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Television is a drug.

Television is a drug.

LAURENT GIRARD: Statues of Central Park Robert Burns Photograph (c)Laurent Girard /All Rights Reserved The Falconer Photograph (c)Laurent Girard /All Rights Reserved Sir Walter Scott Photograph (c)Laurent Girard /All Rights Reserved Group of BearsPhotograph (c)Laurent Girard /All Rights Reserved Indian Hunter Three Dancing MaidensPhotograph (c)Laurent Girard /All Rights Reserved The Angel of the WatersPhotograph (c)Laurent Girard /All Rights Reserved Taking photographs since the age of 12, French born Laurent Girard has been one of the world's most sought-after master black and white printers for decades. Defective Detective Les étudiants Avner Geller et Stevie Lewis ont réalisé dans le cadre du Cartoon Brew‘s 2nd Student Animation Festival ce court-métrage « Defective Detective ». Narrant les aventures d’un détective à l’imagination débordante, cette vidéo est à découvrir dans la suite.

Edward Bernays Edward Bernays en 1917. Œuvres principales Il est considéré comme le père de la propagande politique et d'entreprise, ainsi que de l'industrie des relations publiques, qui ont fortement contribué à développer le consumérisme américain. Biographie[modifier | modifier le code] Famille[modifier | modifier le code] Edward Bernays naît à Vienne en 1891. Il est à deux titres le neveu du psychanalyste Sigmund Freud[3],[4], neveu germain et neveu par alliance[5],[6] : son père, Ely Bernays (1860-1923), est le frère de Martha Bernays, l'épouse de Freud,sa mère, Anna Freud (1858-1955) est l'une des sœurs de Freud[7]. Il a publié en 1965 son autobiographie[8]. Son grand-oncle, le philologue Jacob Bernays, fut « le premier juif pratiquant à être nommé sur un poste proprement universitaire dans l'Allemagne du dix-neuvième siècle »[9]. Il a été marié à l'écrivaine et activiste féministe Doris E. Il est le grand-oncle paternel de Marc Randolph (né en 1958), le cofondateur et premier PDG de Netflix[10]. — E.

En ligne, les médias français sont des "nains publicitaires" - A Douche froide pour les éditeurs cet après-midi au Geste , à Paris, à l'écoute des résultats de l'étude Precepta sur les business models des médias en ligne français. Même si la plupart savaient à quoi s'en tenir. D'abord ce chiffre inquiétant: leurs revenus web n'ont représenté l'an dernier que 2,8% du chiffre d'affaires total des médias français (410 millions € sur 14,3 milliards). On est loin des 10% espérés il y a encore quelques années ou des 20% annoncés aujourd'hui par certains... Après des progressions de 30% par an depuis 2000, leur chiffre d'affaires en ligne a même reculé de 6% en 2009. Et les perspectives ne sont pas bonnes , selon ce cabinet d'études: après un rebond technique du marché publicitaire (+4%) dans son ensemble attendu en 2010, il s'attend à un ralentissement assez franc en 2011 (+0,5%). A défaut de volumes de revenus sur le web, la rentabilité est-elle au rendez vous? "Même pas", répond David Targy de Precepta.

Procreate - Creativity, has no bounds. Hitch Voici « Hitch », le projet vidéo de fin d’études de Felix Meyer, Pascal Monaco et Torsten Strer : 3 étudiants à l’Université Of Applied Sciences and Arts de Hanovre. Cette création représente un livre animé contenant les recettes des films d’Alfred Hitchcock. L’Observatoire des médias Get the picture? Art in the brain of the beholder - 17 July 2012 Read full article Continue reading page |1|2|3 "My child could have done that!" Wrong – neuroaesthetics is starting to show us why abstract art can be so beguiling STANDING in front of Jackson Pollock's Summertime: Number 9A one day, I was struck by an unfamiliar feeling. It was my road-to-Damascus moment - the first time a piece of abstract art had stirred my emotions. Since then, I have come to appreciate the work of many more modern artists, who express varying levels of abstraction in their work, in particular the great Piet Mondrian, Paul Klee, and contemporary artist Hiroshi Sugimoto. Little did I know that researchers have already started to address this question. The studies are part of an emerging discipline called neuroaesthetics, founded just over 10 years ago by Semir Zeki of University College London. Could the same approach tell us anything about the controversial pieces that began to emerge from the tail end of Impressionism more than 100 years ago? Chimp or Rothko?

Paris en 2000 images A l’origine de cette création, un étudiant américain : Luke Shepard. Son idée ? Effectuer 2000 clichés de Paris, pour au final les mettre bout à bout et ainsi créer une vidéo time-lapse en stop-motion. Le résultat est hypnotisant, la bande son y étant très certainement pour quelque chose, puisque Shepard a choisi le titre “Intro” de la formation anglaise The xx. Au programme, les plus grands monuments de Paris, du Sacré-Cœur à la Pyramide du Louvre en passant par Notre-Dame de Paris, le tout à la fois de jour et de nuit. Un très beau travail, intitulé “Le Flâneur”, à visionner ci-dessous :

182, Haruki Murakami The author at his jazz club, Peter Cat, in 1978. Haruki Murakami is not only arguably the most experimental Japanese novelist to have been translated into English, he is also the most popular, with sales in the millions worldwide. His greatest novels inhabit the liminal zone between realism and fable, whodunit and science fiction: Hard-Boiled Wonderland and the End of the World, for example, features a protagonist who is literally of two minds, and The Wind-Up Bird Chronicle, perhaps his best-known work outside of Japan, begins prosaically—as a man’s search for his missing wife—then quietly mutates into the strangest hybrid narrative since Laurence Sterne’s Tristram Shandy. Murakami was born in 1949 in Kyoto, Japan’s ancient capital, to a middle-class family with a vested interest in the national culture: his father was a teacher of Japanese literature, his grandfather a Buddhist monk. My style, what I think of as my style, is very close to Hard-Boiled Wonderland. That’s right. Right.

Walt Disney Animation Studios Blog - Page 1 - King Brown King brown Launch in NYC Posted by: Cleo on the 4th of December, 2015, 1 comment Posted in: kingbrown, launch, new york city It's going down, December 18 & 19 in New York City! Bitetime journal and exhibition Posted by: Ian Mutch on the 30th of August, 2015, 65 comments Posted in: Melbourne, exhibition, publication, zine, ian mutch Solo exhibition by Ian Mutch at 2A/127 Greville Street Prahran. New Walls by Yok and Sheryo at Coney Island Posted by: Yok on the 13th of July, 2015, 31 comments Posted in: yok, sheryo, the yok, street art, Coney Island Art Walls This June we were invited by Jeffrey Deitch to participate in the Coney Island Art walls in Brooklyn NY, alongside a talented roster of artists including, Futura, Crash, How and Nosm and many more. Cosmic Dread - Sean Morris Posted by: Ian Mutch on the 12th of May, 2015, 160 comments Posted in: Exhibition, Sean Morris, Melbourne A little teaser from walls completed at ALL FRESCO 2015 in Auckland, New Zealand. Askew One by Route52 Xoe Hall

À quoi peuvent bien servir les génériques ? A- Les menus Ces génériques sont menus dans tous les sens du terme. D’abord parce qu’ils sont franchement minimums et ensuite parce qu’ils ne font que dérouler la liste des principaux intervenants. Les premiers d’entre eux, ce sont aussi les plus anciens. Dans les années 1950, l’unique but du générique de presque tous les programmes était de rendre hommage au «généreux sponsor» qui «offrait» ce programme aux téléspectateurs. Et le premier désir de ces marques, c’était que le spectateur sache bien à qui il devait son quart d’heure de divertissement. Ce genre de générique peut ressembler à un fossile, mais il n’a pas disparu pour autant, du moins il ne s’est pas éteint subitement. On peut quand même, tout en restant dans le genre «entrées – plats – desserts», être un tout petit peu sophistiqué. B - Les branchés Le design d’un générique peut aussi servir à donner le ton. C - Les bavards Ceux là en disent long. D - Les muets parlants E - Les décalés F - Les épatants G - Les racoleurs

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