ON PERCE les SECRETS du DATACENTER DU FUTUR. Écologie - Découvrez pourquoi nous polluons | Infomaniak. Comment les cafés Belco se préparent au réchauffement climatique. Décryptage Transport à la voile, agroécologie... L’importateur de cafés haut de gamme destinés aux torréfacteurs a décidé de construire la résilience de son activité, menacée par le réchauffement climatique. Par Morgane Bertrand Publié le 21 mai 2024 à 12h00 Temps de lecture : 3 min. En accès libre Google Actualités Une vingtaine de jours après avoir quitté le port de Santa Marta, en Colombie, le bien nommé « Anemos » (« vent » en grec) devrait entrer dans le port du Havre en septembre prochain, ses cales chargées de 1 000 tonnes de marchandises, principalement du café. . « Grâce à la propulsion vélique, nous allons diviser par 10 les émissions de CO2 par kilo de café importé, supprimer celles de particules fines, ainsi que le bruit, qui perturbe les comportements des cétacés.
Traçabilité et qualité sensorielle Le transport à la voile est à coup sûr la plus audacieuse des trouvailles du patron de Belco, Alexandre Bellangé, 42 ans. A lire aussi Abonné « Moins mais mieux » Une folie ? EcoloObs. Les arbres fertilitaires : base de l’agro-écologie en Afrique ? - AGRIN-TALK. VIDÉO — Le voilier cargo qui transporte café, cacao et vin sans polluer. Saint-Malo (Ille-et-Vilaine), reportage « C’est un cargo, mais avec deux mâts, des voiles et des capacités de production électrique. » Voilà comment Loïc Briand, directeur général de l’armement maritime, présente son voilier cargo Grain de Sail, un navire de charge moderne dont une partie de la structure est héritée des grands voiliers du XVIIIe siècle.
Amarré à Saint-Malo en cette journée de mi-avril, ce cargo à voiles de 24 mètres de long et 50 tonnes de cale attend son départ prévu dans quelques heures. Son objectif : décarboner le commerce maritime en commençant par le café, le cacao et le vin. Des marchandises très émettrices en CO2, puisque produites à l’autre bout du monde à l’aide d’un acheminement très gourmand (porte-conteneurs, camions, grues, etc.). Le voilier cargo comme alternative maritime aux énergies fossiles est un exemple typique de « rétro-innovation ». Cap sur New York, l’Amérique latine puis la France À bord du Grain de Sail. C’est maintenant que tout se joue… TOWT is fundraising on LITA.co !
Clean Power Europe : une opportunité pour les citoyens de faire un investissement... Cultiver du fourrage dans le désert algérien | Oxfam-Solidarité. Conditions climatiques extrêmes et dunes de sable : le désert algérien semble peu propice à la culture de céréales. Et pourtant, avec le soutien d’Oxfam et du Programme alimentaire mondial (PAM), les réfugiés Sahraouis y cultivent maintenant de l’orge pour leur bétail, dans des conteneurs recyclés. Réfugiés depuis 40 ans L’Algérie accueille depuis 1975 des milliers de réfugiés du Sahara occidental, l’une des crises de réfugiés les plus longue au monde. Répartis en 5 camps, près de la ville de Tindouf, au cœur du désert Algérien, ces réfugiés n’ont peu ou pas de possibilité de commerce ou d’agriculture dans cet environnement isolé au climat extrême. Ils dépendent donc de l’aide humanitaire pour leur survie. Cela fait donc des décennies que ces réfugiés recourent pour se nourrir à un « panier sec » distribué par le PAM : riz, farine, blé, soja… Aujourd’hui, 25% d’entre eux souffrent de malnutrition chronique.
Cultiver du fourrage sans terreau La solution ? Prix de l’innovation. Coopalacarte : les coopératives éoliennes en Belgique. La ville de Grande-Synthe lance le minimum social garanti pour ses habitants les plus pauvres. Le dispositif a déjà existé, dans les années 80, à Grande-Synthe, près de Dunkerque. Aujourd’hui, Damien Carême le relance, en partant du constat que plus 17,6% de sa population vit en dessous de 855 euros par mois. Une somme qui est considérée comme le minimum vital. Financé par des économies d'énergie La mesure va coûter plus de 2 millions d’euros par an, mais c’est finançable assure le maire écologiste de la ville : "L'argent provient des économies d'énergie réalisées par la ville, c'est donc de la transition sociale et écologique.
Sur l'éclairage public, c'est 476.000 euros, sur le réseau de chauffage urbain, c'est 250.000 euros. Et avec les revenus de la taxe professionnelle, c'est de la redistribution des richesses. " 100 à 400 euros par mois La mesure va concerner tous ceux qui sont en dessous du seuil de pauvreté, qui bénéficient déjà des minimas sociaux ou qui sont des travailleurs pauvres. Planteurs d’Avenir se donne trente ans pour couvrir la France de haies. Pour le moment, ce ne sont que quelques poignées de graines sommeillant dans des frigos. Mais elles portent en elles une renaissance, pour ne pas dire une petite révolution agronomique. Au printemps prochain, ces graines d’une vingtaine d’espèces d’arbustes seront mises en pots et les plants qui en naîtront seront enracinés dans de la terre agricole.
Bientôt, ceux-ci formeront une façade végétale touffue et multicolore, qui s’étirera sur des kilomètres et des kilomètres, enserrant les champs à la manière d’un long mur organique. On appelle cela des haies bocagères. « Nous participons au sens de l’histoire ! La suite après la publicité Le grand saccage des haies : une erreur difficile à réparer Lesquels iront quadriller les surfaces agricoles françaises, qui en ont sacrément besoin. Du travail pour au moins trente ans Bref, les haies sont bienfaisantes à tous les niveaux. Petit revenu pour les paysans.