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46_La capsule des politiques éducatives. A travers un jeu de questions/réponses dynamiques, le CNFPT vous propose un nouveau rendez-vous de la CAPSULE DES POLITIQUES ÉDUCATIVES. Dédiée aux acteurs de l’action éducative, la CAPSULE invite les professionnel(le)s du domaine à prendre le temps du recul, engager le pas de côté et répondre en « live » (en format vidéo/interview) aux questionnements multiples et divers en phase avec l’actualité de l'action éducative locale. Le prochain rendez-vous aura lieu jeudi 25 janvier 2024, de 8h45 à 9h15 et abordera le thème Késako le réseau d'écoute et d'accompagnement de la parentalité (Nantes). Catherine TANGUY, responsable du service de spécialité Actions éducatives du CNFPT - INSET de Nancy Gabriel FRAGA, directeur général adjoint Éducation, Les Ulis ; vice - président de l’Association nationale des directeurs et des cadres de l’éducation des villes et des collectivités territoriales (ANDEV) Avec Emmanuel ROSSIGNOL, responsable parentalité, Nantes.

Newsletter CJS Cherbourg 2021. Flyer services CJS Cherbourg 2021. « Nos futurs, la parole à la relève », le podcast du « Monde Campus » sur les jeunes et l’engagement. Donner la parole à la jeunesse. Ecouter ses préoccupations. Imaginer des solutions pour l’avenir. C’est l’ambition de « Nos futurs, la parole à la relève », le nouveau podcast du « Monde Campus ». Actions pour le climat, préservation de notre alimentation, éducation aux médias, lutte contre le cyberharcèlement, engagement politique… pendant cinq épisodes, partez à la rencontre de jeunes qui s’engagent sur le terrain pour faire bouger les lignes et construire le monde de demain.

Mercredi 23 mars Climat : ils ne marcheront plus à petits pas Ils voient la planète brûler mais ne regardent pas ailleurs. Jeudi 24 mars Alimentation : produire et nourrir, nouvelle génération Nourrir 9 milliards d’humains. Vendredi 25 mars Médias : apprendre à s’informer, le nouveau défi de l’école Débattre de l’actualité, débusquer les fausses informations, animer des conférences de rédaction, développer son esprit critique. Samedi 26 mars Sexualité sur les réseaux sociaux : la traque à l’impunité Dimanche 27 mars. Occitanie : un plan régional pour répondre aux problématiques de la jeunesse , Société - La Lozère Nouvelle (48) Menu Je m'abonne Accueil Société Occitanie : un plan régional pour répondre aux problématiques de la jeunesse Temps de lecture : 6 minutes Partager sur facebook Partager sur twitter Partager sur email Partager sur whatsapp Après une concertation de plusieurs mois auprès des jeunes, les élus de la Région Occitanie ont adopté un nouveau plan jeunesse.

Un plan par les jeunes, pour les jeunes. Trente propositions et six priorités Lire aussiDossier : avoir 20 ans en Lozère, la parole aux étudiants ! L’orientation scolaire devrait être une compétence régionale Pour répondre à cette problématique, Carole Delga a rencontré Emmanuel Macron afin de réclamer que l’orientation scolaire devienne une compétence régionale. On a réfléchi avec les jeunesses Guillaume de Almeida Chaves, conseiller régional La question de la santé est la quatrième priorité fixée par les jeunes. « Les jeunes n’arrivent pas à se soigner faute de trouver des médecins généralistes », explique Guillaume de Almeida Chaves. Commentaires. Le directeur jeunesse, un expert de la complexité. La secrétaire d’Etat, chargée de la jeunesse, Sarah El Haïry, a fait le déplacement pour honorer le deuxième colloque organisé par le Collectif des directeurs de jeunesse d’Ile-de-France (CDJ-IDF) à Evry-Courcouronnes (Essonne, 67 100 habitants).

Un collectif jeune, lui aussi, puisqu’il a été fondé il y a 18 mois, dans l’objectif de mieux cerner le métier de directeur jeunesse et ses évolutions, de le valoriser et, in fine, de mieux répondre aux besoin d’une jeunesse aux facettes multiples. Fort d’une trentaine de membres, le collectif a réussi à mobiliser un bel auditoire d’environ 200 personnes. Une clause d’impact jeunesse locale « Je vais travailler, dans les prochains mois, avec les élus locaux qui le veulent sur cette question – développer une clause d’impact jeunesse des collectivités. Une façon de mettre la jeunesse comme priorité dans toutes les transformations », a annoncé la secrétaire d’Etat. Une politique partenariale Le décrochage, un phénomène à plusieurs dimensions.

Une page Internet dédiée au projet. Une consultation itinérante. Région Centre-Val de Loire - États généraux de la Jeunesse 2022 - États généraux de la Jeunesse - Présentation. Mobilisation générale pour les jeunes en Centre-Val de Loire La Région et les acteurs jeunesse accompagnent les jeunes dans leur vie quotidienne, l’orientation, la formation, l’emploi, la prévention santé, l’accès aux loisirs, à la culture et au sport, dans une recherche d’égalité des chances et d’épanouissement sur tous les territoires.

Depuis sa création (1982), la Région Centre-Val de Loire intervient auprès des jeunes par ses politiques : dans les lycées, la formation professionnelle, le Service Public Régional de l’Orientation (SPRO), les Ecoles de formations sanitaires et sociales, …) mais également au travers de l’ensemble de ses politiques sectorielles. Elle a toujours mené en la matière des politiques ambitieuses, allant au-delà de ses compétences obligatoires. Depuis 2017, la loi lui a confiée le rôle de chef de file des politiques jeunesse, lui donnant non pas l’exclusivité mais un rôle de coordination de l’ensemble des acteurs qui interviennent pour les jeunes.

Les méthodes d’éducation populaire : outils d’animation ou leviers d’émancipation ? INJEP 2023. Avranches - Budget participatif. Le budget participatif est un outil de démocratie directe proposé aux citoyens de la commune nouvelle visant à vous rapprocher de la prise de décision politique par une implication concrète en matière d’investissement communal, depuis le dépôt d’idées jusqu’à leur réalisation. Le budget participatif, c’est quoi ? Le budget participatif, régi par un règlement disponible à la rubrique « Téléchargements », émane de propositions citoyennes et répond aux valeurs promues par la ville d’Avranches : la fraternité ;l’inclusion ;la promotion de la démocratie locale. Doté d’une enveloppe annuelle de 200 000 €, il permet aux habitants ou élèves d’Avranches à partir de 11 ans, de proposer, dans la limite de 50 000 € des projets qui seront : étudiés par une commission participative composée d’habitants, de délégués de classe et d’élus ;présélectionnés par le conseil municipal d’Avranchesvotés par les habitants ;mis en œuvre par l’accompagnement des services municipaux.

Et maintenant ? Et ensuite ? La démarche Bâtisseurs de Possibles - Réseau Bâtisseurs de Possibles. La Crèche mobilise un comité citoyen pour rééquilibrer son budget. À La Crèche, dans la 2e couronne de Niort, les impôts fonciers ont grimpé de 20 % en 3 ans, la dette a été renégociée et la capacité de désendettement a été divisée par plus de 2.

Pour autant, le service apporté aux habitants n'a pas diminué. « Le jour de notre premier débat d'orientation budgétaire en 2020, alors que nous venions tout juste d'être nouvellement élus, la préfecture des Deux-Sèvres nous a convoqués pour nous placer dans le réseau d'alerte, l'étape avant la mise sous tutelle budgétaire, pour cause de ratios dans le rouge », indique Lætitia Hamot, maire de La Crèche. La commune affiche alors une capacité de désendettement de près de 14 ans, là où 12 ans doivent commencer à alerter. « On a alors plongé les mains dans le cambouis avec l'idée que les Créchois s'en saisissent et nous aident à décider, la participation étant le pilier fondateur de notre équipe municipale. » « C'est un sujet qui intéresse, à condition de faire de la pédagogie, poursuit la maire.

Un atelier pour préparer les enfants (et leurs parents) à l'école maternelle ! À deux ans, les enfants sont encore des bébés ! Permettre aux enfants et aux parents de prendre leurs marques à l'école maternelle : c'est l'ambition de l'atelier des petits, organisé deux fois par mois par l'école maternelle Honoré d’Estienne d’Orves de Montigny en Gohelle (62).

Cette initiative, qui voit le jour en 2019, a dès sa genèse un fort ancrage territorial, comme le rappelle Delphine Feutry, la directrice de l'école : « Le projet est originellement à l'initiative de l'Education Nationale. L'école se situe dans un secteur d'éducation prioritaire et propose donc la scolarisation à deux ans, mais à l'époque, l'entrée en toute petite section était rare car les familles n'étaient pas toujours informées. Et puis, il y avait une méconnaissance, voire une méfiance des parents vis-à-vis de l'école. A deux ans, les enfants sont encore des bébés... » C'est donc avant tout pour rassurer les parents que l'école se mobilise. Babily : un service dédié à l’accueil occasionnel. Après avoir consacré sa carrière à des projets numériques valorisant les interactions humaines (Industrie du Jeu Vidéo Jeunesse, Club Med Europe & Afrique…), Nicolas Lorut décide, en 2016, de changer totalement d’univers professionnel et se lance dans la petite enfance. « En 2014, je découvre les crèches.

Je viens tout juste de devenir père ». La chance est avec lui et il trouve facilement une place pour sa fille. À cette époque, « Babily était focalisé sur les relations entre les professionnels de crèche et les parents. Je voulais utiliser mon expérience dans le digital pour créer du partage ». Mais très vite, il se rend compte que les besoins sont ailleurs. Un outil simple et utile pour les crèches comme pour les parents Répondre aux besoins des familles, tout en respectant les exigences des professionnels, c’est le but. Les crèches partenaires donnent leurs places disponibles à Babily, qui sur son site, les met à disposition pour les parents en recherche de places occasionnelles. Crèche à la demande : un service pratique pour parents et pros.

Un manque à gagner qui saute aux yeux A son retour de Chine, Alban Gamot, ingénieur de formation a eu l’idée de créer « Crèche à la demande » suite aux difficultés de trouver une place en crèche à son fils. Les crèches lui proposaient uniquement de l’occasionnel. Alban prend alors conscience d’un problème paradoxal : plus de 80 000 places de crèches restent vacantes chaque jour partout en France. En effet, les enfants réguliers qui sont absents laissent disponibles des créneaux de courte durée (matin ou après-midi).

Informer les parents en recherche d’accueil occasionneldes places disponibles demande cependant beaucoup de temps aux équipes en crèche qui n’ont pas forcémentles moyens pour assurer un suivi téléphonique et informatique. C’est face à cette problématique qu’Alban a trouvé la solution : Crèche à la demande. Une sorte de « doctolib » de la place en crèche Comment fonctionne Crèche à la demande ? Quel avenir pour « Crèche à la demande » ? Le but d’Alban ? Élancourt : la mairie a créé un poste de coordinatrice de la continuité éducative. Un dispositif dédié aux enfants les plus en difficulté mais qui a vocation à s’étendre Au départ ce fut une nomination de circonstance.

Un multi-accueil devait fermer. La municipalité souhaitait conserver les deux directrices dont l’une partait à la retraite deux ans plus tard. « On a choisi de garder cette directrice, éducatrice de jeunes enfants de formation, et de lui confier un travail d’accompagnement spécifique des enfants en situation de handicap » explique Ghislaine Macé-Baudoui, élue petite enfance d’Élancourt. « Notre question était : comment faire pour que le travail d’inclusion réalisé dans EAJE se poursuive à l’école maternelle ? Notamment comment faciliter cette transition pour les enfants et leurs parents ?

». Et évidemment, avec la conviction qu’à terme, les bonnes pratiques expérimentées seront étendues à l’ensemble des enfants et des familles. Un bilan très positif Aujourd’hui le bilan est plus que positif. A Élancourt, tout est encore en construction. L’insertion professionnelle, essence même de la micro-crèche « La Cour Enchantée » L’ouverture de la micro-crèche, un projet de longue haleine C’est à Koenigshoffen, quartier prioritaire de la politique de la ville de Strasbourg, que naît en 2007 l’association PAR Enchantement, qui compte aujourd’hui 24 salariés et 116 bénévoles. « Des habitants du quartier avaient constaté qu’il manquait d’une part des activités en direction des familles et, d’autre part, une crèche », explique Marion Gaeng, directrice de l’association PAR Enchantement.

Ils décident donc de créer une association et dans le même temps démarrent le projet d’une structure d’accueil collectif. « Le projet est né avec une spécificité au départ. Les habitants du quartier ne voulaient pas créer une crèche classique, ils voulaient une crèche d’urgence, réactive qui puisse offrir un mode de garde du jour au lendemain à des familles qui doivent commencer un travail très vite », précise Marion Gaeng. L’idée est là mais avant de pouvoir la concrétiser, il faudra attendre plusieurs années. Mamhique : un service dédié aux parents travaillant en horaires atypiques. Le service Mamhique est né en 2004 à titre expérimental puis a été pérennisé dès 2005 dans les Côtes d’Armor à l’initiative de Mutualité Enfance Famille.

L’idée : répondre avec souplesse aux besoins des familles qui travaillent en horaires atypiques. Avec souplesse donc en s’appuyant sur un réseau de professionnelles plutôt que sur des structures. Priorité à l’accueil individuel « Tout a commencé se souvient la coordinatrice du service, Carmen Toudic, quand nous avons lancé une étude pour analyser les besoins et les offres en termes de places d’accueil.

Les employeurs financent L’offre Mamhique est gratuite pour les parents. C’est l’entreprise ou l’administration employant des deux parents qui finance le service et une partie des solutions trouvées. La Bretagne a fait école Depuis près de 15 ans que le service existe, il a fait ses preuves. La ville des Lilas se mobilise pour les assistantes maternelles. Changer le regard porté sur l’accueil individuel Aux Lilas comme ailleurs, lorsqu’il n’y avait plus de place en crèche, les parents confiaient leurs enfants à une assistante maternelle.

C’était leur plan B. Afin de combattre cette idée, le service petite enfance de la ville a décidé de mener des actions de communication et d’information sur l’ensemble des modes d’accueil. Les familles peuvent maintenant faire un choix et ne pas se tourner automatiquement vers la crèche. Le but n’est pas d’opposer l’accueil individuel et l’accueil collectif, mais d’expliquer aux parents que le plus important, c’est d’opter pour la meilleure solution pour eux et leur enfant en fonction de leur style de vie et de leurs besoins. Toutes les familles en demande de modes d’accueil sont reçues individuellement. Et explique l’adjointe au maire à la petite enfance, Madeline Da Silva, « on est à l’écoute de leurs inquiétudes et préjugés ». Motricité libre à la bougeothèque de Lambersat. La motricité libre repose sur le principe que plus l’enfant est libre de ses mouvements, plus il va développer une sécurité intérieure et une confiance en lui.

C’est cette philosophie, héritée des travaux d’Emmi Pikler, qui est appliquée à la Bougeothèque, un espace de motricité fondé en 2002 par Arnaud Deroo, responsable du service petite enfance de la ville de Lambersart (59). Dans ce lieu, parents, assistantes maternelles et enfants âgés de 3 mois à 3 ans viennent découvrir les bienfaits de l’activité libre. Plus de 10 ans après sa création, la Bougeotèque n’a pas pris une ride, elle continue de faire des adeptes chez les parents et les professionnels de la petite enfance.

Et elle a donné naissance à d’autres ateliers de motricité libre partout en France. Le rôle essentiel de l’accueillante Les séances se suivent mais ne se ressemblent pas. Chaque enfant appréhende l’espace à sa manière. Au sol, Véronique Schrive observe les enfants, les soutient par le regard et la parole. Soli’mômes : des crèches innovantes et solidaires. Croc la vie : la nutrition infantile gagne des étoiles. « Les Alchimistes » transforme les couches jetables en compost. Italie ecole axée sur la PE. Couches compostables dans les crèches : premier bilan pour Poitiers et Bordeaux. Structurer et animer un réseau d’acteurs au service de l’insertion des jeunes | PRIJ.