Les jeunes et Internet : quels risques ? Quelles protections ? Les jeunes pris dans la toile : quels dangers ? Effectivement, le risque de voir des enfants exposés à des contenus violents, pornographiques voire pédophiles existe. Mais les dangers d’Internet, ce sont aussi : Voir des informations personnelles et privées (initialement récupérées au moyen de formulaires, questionnaires, cookies) circuler sur le réseau, Etre la proie de marketing et publicité déguisés sous forme de divertissement , Se laisser tenter par des achats en ligne, non sécurisés, Participer à des rendez-vous ou échanges avec des inconnus, anonymes malintentionnés Faut-il en déduire qu’Internet est envahi par des pédophiles, nazis ou autre affreux guettant nos jeunes et naïves progénitures ?
Signalement en ligne, nounous électroniques… Initiatives des pouvoirs publics, ou d’origine privée, divers actions, publications ou utilitaires se sont développés pour favoriser la protection des jeunes sur le web. Les navigateurs internet proposent des systèmes de filtrage. . … et Éducation. Association de protection de l'enfance sur internet - Action Innocence. Comment les adolescents utilisent les réseaux sociaux ?
Les adolescents, qui intéressent beaucoup les marques pour leur qualité de consommateurs, ont une place très importante dans l’écosystème des réseaux sociaux. Quelles sont leurs habitudes ? Les ados et les réseaux : vaste sujet qui fait souvent polémique aussi bien sur les sujets négatifs tels que la vie privée, de l’âge auquel on les laisse y avoir accès, la cyberintimidation ect et d’un autre côté, l’enrichissement personnel, l’accessibilité à l’information, les échanges avec les autres. Tout le monde se pose beaucoup de questions, sans entrer dans la polémique, restons factuels avec quelques chiffres d’usage et une infographie très intéressante sur les habitudes des 13-19 ans sur les réseaux sociaux pour accompagner les analyses. D’une manière générale, parents, futurs parents, amis, il est important de surveiller les activités de vos enfants sur le net, de les accompagner et de leur expliquer les dangers et les aspects bénéfiques des réseaux.
*Source de l’infographique présentée : Bilan de l'usage des réseaux sociaux en 2014. GlobalWebIndex dresse l’état des lieux des réseaux sociaux au troisième trimestre 2014 à travers le monde. Dans cette étude, GWI s’intéresse au désintérêt grandissant des adolescents pour Facebook, l’appétence particulière des jeunes pour Tumblr, Pinterest et Instagram, la croissance exponentielle de Snapchat ainsi qu’à la part grandissante des connexions sur mobile et tablettes. GlobalWebIndex publie chaque trimestre un bilan sur les dernières tendances dans les réseaux sociaux dans plus de 30 pays dans le monde.
Basé sur 40 000 internautes de 16 à 64 ans, cet état des lieux donne un aperçu des différents niveaux d’engagement par réseau social ou application, ainsi que des comportements par tranches d’âge, notamment chez les adolescents. Les adolescents se détournent de Facebook • Malgré sa position de leader, Facebook doit faire face à quelques défis : 50% de la population du Royaume-Unis et des Etats-Unis dit utiliser moins fréquemment qu’auparavant le réseau social. On ne le dira jamais assez, #internet a changé nos habitudes. Avec l’explosion des réseaux sociaux, c’est tout le quotidien qui est transporté sur la toile. Chaque personne publique, chaque entreprise, se doit de surveiller sa réputation en ligne, car dés. Cyberdépendance.
Les jeunes passent beaucoup de temps sur la Toile : deux heures en moyenne par jour (étude JAMES 2014). Les réseaux sociaux en particulier ont un grand pouvoir d’attraction sur les enfants et les adolescents. Les jeux vidéo aussi fascinent et sont, du coup, fréquemment pratiqués, car ils permettent de satisfaire leur goût de l’aventure et leur besoin de reconnaissance et de succès. Mais la consommation excessive d’Internet et de jeux vidéo peut rendre dépendant. Et là, les jeunes constituent un groupe à risque. Les adolescents timides, dépressifs ou ayant peu d’estime de soi courent de plus grands risques de développer une cyberdépendance. Les problèmes émotionnels semblent plus faciles à surmonter en jouant, en surfant et en tchattant.
Les jeux de rôle en ligne et les plateformes de communication comme les réseaux sociaux et les tchats recèlent un fort potentiel addictif. Réseaux sociaux. Férus de réseaux sociaux comme Facebook, Instagram, Snapchat, Google+, Netlog, Twitter, Tumblr, Pinterest, Flickr, etc., les jeunes y consacrent beaucoup de temps.80 % d’entre eux se rendent sur les réseaux sociaux tous les jours ou plusieurs fois par semaine (étude JAMES 2016).
Les réseaux sociaux appartiennent à la génération du Web 2.0. Autrement dit, à la différence de l’Internet traditionnel, l’utilisateur n’est pas seulement consommateur, mais aussi acteur, puisqu’il crée du contenu (textes, vidéos ou photos). 94 % des jeunes ont un profil Les réseaux sociaux sont particulièrement appréciés parce qu’ils permettent de nouer des contacts aux quatre coins de la planète, de trouver des personnes partageant ses intérêts et de communiquer avec elles en temps réel.
Dès son profil en ligne, l’utilisateur reçoit un feedback des autres internautes et sait comment il est perçu.