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Backlash

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Ouest-France_Backlash, le « retour de bâton » du masculinisme au Strapontin, à Pont-Scorff. À Landerneau, la pièce « Backlash » décortique l’offensive masculiniste | Le Télégramme. Pouvez-vous nous dire deux mots sur le Groupe Vertigo ? Philippe Bodet, comédien : « Le Groupe Vertigo est une compagnie de Rennes qui existe depuis plus de dix ans. Ce qui pourrait peut-être la caractériser, c’est un goût pour le théâtre anglais, pour les sujets d’actualité, ainsi que pour les textes qui, loin de nous faire la leçon, permettent aux spectateurs d’éprouver une forme d’empathie pour les personnages.

Ainsi, dans "Backlash", malgré la dureté du sujet, on ne déteste pas d’emblée le personnage central qui n’est pourtant pas très recommandable ». D’où vient le texte de « Backlash » ? « Responsable de la compagnie, Guillaume Doucet a traduit "Angry Alan", un texte de l’autrice anglaise Penelope Skinner, qui n’a pas encore été publié en France. Au-delà de considérer la femme comme bouc émissaire, comment définiriez-vous le masculinisme ? « Backlash veut dire "retour de bâton". À Pont-Scorff, « Backlash » met en scène le masculinisme au Strapontin | Le Télégramme.

Qu’est-ce que « Backlash » ? Le masculinisme est un fléau sournois qui avance à couvert et qui est non nommé. L’idée est de raconter une histoire tout en alertant sur ces mouvements et leur montée en puissance. Il est précieux que l’on puisse parler de ces questions avec finesse et humour, en passant par une histoire palpitante. Mais le féminisme n’est pas pour autant l’enjeu, ce n’est pas polémiste, c’est l’histoire de la vulnérabilité de l’humain. Pourquoi un seul en scène ?

La pièce est écrite pour un seul interprète qui raconte toute l’histoire depuis son point de vue, et en interprète tous les personnages. Quelle place a la vidéo dans ce seul en scène ? La vidéo est un élément à part entière. Pratique « Backlash », mardi 15 octobre, à 20 h 30, au théâtre Le Strapontin, à Pont-Scorff. Femme actuelle Backlash Mars24. Backlash : Quand le théâtre répond au retour de bâton (et c’est un coup de cœur !) -Théâtre de Belleville (Paris) Quelle drôle sensation de que se retrouver à la place d’un.e comédien.ne, de voir dans chaque siège un regard absorber, réagir ou fusiller chaque geste que tu fais, chaque mot que tu prononces !

Cela paraît normal et pourtant tant d’émotions, c’est unique. Nous sommes à la place de Danny et face à nous, Bérangère Notta et Guillaume Doucet se tiennent au premier rang, remplis d’excitation pour Bérangère et d’une légère « flippe » pour Guillaume. En ce vendredi pluvieux, Peneloppe Skinner, l’autrice du texte, vient voir leur adaptation au théâtre de Belleville. « Cela doit être dingue d'avoir un truc hyper intime, d’avoir écrit ces mots les voir dans une autre langue ! (…) À l'intérieur, c'est des trucs qui sont sortis de ton crâne et en même temps, ça paraît totalement étranger. » confie Guillaume. « J'ai hâte de voir Philippe (Danny) et Donald (Sage Mackey, qui joue Rodger dans la pièce originale ) côte à côte » se rejouit Bérangère.

Théâtre politique ou politique du théâtre ? Backlash. Culture top...Blacklash. PianoPanier Backlash Fev24. Manithea..Backlash Copie. Télérama sortir : TTT. L'Humanité : « Backlash » de Penelope Skinner : le masculinisme au secours des miséreux. Dans un monde où le féminisme prive les hommes de leurs privilèges, Angry Alan, un gourou masculiniste, défend les « droits des hommes ». Danny, tout juste licencié, tombe sur l’une de ses vidéos : l’engrenage ne fait que commencer. Seul sur scène, le comédien Philippe Bodet incarne un personnage fragile, qui tente de se reconstruire après son renvoi. Angry Alan est un sauveur inespéré. Lui seul peut mettre des mots sur ce qu’il ressent. Lorsqu’il apparait sur un écran géant, au cœur d’un décor dépouillé, le spectateur adopte la position de Danny. Le quinquagénaire n’hésite pas à questionner le public pour avoir son approbation. Danny est au sommet de sa gloire.

Progressivement, le comique s’efface au profit de la violence. Télérama : Backlash dans les meilleurs spectacles à Paris en janvier 2024. Pour soutenir le travail de toute une rédaction, abonnez-vous Pourquoi voyez-vous ce message ? Vous avez choisi de ne pas accepter le dépôt de "cookies" sur votre navigateur, qui permettent notamment d'afficher de la publicité personnalisée. Nous respectons votre choix, et nous y veillerons. Chaque jour, la rédaction et l'ensemble des métiers de Télérama se mobilisent pour vous proposer sur notre site une offre critique complète, un suivi de l'actualité culturelle, des enquêtes, des entretiens, des reportages, des vidéos, des services, des évènements...

Qualité, fiabilité et indépendance en sont les maîtres mots. Pour ce faire, le soutien et la fidélité de nos abonnés est essentiel. Merci, et à bientôt. S’abonner. Sceneweb : Backlash, les retours de bâton masculinistes. Backlash de Penelope Skinner – crédit Groupe Vertigo Avec Backlash, le Groupe Vertigo donne à voir la mécanique toxique de la rhétorique masculiniste et offre une partition de jeu riche en complexité au comédien Philippe Bodet. Backlash : ce terme anglais signifiant « contrecoup », « retour de bâton » est largement entré dans notre vocabulaire courant – ainsi que l’atteste encore récemment l’affaire Depardieu.

C’est à Susan Faludi que l’on doit la théorisation du mot en concept : en 1991, l’autrice nord-américaine publie un essai au succès retentissant (et traduit en français dès 1993 sous le titre Backlash, la guerre froide contre les femmes). Le backlash désigne pour Faludi l’offensive conservatrice et anti-féministe portée durant la présidence de Ronald Reagan (dans les 80’s) aux Etats-Unis, offensive sapant les avancées féministes des années 70. Sur un plateau revêtu d’un tapis – comme le serait un salon – avec en fond de scène un écran, Danny (se) raconte. Critiquetheatreclau.com. Fort, Puissant, Captivant. Dans les années 1990, Backlash, pour la féministe américaine Susan Faludi, désigne le contrecoup qui pèse sur les droits des femmes après chaque avancée, un retour de bâton réactionnaire et masculinise. Le groupe Vertigo, Guillaume Doucet et Bérangère Notta, s’intéresse principalement aux écritures dramatiques britanniques actuelles très contemporaines, souvent inédites en France.

Ils nous offrent un texte de Penelope Skinner, une dramaturge considérée comme une des nouvelles voix féministes du théâtre anglais. Le texte de Penelope Skinner nous conte l’histoire d’un homme ordinaire qui va être ensorcelé, envouté et pris dans la spirale inexorable du masculisme. Dany est divorcé, père d’un adolescent qu’il ne voit qu’un week-end sur deux or il souhaiterai avoir plus de connivence avec son fils, cela l’attriste et le désole. Pour couronner le tout, il vient d’être licencié d’un emploi bien rémunéré et se contente actuellement d’un boulot ingrat et mal payé.