pour l’Union européenne ou non ?

Pouvez-vous nous éclairer sur ce point ? Helmut Schmidt : On peut avoir une idée de l’importance économique de l’état grec et de son économie nationale si l’on garde bien à l’esprit que son PIB représente environ 2,5% du PIB de l’Union européenne… … le pays a approximativement la puissance économique de la Hesse. Les Grecs sont la plus vieille nation civilisée d’Europe. Mais que faire si les Grecs ne font pas leur devoir ? Mais c’est la réalité. C’est vrai. Grèce : connivences bourgeoises autour du magot. C’est le passage obligé dans les conversations sur les terrasses d’Athènes ou de Thessalonique. Irrité de voir l’Allemagne imposer ses dogmes austéritaires depuis cinq ans, aucun Grec, ou presque, ne se privera jamais de rappeler à son interlocuteur l’étendue du scandale Siemens, du nom de la multinationale mouillée dans une opération de méga-corruption – 70 millions d’euros de pots-de-vin – pour obtenir le contrat de numérisation du réseau de télécommunications public grec à la fin des années 1990.

D’autres exemples existent. Les intérêts des multinationales en Grèce sont extrêmement importants et ils donnent lieu depuis des lustres à des transactions frauduleuses, au point qu’à son arrivée au pouvoir, le gouvernement Syriza a de suite examiné la possibilité d’écarter des marchés publics des multinationales comme Siemens, donc, mais aussi Eurocopter, Rheinmetall et NHIndustries. L’histoire de ce fonds éclaire parfaitement les intérêts en jeu. Grèce: l'envers du décor, comment vont les Grecs? Depuis plusieurs mois, les rues d’Athènes, si effervescentes habituellement, tournent au ralenti. Cabossée, la capitale grecque n’en finit plus de s’enfoncer dans une crise qui aurait déjà eu raison de beaucoup d’autres métropoles. Et l’accord récent pour un troisième plan d’aide à la Grèce ne semble pas s’être préoccupé outre mesure du sort des habitants de la cité de Thésée. Pas étonnant dès lors qu’à la " faillite " de l’Etat grec, certains préfèrent la figure du retraité, acculé à la ruine, par une Europe égoïste.

Deux journalistes RTBF, Aurélie Didier et Willy Vandervorst, de retour de Grèce, ont livré leurs impressions sur un tissu social dense, en souffrance, mais paradoxalement obligé de se renouveler à cause de la crise. Un tissu social beaucoup plus développé Pour le reporter radio Willy Vandervorst, habitué de la Grèce, cela fait des années que le pays est dans la difficulté économique et sociale. Un lien fort qui permet d’atténuer les effets de la crise aujourd’hui. Syriza/Grèce #2. Syriza/Grèce #1. Crise grecque: la vidéo qu’il faut absolument voir!!!

Accueil » Argent et politique, Géopolitique, Manipulation, Réflexion » Crise grecque: la vidéo qu’il faut absolument voir!!! Cette vidéo-interview ne dure que trente minutes, que sont réellement que trente minutes sur toute une vie sachant que cela peut vous apporter beaucoup au niveau connaissances sur la situation actuelle?

Car cette interview est un condensé assez exceptionnel en faits et en dénonciations sur ce qu’il se passe, sur les réalités de notre système économique, et sur les pouvoir en place. La seule solution, espérer bien fort un effondrement du pouvoir de ces ennemis de la planète (et je ne peux minimiser un tel propos), qui n’ont qu’un seul but: la possession de celle-ci pour étendre un pouvoir sans bornes. Vous ne pourrez plus dire que vous ne saviez pas! Voilà ce que nous avons à combattre, maintenant, combien regarderont cette vidéo jusqu’au bout? » Couverture médiatique du référendum en Grèce : le meilleur du pire.

La couverture médiatique du référendum grec s’est transformée, comme on pouvait s’y attendre, en véritable curée anti-Syriza. Dans la presse écrite, sur Twitter, à la télévision, c’est à un déferlement de mépris, voire de haine, que l’on a assisté, avec une virulence qui rappelle inévitablement les grandes heures du référendum français de 2005. Lors de nos premières observations, nous avons parfois mis de côté quelques épisodes journalistiques particulièrement délicieux, mais qui à eux seuls ne pouvaient donner lieu à un article. Voici donc une compilation de ces grands moments : le meilleur du pire de l’information sur le référendum grec [1]. Boule de cristal Il y a d’abord eu LE tweet visionnaire, le 27 juin, de ce très grand connaisseur de la Grèce qu’est Jean Quatremer, correspondant deLibération à Bruxelles : Aucun doute : les « sources » de Jean Quatremer sont fiables.

Presque autant que les sources d’Arnaud Leparmentier, du Monde, qui a eu lui aussi des illuminations [2] : Etc. Tsipras est un voyou communiste. On a beau s’y attendre, cela pique toujours un peu les yeux: le traitement de l’affaire grecque par la presse française de ce week-end relève dans son immense majorité du parti-pris le plus éhonté. Tsipras est un « braqueur de banque » pour les Echos, un « maître chanteur » pour le JDD qui nous explique que c’est normal car il était communiste dans sa jeunesse et il l’est encore un peu maintenant. En effet, c’est bien connu, comme le disait une affiche de propagande des heures les plus sombres de notre histoire : « Si tous les voyous ne sont pas communistes, tous les communistes sont des voyous ».

Le JDD précise d’ailleurs en Une : « La Grèce, c’est fini ! » comme Capri sans doute bien que Capri se trouve en Italie, Italie elle-même qui n’est pas à l’abri d’une secousse un peu forte en cas de Grexit, mais c’est une autre histoire. » Le JDD toujours, en pages intérieures : « L’Europe lâche la Grèce ». Même pas. La seule relative bonne surprise est venue de… DSK ! TROP , c'est trop... J'ACCUSE ! (Pourquoi la crise grecque, voici la réponse cachée)

Voici quelque mois , j'ai écrit un billet intitulé Décolonisons l'Europe de l'Occupation Financière .. Il y a quelques semaines j'en ai écrit un autre intitulé : Ceci n'est pas un complot mais une stratégie . Je ne pensais pas avoir ce matin une démonstration aussi éclatante de la réalité de ces deux observations. La Grèce a visiblement dans ses eaux maritimes des gisements pétroliers et gaziers d'une importance et d'une richesse exceptionnelles. Cette nouvelle devrait faire la une de tous les journaux et un article remarquablement détaillé a été écrit sur le sujet par F. William Engdahl en Mars 2012, journaliste américain, spécialiste des questions énergétiques et géopolitiques. Depuis des millénaires , les richesses d'un sous sol ou des eaux territoriales d'un pays appartiennent au pays lui-même et à son peuple . Bill, l’époux de la secrétaire d’État Hillary, est lobbyiste à Washington pour le compte de Noble Energy. [13] La Grèce est le pays le plus riche de toute l'Europe !!!

Alors Oui : Dette: au-delà de l'intox, où en est vraiment la négociation entre la Grèce et le reste de l'Eurogroup? EUROPE - Vendredi 24 avril, Yanis Varoufakis, le ministre grec des finances, est attendu de pied ferme par ses confrères des États membres à Riga (Lettonie) pour un nouvel Eurogroup. Les comptes publics et les réformes de la Grèce seront encore à l'ordre du jour. Pour la Grèce, c'est clairement l'Eurogroup de la dernière chance. C'est-à-dire qu'il est au moins aussi crucial que celui du 20 février, mais sans être tout à fait aussi important que celui du 11 mai prochain...

A moins que ce ne soit l'inverse... Allez, admettez-le. À bien y réfléchir, ce n'est pas étonnant. Comme pour une signature de contrat dans le privé, ou une partie de poker, chaque camp use et abuse du bluff pour manipuler l'adversaire et l'obliger à capituler. Le 8 avril, la visite du premier ministre Alexis Tsipras en Russie en a fait les frais. Difficile à suivre ? Alors accord, pas accord ? La Grèce racle les fonds de tiroir... Oui, le pays est fauché. "La Grèce a de sérieux problèmes de Trésorerie. Le FMI a fait 2,5 milliards € de bénéfice sur ses prêts à la Grèce. Le FMI FMIFonds monétaire international Le FMI a été créé en 1944 à Bretton Woods (avec la Banque mondiale, son institution jumelle). Son but était de stabiliser le système financier international en réglementant la circulation des capitaux.

À ce jour, 187 pays en sont membres (les mêmes qu’à la Banque mondiale). Cliquez pour plus. Applique un taux d’intérêt effectif de 3,6 % sur ses prêts à la Grèce. Sur l’ensemble de ses prêts à tous les pays en crise de la dette Dette Dette multilatérale : Dette qui est due à la Banque mondiale, au FMI, aux banques de développement régionales comme la Banque Africaine de Développement, et à d’autres institutions multilatérales comme le Fonds Européen de Développement.Dette privée : Emprunts contractés par des emprunteurs privés quel que soit le prêteur.Dette publique : Ensemble des emprunts contractés par des emprunteurs publics. entre 2010 et 2014, le FMI a réalisé un bénéfice total de 8,4 milliards €, dont plus d’un quart vient de la Grèce.

En 2016, l'économie la plus performante de la zone euro sera... La Grè... Le Fonds monétaire international vient comme d’habitude de réviser ses prévisions de croissance pour cette année et la suivante dans son World Economic Outlook 2016. Selon Olivier Blanchard, économiste en chef du FMI, l'économie mondiale devrait se redresser légèrement en 2015 et 2016, mais les banques demeurent faibles et l’endettement élevé est encore une entrave pour l'économie. La croissance économique aux États-Unis est abaissée d'un demi pour cent, tandis que la croissance de la zone euro est ajustée à raison de seulement 1,5% pour 2015 et 1,6% en 2016. La zone euro bénéficie en particulier d’un euro faible et de la réduction de moitié des cours du pétrole. La Russie et le Brésil devraient se contracter ; la croissance sera faible ailleurs en Amérique Latine. Cependant, l'Inde bénéficiera d’une croissance plus forte que la Chine.

Nous sommes clairement au cœur des négociations avec les Grecs nous désirons vivement trouver une solution, et nous espérons que nous en trouverons une. Grèce : la charia au coeur de l'Europe. Ces montagnes au paysage marqué par la culture du tabac sont la terre des pomaks, des musulmans d'origine slave. Les femmes y ont la vie rude. Ici, la charia régule leur vie familiale, organise leur vie sociale. Une atmosphère étouffante sous le regard pesant de la communauté. Qui voir, que porter, où se rendre, qui épouser... Deux fois par an, se tient un "bazar aux épouses".

Adéa Guillot et Myrto Papadopoulos sont allées à la rencontre de ces femmes de Thrace. De Adéa Guillot et Myrto Papadopoulos - ARTE GEIE / West Morisson Production - Grèce 2014 Interview d'Adéa Guillot "Les femmes que j'ai rencontrées étouffent et elles ont eu le courage de nous le dire pour ce reportage" Dès son arrivée en Grèce il y a sept ans, la journaliste française Adéa Guillot a été intriguée par "cette région entière qui vit sous le régime de la charia, dans la puissante Grèce orthodoxe et homogène". La Grèce fait état de fortes pressions US pour la dissuader d'adhérer au projet du gazoduc Russie-Turquie.

Alors que la Grèce fait l’objet de vastes préoccupations quant à son avenir financier, une forte odeur de pétrole pourrait bien rôder autour du dossier. Si Panagiotis Lafazanis, ministre grec de l’Energie, a récemment indiqué qu’Athènes montrait un vif intérêt au prolongement sur son territoire du nouveau gazoduc que le géant gazier russe Gazprom envisage de construire à destination de la Turquie, il vient de déclarer à la presse russe que les Etats-Unis exerçaient une très forte pression sur la Grèce, afin de la dissuader de participer à la réalisation du projet de gazoduc Turkish Stream, destiné à livrer du gaz russe en Europe. « Ils exercent une très forte pression », a ainsi déclaré M. Lafazanis interrogé par le journal russe RIA Novosti lors d’une conférence de presse à Moscou. Mais pour l’heure, les pressions américaines ne semblent pas être suivies d’effet .. « Nous considérons que tous les corridors doivent être ouverts pour la Russie », a ainsi ajouté M. Lafazanis. Grèce, le facteur O(tan) | Mondialisation - Centre de Reserche sur la Mondialisation.

Tsipras rencontre Poutine à Moscou le 8 avril, au moment même où Ue, Bce et FMI tiennent un nouveau sommet sur la Grèce, qui le jour suivant doit rembourser une échéance de 450 millions d’euros du prêt concédé par le Fonds monétaire international. Les thèmes officiels, dans la rencontre de Moscou, sont ceux du commerce et de l’énergie, dont la possibilité que la Grèce devienne le hub européen du nouveau gazoduc, remplaçant le South Stream bloqué par la Bulgarie sous pression étasunienne, qui apportera à travers la Turquie le gaz russe au seuil de l’Ue. On parlera aussi d’un possible relâchement des contre-sanctions russes, en permettant l’importation de produits agricoles grecs. Selon ses déclarations à l’Agence Tass (31 mars), le premier ministre Tsipras a communiqué au président du Conseil européen, Donald Tusk, et à la représentante pour la politique étrangère Ue, Federica Mogherini, que « nous ne sommes pas d’accord avec les sanctions contre la Russie ».

Manlio Dinucci. Poutine et Tsipras se rencontrent le 8 avril: les principaux éléments | Mondialisation - Centre de Reserche sur la Mondialisation. Tsipras à Moscou: les raisons d'un rapprochement. Victoire de Syriza 25 janvier 2015. Le vrai problème de la zone euro n'est pas la crise grecque, mais plut... La Commission Européenne a déclaré la guerre aux pauvres. Grèce : les impôts des pauvres ont quadruplé. Grèce : petit guide contre les bobards médiatiques. Soutenir la Grèce, par Serge Halimi (Le Monde diplomatique, mars 2015) L'évasion fiscale: ce que les Grecs peuvent apprendre de l'Etat juif. Soutenir la Grèce, par Serge Halimi (Le Monde diplomatique, mars 2015) Grèce : petits guide contre les bobards médiatiques (et politiques) bobard 1… | au coin du comptoir.

Grèce : petit guide contre les bobards médiatiques.