L'éducation à la sexualité. L'éducation à la sexualité se fonde sur les valeurs humanistes de liberté, d'égalité et de tolérance, de respect de soi et d'autrui. Elle doit trouver sa place à l'école dans un esprit de laïcité, de neutralité et de discernement. En effet, l'éducation nationale et l'ensemble de ses personnels agissent, en la matière, dans le plus grand respect des consciences et fait preuve d'une grande vigilance pour que les enseignements soient pleinement adaptés à l'âge des enfants. Cette éducation vise à la connaissance, au respect de soi, de son corps et au respect d'autrui, sans dimension sexuelle stricto sensu à l'école élémentaire.
Elle est complétée, à l'adolescence, par une compréhension de la sexualité et des comportements sexuels dans le respect de l'autre et de son corps. L'enfance et l'intimité sont pleinement respectées. L'éducation à la sexualité est inscrite dans le Code de l'éducation (articles L. 121-1 et L. 312-16) depuis la loi n° 2001-588 du 4 juillet 2001. Principes éthiques A. Égalité filles-garçons en mathématiques. Une École qui instruit, émancipe et protège : la circulaire de rentrée 2023 au Bulletin officiel. En 2022, le ministre avait fixé trois objectifs à l'École : l’excellence, l’égalité des chances et le bien-être. Ces trois objectifs sont au cœur du projet de l’Ecole républicaine : la promesse d’un affranchissement par le savoir, au sein d’une école qui place l’instruction en son cœur, qui assure l’émancipation en offrant les mêmes chances et perspectives de réussite à tous ses enfants, et qui les accueille dans un espace d’apprentissage protecteur.
Cette promesse repose sur la revalorisation du métier de professeur, sur l’assurance d’un service public d’éducation de qualité et sur les marges de manœuvre données aux équipes pédagogiques en apportant un appui concret à leurs projets. À partir de la rentrée 2023, le service public d’éducation s’engage dans une démarche collective de transformation. La circulaire de rentrée 2023 détaille les priorités de l'année scolaire 2023-2024 pour une École qui instruit, émancipe et protège. Cet élément n'est pas imprimable.
Filles et garçons sur le chemin de l'égalité, de l'école à l'enseignement supérieur - Édition 2023. Filles et garçons sur le chemin de l'égalité, de l'école à l'enseignement supérieur, édition 2023 Cette publication met en évidence des différences selon les genres en matière de parcours et de réussite des jeunes, de choix d’orientation et de poursuite d’études entre filles et garçons, qui auront des incidences ultérieures sur l'insertion dans l'emploi ainsi que sur les inégalités professionnelles et salariales entre les femmes et les hommes. Agrandir l'infographie Taux de réussite au Diplôme national du brevet (DNB) Filles : 91 % Garçons : 85 % Part de bacheliers dans une génération : Filles : 84 % Garçons : 75 % Part des sortants diplômés de master et plus : Filles : 31 % Garçons : 21 % Taux d'emploi des diplômés de master : Filles : 72 % Garçons : 80 % Source : DEPP, Filles et garçons sur le chemin de l'égalité, de l'école à l'enseignement supérieur, édition 2023.
Rédacteur en chef : Maxime Jouvenceau, DEPP-A Pour citer la publication : Lignes directrices à l'attention de l'ensemble des personnels de l'éducation nationale. Le ministère de l'Éducation nationale, de la Jeunesse et des Sports s'est engagé depuis plusieurs années dans la lutte contre l'homophobie et la transphobie en sensibilisant l'ensemble de la communauté éducative aux effets des violences fondées sur l'orientation sexuelle et l'identité de genre, ainsi qu'en prévenant celles-ci.
Cet engagement s'inscrit dans une dynamique interministérielle, coordonnée par la Délégation interministérielle à la lutte contre le racisme, l'antisémitisme et la haine anti-LGBT (Dilcrah) et dont le Plan national d'actions pour l'égalité des droits, contre la haine et les discriminations anti-LGBT+ 2020-2023 [1] constitue la feuille de route. Son chapitre intitulé « Promouvoir une éducation inclusive et faire reculer les préjugés » invite notamment à porter une attention particulière aux élèves transgenres ou qui s'interrogent sur leur identité de genre [2], dont la situation et celle de leur famille doivent être bien prises en compte. 1. 2.
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