Dépendance à Internet. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La dépendance à Internet (également nommée cyberdépendance cyberaddiction usage problématique d'Internet (UPI) ou trouble de dépendance à Internet (TDI)) désigne un trouble psychologique entraînant un besoin excessif et obsessionnel d'utiliser un ordinateur et interférant sur la vie quotidienne. Des activités en ligne, telles que l'achat en ligne, si faite en personne, peuvent être considérées comme problématiques si celles-ci sont compulsives. Signes et symptômes[modifier | modifier le code] D'après le spécialiste français Romain Cally « sur le web, la compulsion apparaît lorsque l'internaute ne juge plus son comportement normal, mais ne peut pour autant éviter de se connecter.
Symptômes psychologiques allégués[9] : Symptômes physiques allégués[10] : yeux secs ;maux de tête migraineux ;maux de dos ;syndrome du tunnel carpien ;repas irréguliers ou sautés ;mauvaise hygiène personnelle ;insomnies ou changements dans le cycle du sommeil. D. Psychologie : Internet Addiction and Online Addiction. By John M. Grohol, Psy.D.
May 27, 1999, Last updated: March 4, 2016 A resource for objective, useful informationabout Internet addiction, a theorized disorder.Is the Internet Addiction Test valid? What is Internet Addiction Disorder (IAD)? Researchers still can't tell you exactly what Internet Addiction Disorder is, also know by the term "Pathological Internet Use" (PIU). Much of the original research was based upon the weakest type of research methodology, namely exploratory surveys with no clear hypothesis, agreed-upon definition of the term, or theoretical conceptualization. Coming from an atheoretical approach has some benefits, but also is not typically recognized as being a strong way to approach a new disorder. The original research into this disorder began with exploratory surveys, which cannot establish causal relationships between specific behaviors and their cause.
Do some people have problems with spending too much time online? Other factors are simply not controlled for. Pouce ! Mieux vivre avec le numérique. Un salarié sur trois souffre du stress de l’e-mail, du mobile, voire des réseaux sociaux. Deux salariés sur trois roulent en lisant leurs SMS. Trois salariés sur trois sont utilisateurs (pro ou perso) du 3.0 ou parents de Y. Le numérique professionnel nous occupe plus de 4h30 par jour. Le nombre de cartes SIM actives dépasse celui du nombre de français… « Prenant acte de l’intérêt des nouveaux outils, mais aussi des risques qu’ils induisent au regard des conduites addictives, Thierry Le Fur nous invite à identifier les conditions d’un usage adapté », indique en préface Jean-Pierre Couteron.
La force de son analyse est d’oser aller au-delà du rappel des grands principes pour en partager la mise en œuvre dans la dynamique du monde de l’entreprise : comment faire pour contenir ces usages abusifs qui mettent en danger les personnes et finissent par desservir celles et ceux qui les emploient. I – Bénéficier d’une éducation numérique II – Identifier les usages problématiques et agir.
L’addiction numérique, un mal croissant chez les jeunes. A Singapour, comme dans un nombre grandissant de pays, des psychiatres militent pour que l'addiction aux smartphones soit reconnue comme un trouble psychologique. Avec la Corée du Sud, la Chine et Taïwan, la cité-Etat est l'un des pays d'Asie les plus concernés par ce phénomène.
L’addiction au smartphone, un trouble psy ? Singapour et Hong Kong détiennent d’ailleurs le record régional du plus grand nombre d'utilisateurs de smartphones par habitant, selon un rapport publié l'an dernier par le cabinet d'étude Nielsen. 87% des 5,4 millions de Singapouriens sont ainsi munis d'un téléphone multifonctions, contre 65% aux Etats-Unis. Ils passent en moyenne 38 minutes par session sur Facebook, soit presque deux fois plus que les Américains, selon la société Experian.En France, les dernières études menées établissent à 40 % le pourcentage de Français qui utilisent l'internet mobile, c'est-à-dire depuis leurs smartphones et tablettes*.
Les ravages du text-neck Les symptômes de l’addiction numérique. Accro au numérique ? Les nouvelles addictions... - La gazette de Danièle : "Des idées et des Arts...". Nous en avons tous un usage régulier, à partir de quel moment pouvons-être considérés comme addicts aux nouvelles technologies ? Comment cette addiction se traduit-elle au quotidien ?
Michael Stora : Cela ne se traduit pas tant en terme d’heures passées sur les nouvelles technologies qu’en termes de rupture des liens sociaux réels. L’addiction se manifeste par un décrochage de la vie sociale : refus de participer à des repas de famille, moins de sorties en couple, abandon de ses responsabilités de parent... Pour les enfants cela commence par l’absence de présence au repas du soir et cela peut aller jusqu’à la déscolarisation. Les nouvelles technologies mettent la vie sociale au second plan petit à petit. Il faut faire le distinguo entre les moments excessifs et l’addiction.
Dan Véléa : La « e-dépendance » et le concept de cyberdépendance sont apparus vers le milieu des années 1990. Les premiers écrits sont nord-américains, Ivan Goldberg, suivi en 1996 par mes écrits français. Michael Stora : Source informelle.