Radio Chablais - 700 élèves ukrainiens en Valais: "Dans la vallée d'Illiez, très sollicitée, une "migration de proximité" a eu lieu" La vallée d'Illiez fait partie des régions valaisannes très sollicitées pour l'intégration des élèves ukrainiens. Le chef du service de l'enseignement en explique la raison. Près de 700 élèves ukrainiens sont actuellement accompagnés en Valais. Onze mois après le début du conflit, le Département de l’économie et de la formation a fait lundi un point de situation sur l’accueil de ces jeunes.
Lorsqu’il n’est plus possible de les intégrer dans des classes ordinaires, des classes d’allophones ont été créées. Certaines zones du canton sont fortement sollicitées par un nombre important d’enfants à intégrer. ChatGPT, l'intelligence artificielle qui bouleverse l'enseignement - Le blog des formateurs du SEM. Avec l’arrivée de l’Internet, le monde de l’éducation a dû s’adapter à un changement radical. Chaque élève ayant potentiellement plus d’informations dans sa poche, avec son téléphone, que l’enseignant·e, celle-ci/celui-ci a donc dû renoncer, en partie, à son rôle de source quasi exclusive du savoir (ou plutôt des informations). A l’école, l’accent a été notamment mis sur le traitement de l’information - désormais largement disponible sur les réseaux - et sur son évaluation, afin de développer chez les élèves un esprit critique leur permettant de naviguer au mieux dans un flux d’informations constant. Avec ChatGPT, un nouveau changement radical a subitement surgi dans la salle de classe.
Tout d’abord parce que, depuis fin novembre, lorsque vous demandez à vos élèves de produire des travaux à domicile, il y a des chances que le travail produit soit le fruit de cet agent conversationnel. L’autre grand changement se trouve à un niveau peut-être plus global. Canal 9 ukraine valais. 12h45 - En Valais, près de 700 Ukrainiens poursuivent leur scolarité. Bilan. Le Matin. Elèves ukrainiens : les écoles valaisannes désormais rôdées pour s'adapter à des besoins à la hausse | Rhône FM.
En Valais, 700 élèves ukrainiens sont intégrés dans les classes: «Je suis surpris par leur grande motivation»