Accueil - La classe, l'œuvre ! Et si les musiciens-intervenants sortaient davantage de l'école ? Un rapport conjoint des inspections de l'Education nationale et de la Culture, portant sur les neuf centres de formation des musiciens-intervenants (CFMI) 32 ans après leur création, recommande de "redéfinir le périmètre et les contenus" de leurs fonctions en leur attribuant notamment un rôle "majeur" dans l'élaboration et même le pilotage des volets artistiques et culturels des projets éducatifs territoriaux (PEDT).
Il suggère également de leur accorder une place dans les conservatoires dans la mesure où ils sont bien placés pour "la construction des liens avec les écoles et de diversification des pratiques et des parcours pédagogiques". Entre 4.000 et 5.000 musiciens-intervenants (dans les écoles) ont été formés par les neuf CFMI au cours des trente années qui ont suivi leur création. Trouver des solutions sociétales en laboratoire. Souhaiter le progrès et vouloir une meilleure qualité de vie pour soi et pour ceux qui suivront, tous les souhaitent.
Toutefois, la vie s’est passablement compliquée au fil des décennies ainsi que les problèmes qui en découlent. La sphère technologique tente bien de pallier des manques et de répondre aux besoins contemporains mais cela n'est pas suffisant. Pour bien des problèmes sociaux, il faut aller au-delà de l’innovation technologique et penser plus sociétal. Afin d'y arriver, des laboratoires sont mis en place afin de réfléchir, étudier des solutions et les tester sur le terrain. Une approche systémique des problèmes L’idée d’innovation sociale n’est pas neuve à proprement parler, mais depuis le début de la décennie 2010, elle a de plus en plus de promotion et d’importance dans la sphère publique. Le but des bons laboratoires n’est pas de seulement régler un symptôme, mais le mal à sa source.
Le tout fonctionne à coup d'essais et erreurs. Une méthode qui fait des petits Pas du tout. Concours de Cartographie.