Lien vers l'appel à proposition. Prix Liberté. Institut International des Droits de l'Homme et de la Paix : ressources pour Prix Liberté. Dispositif pédagogique de sensibilisation à la liberté, à la paix et aux droits de l’Homme Le Prix Liberté est un dispositif pédagogique de sensibilisation à la liberté, à la paix et aux droits de l’Homme ancré dans les valeurs portées par le Débarquement du 6 juin 1944 en Normandie. Le Prix Liberté invite les jeunes de 15 à 25 ans de Normandie, des autres régions de France et à l’international, à désigner chaque année une personne ou une organisation engagée dans un combat récent et exemplaire en faveur de la liberté.
Proposé par la Région Normandie, mis en œuvre avec l’Institut international des droits de l’Homme et de la paix, en partenariat étroit avec les autorités académiques de Normandie et le réseau Canopé, le Prix Liberté constitue un hommage à tous ceux qui se sont battus et continuent à se battre pour cet idéal. La singularité de ce dispositif : Le Prix Liberté s’articule en 3 temps forts 1. 2. En savoir plus sur les délibérations du jury international 2024 en cliquant ici. 3. Amnesty International. Reporters sans frontières.
Ligue des droits de l’Homme. Femmes ici et ailleurs. Jenny Chan / droits des travailleurs chinois. Jenny Chan est une sociologue chinoise et militante pour les droits des travailleurs chinois. Elle enseigne à l’Université polytechnique de Hong Kong, et est spécialisée en sociologie du travail et de la mondialisation. Après une licence de sociologie à l’Université chinoise de Hong Kong et un master de philosophie à l’Université de Hong Kong, Jenny Chan effectue de 2009 à 2012 son doctorat de sociologie et d’études chinoises à la faculté d’histoire et de sciences sociales de l’Université de Londres, pendant lequel elle est titulaire de la bourse Reid Research[1]. En 2013, elle remporte le prestigieux prix éducatif Chinese Student Award, qui est remis chaque année par le Great-Britain-China Educational Trust à un étudiant chinois pour subventionner ses frais de scolarité en Angleterre et son projet de recherche[2].
Chan travaille aujourd’hui sur un projet de recherche qui retrace la privatisation des services de livraison dans l’économie numérique de la Chine. Celia Izoard, journaliste (critique des technologies modernes) Rencontre autour de la collection Anthropocène/Écocène (Seuil) présentée par Christophe Bonneuil (histoire), avec Geneviève Azam (économie), Aurélien Berlan (philosophie), Jean-Baptiste Fressoz (histoire), Célia Izoard (philosophie) et Laure Teulières (histoire). Si l'écologie a peu avancé dans les institutions depuis octobre2013, elle phosphore et bouillonne dans le champ des idées et des mobilisations. Ce débat permettra de prendre la mesure des perspectives ouvertes et du chemin parcouru. Pour fêter les dix ans de la collection Anthropocène (Le Seuil) et la naissance de la collection Écocène, son directeur, Christophe Bonneuil, réunit plusieurs autrices et auteurs qui ont contribué aux réflexions. Christophe Bonneuil est directeur de recherche en histoire au CNRS et enseigne à l'EHESS, à Paris.
Ses recherches portent sur les rapports des sociétés à l'environnement depuis le 19e siècle. Il anime la collection « Anthropocène » aux éditions du Seuil. Cinq femmes en première ligne de la lutte pour les droits humains en 2018 - Amnesty International. En décembre 2018, dans le monde entier, des centaines de milliers de citoyens ordinaires s’uniront pour rédiger des lettres, griffonner des cartes postales, faire des dessins et envoyer des courriels dans un unique but : faire changer les choses. Tous ces gens prendront part à l’une des plus grandes campagnes en faveur des droits humains au monde, Écrire pour les droits. Et cette année, ils apporteront leur soutien à des femmes extraordinaires qui luttent en première ligne pour la justice et font bien souvent face à une opposition féroce, à la discrimination et à la violence.
La campagne de 2018 met à l’honneur des femmes défenseures des droits humains qui, malgré tous les obstacles, font entendre leur voix pour réclamer des changements. Cinq d’entre elles sont présentées ici. Prenez le temps de vous joindre à elles aujourd’hui. Écrivez une lettre, changez une vie ! 1. Cependant, Nonhle est déterminée à résister. 2. Atena a été frappée, aspergée de gaz poivre et placée à l’isolement. 3.
Cameroun : le pluralisme médiatique existe mais la liberté d'expression est un défi. Le paysage médiatique camerounais a la particularité d'être pluriel. Ainsi, selon les statistiques officielles, le pays compte près de 700 journaux (paraissant pour certains de manière plus ou moins régulière), environ 100 chaînes de télévision, plus de 150 stations de radio dont une cinquantaine à caractère communautaire et 39 médias en ligne. Malgré cette diversité, les journalistes font régulièrement l'objet d'attaques de toutes sortes. L'un des exemples les plus récents et emblématiques est celui du journaliste Martinez Zogo, directeur d’Amplitude FM, une radio urbaine de la capitale du Cameroun. Son corps sans vie a été retrouvé le 22 janvier 2023, dans une banlieue de Yaoundé, alors qu'il avait été porté disparu cinq jours auparavant.
Avant lui, en 2019, Samuel Wazizi, journaliste anglophone à Chillen Music Television, décédait dans des circonstances qui restent à élucider. Le paradoxe du paysage médiatique Le défi de l'expression plurielle Liberté d’expression en sursis. Cameroun : la situation des droits humains Amnesty International. Le droit à la liberté d’expression a été gravement menacé et deux journalistes ont été tués.
Les opposant·e·s politiques, ainsi que les anglophones des régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest, ont continué de faire l’objet d’arrestations arbitraires. Dans les régions anglophones du Nord-Ouest et du Sud-Ouest, l’armée camerounaise et des groupes armés séparatistes ont commis des homicides illégaux et des meurtres. Dans la région de l’Extrême-Nord, des groupes armés issus de Boko Haram ont continué de se rendre coupables d’homicides et d’enlèvements. Contexte Liberté d’expression Des journalistes ont été victimes d’attaques dans le cadre de leurs activités professionnelles1. Martinez Zogo, journaliste et directeur de la station de radio privée Amplitude FM, a été enlevé par des hommes non identifiés le 17 janvier. Détention arbitraire Droit à la vie Le 4 octobre, des séparatistes armés ont rassemblé les habitant·e·s de Guzang, dans la région du Nord-Ouest, et ont abattu deux hommes3. Cameroun : la liberté de la presse mise à mal - voici comment y remédier.
Le journaliste camerounais Martinez Zogo a été retrouvé mort le 22 janvier, après avoir été enlevé le 17 janvier 2023, à Yaoundé. L'enquête de la police a abouti à l’arrestation de plusieurs personnes de haut rang fortement soupçonnées d'être liées ou impliquées dans ce crime odieux. D'après le gouvernement, Martinez Zogo a subi “d'importants sévices” au moment de sa mort.
Cet assassinat a suscité une condamnation générale de la part des organisations de défense des droits humains et des militants de la liberté de la presse qui sont très préoccupés par la situation. La liberté d'expression et la libre circulation de l'information sont des éléments essentiels au développement d'une société démocratique. Dans une telle société, les journalistes et les médias contribuent à la transparence et la responsabilité des autorités publiques et gouvernementales.
Les médias comme chien de garde Marteau repressif de l'Etat Le cas de Martinez n'est pas nouveau. Respect des obligations internationales. Libérez les personnes détenues pour avoir exprimé leurs opinions au Cameroun - Amnesty International. Plus d’une centaine de personnes sont détenues arbitrairement au Cameroun, simplement pour avoir exercé leurs droits à la liberté d’expression et de réunion pacifique.
Agissez maintenant et exigez la fin de la détention arbitraire d’activistes politiques, de défenseurs des droits humains et de manifestants. Au Cameroun, la répression contre des personnes simplement pour avoir exercé leurs droits à la liberté d’expression et de réunion a visé des partisans du principal parti d’opposition, des défenseurs des droits humains, des manifestants de la région anglophone, ainsi que des membres d’un mouvement social. Dorgelesse Nguessan est coiffeuse et mère célibataire d’un garçon de 17 ans. Elle a été inspirée à participer à sa toute première marche, une manifestation organisée par le MRC (Mouvement pour la Renaissance du Cameroun), le 22 septembre 2020. Cette manifestation a eu lieu malgré l’interdiction des autorités. Intifalia Oben est un commerçant de 29 ans et un sympathisant du MRC. Mouvement pour la renaissance du Cameroun.
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Mouvement pour la renaissance du Cameroun (MRC en anglais : Cameroon Renaissance Movement, CMR) est un parti politique du Cameroun, fondé le 22 juin 2012, par changement de dénomination de Mouvement populaire républicain. Son dirigeant est Maurice Kamto. Le 13 août 2012, un groupe de personnes se retrouvent à l'hôtel Hilton de Yaoundé; ils ont fait une déclaration de manifestation et obtenu du préfet de l'arrondissement avec - récépissé de dépôt de déclaration - de se réunir pour la création du parti MRC. Le jour dit, le rassemblement est interdit lorsque la présence de Maurice Kamto est avérée[2]. Le Mouvement pour la Renaissance du Cameroun se présente comme une nouvelle force politique ayant l’ambition de représenter une véritable alternative au pouvoir RDPC. Le présidium du parti est constitué de[3] Le directoire est l’instance où se prennent les décisions stratégiques du parti. Il est composé : Mamadou Mota.
Tribune "Non à la médicalisation de l'excision" - Site de espoirsetcombatsdefemmes ! Merci aux co-rédacteurs et premiers signataires de la tribune collective "Non à la médicalisation de l'excision", pour leur soutien et leur engagement. Le texte a été publié le 27 février dans la rubrique "Débats & idées" du journal Le Monde : L'excision, pratiquée dans une trentaine de pays en Afrique et en Asie touche actuellement plus de 200 millions de filles et de femmes dans le monde.
Pratiquée depuis plusieurs millénaires, l’excision est, depuis un siècle, de plus en plus dénoncée et combattue en raison de son impact sur la santé physique, psychologique et sexuelle des femmes, et du schéma patriarcal dans lequel elle s’intègre. Depuis 1990 le risque pour une fille de subir des mutilations sexuelles a été divisé par trois selon l’ONU qui se félicite des succès des campagnes de prévention. C'est une bonne nouvelle. Les 150 premiers signataires : La chirurgie réparatrice au secours des femmes victimes d’excision | Le Speech de Diaba. BILAKORO - Film doc sur l'excision au Mali (21mn) "Ma libération" court-métrage de Diaba Sidibé. On Dirait Que C'est Normal - Jeanne Cherhal - paroles de la chanson. Il suffit que tu te réveilles Un jour à peu près ordinaire Pour que résonne à tes oreilles Comme un écho des millénaires Il suffit d’un matin trop tôt Pour que le monde dorme encore Tu ne connais pas bien les mots Tu ne connais pas bien ton corps On dirait que c’est normal Il suffit que tu aies six ans Pour ignorer ce qui va suivre On te couvre de satin blanc Tu dénoues tes cheveux de cuivre On te dit "Fille tu es mûre Alors on va te purifier" Ça alors tu étais impure Tu deviens glaise pétrifiée Il suffit d’une douleur telle Que tu n’en as jamais connu Pour savoir que tu es mortelle Si tu ne t’en souvenais plus Mais le pire et ça suffira La femme qui te guillotine Vit avec cette douleur-là Depuis qu’elle est toute gamine C’est comme ça, c’est la tradition Mais qui es-tu pour avoir si mal?
Et on dirait que c’est normal.