Du deep web au dark web : immersion dans les abysses du web » Toile de Fond. Le Deep Web et le Dark Web sont des termes qui vous sont probablement inconnus et pour cause, cette partie d’Internet est différente de la partie que vous avez l’habitude d’explorer.
Dès lors, nous devons définir ce que sont ces deux OVNIs du Web. Deep Web / Dark Web , qu’est ce que c’est ? Comme nous l’avons vu à travers notre article sur le référencement, la plupart des sites internet et des publications sur le net sont reliés à des mots-clés, permettant ainsi de les rendre visibles plus facilement sur les différents moteurs de recherche comme Google , Yahoo ou encore Bing : c’est ce qu’on appelle le web surfacique, ou Surface Web (c’est plus joli en anglais, hein ?). Cependant, tous les sites ne sont pas référencés. En 2008, on estimait que l’ensemble de ces pages internet non-référencées constituait environ 75 % du contenu total d’internet, soit environ un trilliard de pages ( soit 10²¹ pages).
Tor .onion urls directories. Du deep web au dark web : immersion dans les abysses du web » Toile de Fond. Tor développe une messagerie instantanée. Articles. L'invisible (3/5) : L’infrastructure invisible du web. Avec Benjamin Sontag de la Quadrature du Net et Jean-Luc Vuillemin, Directeur Réseaux et Services Internationaux chez Orange.
Celui-ci sera la veille à Toulon, pour assister a l’arrivée, sur nos côtes, d’un nouveau câble international, le SeaMeWe 5, qui relie l’Europe à l’Asie. Nous parlerons avec eux des installations sous-marines de câbles, dans lesquels 99% de l’Internet circule. Programmation musicale : Joe Hisaishi, Summer BOF de l'été de KikujiroTaylor Mac ferrin feat Bobby Mac Ferrin, Visible, invisibleSon Lux, Lost it to trying A la fin des Nouvelles Vagues chaque jour, une vague d'émotions vers 14h45. World Wide Web. Où la toile est née, plaque commémorant la création du World Wide Web dans les locaux du CERN.
Le World Wide Web [ˌwɝld waɪd ˈwɛb][a] (littéralement la « toile (d’araignée) mondiale », abrégé www ou le Web), la toile mondiale ou la toile[1], est un système hypertexte public fonctionnant sur Internet. Le Web permet de consulter, avec un navigateur, des pages accessibles sur des sites. L’image de la toile d’araignée vient des hyperliens qui lient les pages web entre elles[b]. Le Web n’est qu’une des applications d’Internet[2], distincte d’autres applications comme le courrier électronique, la messagerie instantanée et le partage de fichiers en pair à pair. Inventé en 1989-1990 par Tim Berners-Lee suivi de Robert Cailliau, c'est le Web qui a rendu les médias grand public attentifs à Internet.
Web surfacique. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Le Web surfacique (ou visible, ou indexable) est la partie du World Wide Web qui est accessible en ligne et indexable par les robots d'indexation des moteurs de recherche généralistes (Google, Yahoo! , Exalead, etc.). Le fait qu'une page soit indexable n'induit pas forcément qu'elle a été indexée. L'indexation du Web demande en effet des quantités énormes de ressources matérielles. Web profond. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Ne doit pas être confondu avec darknet. Ne pas confondre[modifier | modifier le code] Ressources profondes[modifier | modifier le code] Les robots d'indexation sont des programmes utilisés par les moteurs de recherche pour parcourir le web. Afin de découvrir de nouvelles pages, ces robots suivent les hyperliens. On peut classer les ressources du web profond dans une ou plusieurs des catégories suivantes : contenu dynamique ;contenu non lié ;contenu à accès limité ;contenu de script ;format non indexable. Voir aussi la section raisons de la non-indexation qui donne plus de précision. Taille[modifier | modifier le code] Une étude de juillet 2001 réalisée par l'entreprise BrightPlanet[1] estime que le web profond pouvait contenir 500 fois plus de ressources que le web indexé par les moteurs de recherche.
« Source sûre », une plate-forme sécurisée pour lanceurs d'alerte. « Le Monde », « La Libre Belgique », « Le Soir de Bruxelles » et la RTBF lancent un système d'envoi sécurisé de documents à leurs journalistes.
En Europe, la protection des sources des journalistes est garantie par des lois et des conventions internationales, mais en pratique, elle est souvent bafouée, y compris par les autorités. En plus des protections juridiques, les lanceurs d'alerte, qui souhaitent généralement rester anonymes pour éviter d'éventuelles représailles, doivent aussi être aidés concrètement par les organes de presse auxquels ils s'adressent. Dans ce but, quatre médias francophones, Le Monde, La Libre Belgique, Le Soir de Bruxelles et la RTBF (radio-télévision belge), ont créé ensemble un site Internet sécurisé baptisé Source sûre. Le site Source sûre Plate-forme internationale.