Code de déontologie du bibliothécaire. Mise à jour le 28 novembre 2016 En novembre 2003, la question de la déontologie du métier est au cœur des préoccupations du bureau national de l’ABF. C’est dire l’importance du code ici présenté : il vient enfin compléter pour la France, un ensemble qui, au niveau international, vise à définir en quelque sorte les droits et devoirs des bibliothécaires dans le monde. Le code de déontologie du bibliothécaire concerne tous les types de bibliothèques, publiques ou privées recevant du public. Il s’adresse à tous métiers des bibliothèques quels que soient les spécificités, les statuts ou la place dans la hiérarchie. Il est destiné à inspirer les bibliothécaires dans leur action quotidienne aussi bien que dans leur action générale. Code de déontologie du bibliothécaire adopté lors du conseil national de l’Association des bibliothécaires français le 23 mars 2003 1. l’usager Le bibliothécaire est d’abord au service des usagers de la bibliothèque.
Code de déontologie.
Le rapport Lescure et l'offre numérique en bibliothèque. Ce lundi Pierre Lescure a rendu sa copie commandée commandée le 8 août 2012 sur " l' Acte II de l'exception culturelle à l'ère du numérique ". Au final, un rapport très complet, livré en 2 tomes (un pour le constat et les propositions, l'autre en résumé des centaines d'auditions), soit plus de 700 pages (on dit même plus de 2,5 kg en version papier), mais surtout comprenant 80 propositions réparties en 3 thèmes : l'accès des publics aux œuvres et offres culturelles en ligne, la rémunération des créateurs et le financement de la création, la protection et l'adaptation des droits de propriété intellectuelle.
Le rapport est vraiment très complet, très détaillé. Je reviendrais d'ailleurs dessus dans les jours à venir, le temps de digérer un peu tout ce contenu. Aujourd'hui je vais m'arrêter sur 3 propositions relatives à l'offre numérique en bibliothèque. Le rapport part sur un constat, l'offre de prêts de livres numériques est très (trop ?) Le rapport Lescure est vraiment très fourni. Rapport Lescure : du positif pour le livre numérique en bibliothèque. Le rapport Lescure sur l’Acte 2 de l’exception culturelle est paru il y a quelques semaines déjà. Comme prévu, les débats se sont focalisés sur l’Hadopi et le CSA. Sur l’ensemble d’un rapport comportant plus de 80 propositions en 2 tomes et plus de 900 pages, il y a de quoi commenter et aller un peu plus loin.
Je m’associe pleinement à l’analyse proposée par SavoirsCom1. Ce rapport contient des éléments très critiquables et d’autres très positifs ! J’aimerai mettre en avant certains points positifs qui n’ont pas été soulignés, notamment ceux autour du livre numérique et des bibliothèques. En revanche je partage la nécessité affirmée de disposer de la part des fournisseurs d’une « offre claire, transparente et non discriminatoire spécifique en direction des bibliothèques ». Inciter les éditeurs à mettre en place, sur une base volontaire, une gestion collective des usages numériques en bibliothèque. On peut quand même se féliciter que l’importance des usages collectifs soit reconnue.
Rapport Lescure : L'offre numérique en bibliothèque n'est pas à la hauteur. Le rapport de Pierre Lescure sur "L'acte 2 de l'exception culturelle : contributions aux politiques culturelles à l'ère numérique" ne se penche pas seulement sur le sort de l'Hadopi ou sur l'hypothèse d'une taxation des smartphones. De façon moins médiatique, il s'intéresse aussi à la question de la numérisation des bibliothèques publiques (fiche A13 du rapport, pages 185 à 193). Avec un constat sans appel : "L'offre numérique en bibliothèque, aujourd'hui très peu développée, n'est pas à la hauteur des missions de ces institutions et des attentes du public.
" La France à la traîne Selon le rapport, 1% seulement des bibliothèques françaises (et 4% des bibliothèques de niveau 1) disposent aujourd'hui d'un fonds de livres numériques. Trois mesures pour sortir de l'impasse Pour sortir de cette impasse, le rapport Lescure propose trois mesures. Jean-Noël Escudié / PCA. Repenser les lieux culturels : l’exemple du Manga-Café de Paris. Le manga-café de Paris est un lieu assez fascinant parce qu’il montre une réponse concrète à des problématiques qui intéressent à la fois les libraires et les bibliothécaires. En voici une présentation issue du Petit blog : Qu’est ce qu’un Manga Café ? C’est un lieu de détente dans lequel une gigantesque bibliothèque de mangas est mise à votre disposition.
Le premier Manga Café ou «manga kissa» est né au Japon en 1979 dans un quartier étudiant de Tokyo. Les mangas Cafés ont connu un essor extraordinaire puisqu’aujourd’hui on en dénombre près de 3500 dans tout le Japon. Le concept en lui même a évolué. Voici les tarifs et horaires : Dans ce lieu on ne prête pas des documents, on les vend et on loue du temps pour les lire dans un espace agréable. A partir de là, l’enjeu est de proposer tous types de services (payants) pour rendre l’expérience la plus complète possible : jeux vidéo, lecture sur place, achat de livres, restaurant, café.
Auteur : Silvae (1099 Posts) Aucun tag pour cet article.