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Les communes et les régions "citoyennes" | L'économie citoyenne. Qu'est-ce-qu'une commune citoyenne ? Une commune devient une commune "citoyenne" en soutenant le processus complet de l'économie du bien commun (EBC) et au minimum une des cinq activités énumérées ci-dessous. Elle s'enregistre sur le site de l' "Association pour la promotion de l'économie du bien commun» en tant que commune-partisane de l'EBC.
L '"Association pour la promotion de l'économie du bien commun" aide à la prise de décision du conseil communal. L'engagement de la commune peut être élargi, en amenant ses propres idées et initiatives. Pour chacune de ces activités, il y a un "graine" (le logo du mouvement). 1. 2. 3. 4. 5. Combien y-a-t-il de communes du bien commun ? L'intérêt de devenir une commune du bien commun est actuellement très présent et s'étend de l'Autriche en passant par Bayern et le Sudtirol jusqu'en Suisse et en Espagne. Liste des communes et régions du bien commun Cette liste comprend actuellement uniquement les communes et régions du bien commun en Italie (incl. Comment travaillerons-nous. A l’heure où les robots et les algorithmes sont perçus de plus en plus souvent comme une dépossession, nous subtilisant notre pouvoir, notre travail, notre connaissance, nous avons certainement besoin d’entendre d’autres manières d’interagir avec eux.
“Nous avons besoin de nous engager directement avec les machines”, clame l’architecte Fabio Gramazio sur la scène de la conférence Lift, qui se tenait du 5 au 7 février 2014 à Genève. Fabio Gramazio est architecte au cabinet Gramazio & Kohler. Il enseigne l’architecture et la fabrication numérique à l’École polytechnique fédérale de Zurich et au Future Cities Laboratories de Singapour… A priori, on peut avoir tendance à penser que l’architecture n’a rien à voir avec la robotisation ou la fabrication numérique, et pourtant, l’architecte va brillamment nous prouver le contraire… Travailler avec les robots La fabrication numérique a le potentiel de créer une différenciation à coût zéro, estime Gramazio. Mesh-Mould from GramazioKohler on Vimeo. Rendre inaliénables les biens communs, par Ugo Mattei. Lorsqu’un Etat privatise une voie ferrée, une ligne de transport aérien ou un hôpital, qu’il cède la distribution d’eau potable ou vend des universités, il exproprie la communauté d’une partie de ses biens ; une expropriation symétrique à celle qu’il réalise sur la propriété privée lorsqu’il souhaite construire une route ou tout autre ouvrage public.
Dans un processus de privatisation, le gouvernement vend quelque chose qui n’est pas à lui, mais qui appartient proportionnellement à chacun des membres de la communauté, de la même manière que, lorsqu’il saisit un champ pour construire une autoroute, il acquiert par la coercition une propriété qui n’est pas la sienne. Cela revient à dire que toute privatisation décidée par l’autorité publique — représentée par le gouvernement du moment — prive chaque citoyen de sa quote-part du bien commun, comme dans le cas d’une saisine de bien privé. Taille de l’article complet : 2 012 mots. (4) Elinor Ostrom, Gouvernance des biens communs. . (6) Carlo M. 4. La Psychologie économique contre l'Économie politique.
Citton-EsquisseEconomiePolitiqueAffects-2008. Passé et présent des biens communs. Ouverture et enclosure Dans son film documentaire, Les Glaneurs et la glaneuse (2000), Agnès Varda revisite la pratique traditionnelle du glanage dans la France d’aujourd’hui. Son voyage à travers le pays à la recherche de déchets et d’objets de rebuts variés commence justement par la terre et par les tonnes de pommes de terre trop peu uniformes pour la vente en supermarché. En fouillant le tas de légumes imparfaits, elle trouve rapidement la première des pommes de terre en forme de cœur qui deviendra le symbole de son film et de sa suite, Les glaneurs et la glaneuse : deux ans après en 2002. Des grappes de raisin à l’art du collage, des pommes aux installations, Varda juxtapose avec fluidité nos usages de ressources tangibles et plus intangibles – ce qui « tombe entre les mots », comme le viticulteur et psychanalyste Jean Laplanche le dit poétiquement de son œuvre.
Le film de Varda me servira ici de point de départ pour explorer les deux processus parallèles d’ouverture et d’enclosure. La pauvreté comme acte de résistance ? Recensé : Giorgio Agamben, De la très haute pauvreté. Règles et forme de vie, Payot & Rivages, 2011 (réédition au format 10/18, Rivages poches, avril 2013). Traduit de l’italien par Joël Gayrault. 220 p., 20 €. Le philosophe Giorgio Agamben consacre le volume IV.1 de sa série intitulée Homo Sacer aux règles monastiques écrites entre le IVe et le XIIIe siècle, et à la pauvreté volontaire de l’ordre des frères mineurs (franciscains). Dans une première partie, l’auteur propose une analyse du rapport qui s’établit entre la règle et la vie, en se fondant sur la lecture de textes fondateurs du monachisme cénobitique (moines vivant en communauté et refusant d’être ermites).
C’est une occasion de réfléchir à la nature de la règle et de préciser en quoi la norme monastique la règle de vie diffère de la norme juridique — la règle de droit. Règle de droit et règle de vie monastique Une vie en dehors du droit ? Quelques enjeux politiques de l’« héritage » franciscain. Biens-collectifs.