La question raciale sur petit écran, de «Homeland» à «The Wire» Une plongée réussie dans la mise à distance narrative du stéréotype racial par huit séries sophistiquées qui prolongent la réflexion sur l’actualité du Salad bowl à l’américaine.
La question raciale dans les séries américaines Olivier Esteves Acheter ce livre La richesse des travaux, des colloques et des ouvrages consacrés depuis près de dix ans aux séries télévisées permettent de faire définitivement sortir aujourd’hui ces objets médiatiques de leur période de probation universitaire. Les séries ont en effet longtemps divisé une partie des chercheurs français, autant par leur ambivalence de fond, entre conservatisme et subversion des discours comme des dispositifs, que par leurs emprunts formels synthétiques au cinéma et à la littérature sans cesse renouvelés. Quand la représentation médiatique agit sur le stéréotype Pour illustrer son propos, David Simon place sur une échelle de chantier un personnage blanc, en haut, rénovant un bâtiment, et un personnage noir, en bas, qui le menace.
Laverne Cox d'"Orange is the New Black", première transgenre en une du Time. Une personnalité transgenre est en une du prestigieux hebdomadaire américain Time Magazine, c’est une première.
C’est l’actrice Laverne Cox, révélée par Orange is the New Black, qui y trône cette semaine, accompagné du titre “Le point de bascule pour les transgenres”. Depuis le succès de la série, qui relate le quotidien d’une prison pour femmes, Cox est devenue une porte-parole influente de la communauté trans aux États-Unis, annonçant notamment il y a quelques jours un documentaire sur les adolescents transsexuels sur la chaîne MTV. Pour le Time, c’est en grande partie grâce à elle que la question des droits des personnes transgenres est plus que jamais sous les projecteurs aux États-Unis. Ce que Laverne Cox a tenu à nuancer sur Facebook : “Je réalise que [cette couverture] dépasse ma personne. (…) Elle est pour tous les frères et sœurs trans”. “De plus en plus d’entre nous vivons de façon visible (…) donc les gens peuvent dire ‘Ah oui, je connais quelqu’un qui est trans.’
Orange is the new black … ou comment changer votre vision des femmes ! - The MC Corner. Oui alors ne nous voilons pas la face, c’est parce que c’était un Dimanche soir, venteux, pluvieux dans ma zone industrielle perdue au fond de la Chine et que j’avais épuisé mon stock de séries, et aussi parce que je n’avais pas envie de lancer un film que je me suis mise à errer sur le classement des séries TV – option Comédie.
Donc Modern Family = vu et bien aimé ; 2 Broke Girls = vu et sur-lové ; The Big Bang Theory = vu et adoré ; How I Met Your Mother = vu (et ça s’éternise un peu) et adoré. Bref, beaucoup de mes séries fétiches étaient dans ce classement qui ne devait pas être si mauvais que ça. Petit monologue avec moi-même = - Mouais le titre m’attire pas plus que ca. Orange is the new black, non mais c’est quoi ce nom. . - Comme si on avait le choix. . - … Ok. [Bon, j’embellis un peu parce que j’ai plutôt tendance à parler en mode wesh wesh quand on est que toutes les deux]. Donc je lance ça. BOUM, générique … Euh, un peu flippant. Mes coups de cœur ? "Orange is the new black" - "Une dramédie qui ne ressemble à rien d'autre" Après «House of Cards», Netflix a frappé fort avec «Orange is the new black», la série qui plonge dans le quotidien de détenues dans une prison pour femmes.
Sous la plume de la créatrice de «Weeds», «Orange is the new black» est drôle, touchante et terriblement fascinante. A l’image de ses héroïnes que nous avons rencontrées à l’occasion du lancement de Netflix en France. Trouver une place dans l’ombre d’une série primée et saluée autant pas la critique que par le public n'a rien de facile. “Orange is the new black” : la série carcérale vue par ses actrices. Pour son lancement français, Netflix a fait venir cette semaine à Paris les actrices de sa série phare, “Orange is the new black”, comédie dramatique dans une prison pour femmes.
Nous les avons rencontrées. Autre succès de Netflix, avec House of cards, la comédie dramatique Orange is the new black a attendu l'ouverture de la version française du site pour être visible chez nous. Imaginée par Jenji Kohan, la créatrice de Weeds (d'après un récit autobiographique), elle met en scène les détenues d'une prison pour femmes. Son héroïne, Piper, s'y retrouve enfermée pour quinze mois. Son interprète Taylor Schilling et trois de ses partenaires, Uzo Aduba (Crazy Eyes), Kate Mulgrew (Red) et Laura Prepon (Alex) étaient de passage à Paris en début de semaine.
Le titre : « Le orange est le nouveau noir » Uzo Aduba : Piper, le personnage principal de la série, vient d'une famille aisée. Une série de femmes… Kate Mulgrew : Jenji Kohan a saisi quelque chose d'essentiel dans ses personnages féminins. Orange Is the New Black Psych Evaluations. Orange is the new black, feminist analysis. By Mohadesa Najumi Since finishing NetFlix’s hit new series “Orange Is the New Black” about a 32-year old white woman named Piper Chapman, who serves 15 months in an upstate New York women’s prison, I have had mixed feelings about the show’s underlying themes.
I greatly support its address of queer and trans issues. However, I find myself wincing at its portrayal and ultimate appropriation of women of color, who make up a large portion of the show’s characters. Aura Bogado is right to point out that the narratives of WoC “remain deeply powerful, yet each one is framed by a white introduction” and thus white begins to authenticate the black experience. The WoC in the show each possess their own deeply moving stories. More importantly, why do we need an archetypal white woman to make the stories of WoC appealing and worthy of television? Socio-economic and race issues are either ignored or not sufficiently addressed in the show. Critic Reviews for Orange is the New Black Season 1.