Sujet 1 : Le « rien »
Dans sa lettre du 16 janvier 1852, Gustave Flaubert dit « Ce que je voudrais faire, c’est un livre sur rien, un livre sans attache extérieure ».
En quoi ce projet littéraire du romancier réaliste Gustave Flaubert pourrait-il s’appliquer à l’oeuvre théâtrale Pour un oui ou pour un non ?
Sujet 2 : Le « rien » qui dit « tout » ?
Dans cette pièce, la relation amicale passe-t-elle « du tout au rien » ou, à l’inverse, le « rien » si souvent répété par H2 devient-il le tout ?
Sujet 3 : Dire ou ne pas dire, telle est la question...
La pièce cherche-t-elle à exposer ce qui ne peut pas être dit ou ce qui ne doit pas être dit ?