La production génère des « externalités négatives » sur l’environnement. Ce sont des conséquences négatives de l’activité productive de l’homme, qui ne font l’objet d’aucune indemnisation auprès des victimes. Par exemple : la pollution atmosphérique au CO2, la déforestation, la pollution des eaux, la disparition d’espèce animales, l’épuisement des ressources non renouvelables comme le pétrole.
Le PIB mesure les biens et services créés, mais ne mesure pas les richesses naturelles détruites. Il ne tient pas compte des externalités négatives de la production. Autrement dit, il compte positivement des actes qui nuisent à l’environnement et à l’Homme. C’est donc une mesure imparfaite des richesses.