Les épidémies et les pestes au Moyen Âge. Le fléau des fléaux La liste des épidémies au Moyen âge est impressionnante. L'Angleterre paye son tribut; on cite les pestes de 1198, 1315; 1366, 1407. Les armées ne restent pas indemnes. La dysenterie épidémique décime les Croisés assiégeant Antioche (1098); des affections contagieuses atteignent les troupes de Frédéric Barberousse, marchant sur Rome (1167). La peste disperse les soldats de Henri VI devant Naples (1193) et ceux de Beaudourn en Syrie (1202). (1384), de Charles VIII (1496) éprouvent de ce fait de grandes pertes. Saint Louis et les pestiférés de Carthage, par Lethière. On le voit, toutes ces maladies épidémiques, contagieuses et infectieuses ne correspondent pas toujours à la peste proprement dite. Le feu sacré.En 945, 983, 1039, 1041 et à d'autres périodes du XIe siècle, une maladie terrible, dont les contemporains retracent l'effrayant tableau, visite la Lorraine, la France, l'Italie. Sous une peau , Tartarie , la Turquie, l'Égypte , la Grèce, l'Illyrie . , la Provence
Visions de la mort à travers le temps Transposition pour le Web du travail de Nathalie Borzée (voir aussi sur ce sujet un extrait de B.Clavel) Introduction La mort est un phénomène bien complexe qui ne sera probablement jamais totalement élucidé mais pour en faciliter la compréhension, voici un relevé des différentes visions de la mort de l'Antiquité jusqu'à nos jours. Puisse ce travail vous interpeller et qui sait peut-être vous remettre en question... 1. A cette époque, la mort n'est pas ignorée par les philosophes: ils la définissent comme une négation totale de l'être. 2. La mortalité du XIVe siècle s'aggrave (peste, guerre, famine, cataclysmes) et soulève le poids des fléaux et des peurs, celle de la vie brève surtout (espérance de vie se limite autour de 30 ans). 3. Avec la Renaissance, le XVIe siècle est un triomphe momentané de la vie avec un essor démographique général , cela n'empêchant toutefois pas la mortalité toujours scandée par les agressions de la peste. 4. 5. Conclusion Bibliographie
La vie quotidienne au Moyen Âge Introduction Cet article regroupe plusieurs aspects des mœurs et de la vie quotidienne au Moyen Âge. Nous étudierons successivement : La vie urbaine au Moyen Âge, avec l'expansion des communes et la description de ParisLa vie des paysans à la campagneLes divertissements populaires tels que les foires ou les tournois de chevaliersLes mœurs et coutumes, habillement, coiffures, rôle des femmes... La vie urbaine Les communes Avec le réveil économique et la croissance des villes, l'influence de ses habitants, les burgenses ou bourgeois était croissante. Les libertés communales Dans la plupart des cas, les bourgeois conjurés achetaient leurs libertés au seigneur. « L'air de la cité rend libre » Une règle particulière fut établie dans certaines communes, notamment Bologne. Paris au Moyen Âge Protégée par l'épaisse muraille de ses remparts, qui discipline sa croissance et le met à l'abri des invasions, Paris, à la fin du XIIIe siècle, compte environ 200 000 habitants, ce qui est énorme pour l'époque.
MOYEN AGE Paysans « Ils traînent tant de peine et de douleur. Ils endurent de grands tourments : la neige, la pluie et le vent, travaillant la terre de leurs mains. » Benoît de Sainte-Maure, Estoire des ducs de Normandie, XIIè siècle. In Bordas, Terres d’Histoire. Les taxes et les corvées « Les paysans doivent faucher les foins. D’après la Complainte des vilains de Versons. In Hatier, Histoire. Les charges de paysans lorrains au XIIè siècle « Le manse paye vingt deniers en deux termes, dix à Pâques, à la Saint-Martin dix et un poulet. (…) Au printemps, (le détenteur du lot) labourera deux arpents (des terres du seigneur) et les sèmera avec la semence du (seigneur). Si un homme (du seigneur) épouse une femme d’ailleurs, après sa mort, ses biens seront confisqués par (le seigneur), et le tiers seulement sera remis à ses enfants et à sa femme. » Origine du texte non précisée. In Bordas, Terres d’Histoire. La protection du seigneur contre la corvée Georges Duby, Histoire de France. In Hachette, A monde ouvert.
La mort et ses représentations by Bravais Claire on Prezi Les communes Émergence des communes Suite à l’essor urbain et commercial, les habitants des villes ont commencé à vouloir défendre leurs propres intérêts et à gouverner leur cité par eux-mêmes. Alors qu’ils étaient assujettis au pouvoir seigneurial, les citadins étaient considérés comme des sujets du seigneur, au même titre que les paysans et les vassaux. Toutefois, les habitants des villes, de plus en plus riches, ne voulaient pas se soumettre aux mêmes règles que les paysans, puisqu’ils ne vivaient pas de la même manière. Selon eux, les règles et le fonctionnement de la ville devaient se décider par ses habitants. La grande charte (la Magna Carta) en 1215 a pour effet de limiter le pouvoir du roi (cliquer pour agrandir)Source Plusieurs villes ont alors commencé à réclamer des droits au seigneur ou au roi, dont le droit de gouverner de manière autonome. Les premières communes Les habitants des villes se sont donc associés entre eux afin de gérer les affaires de la ville, indépendamment du seigneur.
Est-ce que le Moyen Âge est uniquement un monde de chevaliers? Situation d'apprentissage et d'évaluation (SAÉ) / 1er cycle du secondaire Cette SAÉ est en cours de révision, merci de votre compréhension. Est-ce que le Moyen Âge est uniquement un monde de chevaliers? Est-ce le principal héritage du Moyen Âge? Télécharger tous les documents connexes à la SAÉ Source : Pontifical de Sens.
Nos sociétés occidentales et la mort Introduction Alors que nous analysions la littérature spirituelle populaire en vue de dresser une étude socio-anthropologique on ne peut plus contemporaine du fait religieux, une thématique devait choquer par son absence : la mort. Qu’était devenue la question métaphysique par excellence dans les nouveaux discours religieux ? C’est la question qui est à la base de ce travail. Toutefois il ne pouvait lui être apporté de réponse sans prendre en considération le champ plus large des représentations contemporaines de la mort et des attitudes devant elle. La littérature spirituelle populaire comme fait social ne peut se comprendre qu’à l’intérieur d’une matrice plus grande qui est celle des logiques de représentations sociales depuis la modernité. Des représentations contemporaines de la mort Dans cette première partie, nous allons nous attacher à découvrir les différentes représentations sociales de la mort et les attitudes devant elle. Le tabou et le déni La pensée tragique Conclusion Livres
Le Paris du moyen-âge reconstitué en images de synthèse ! Paris est une ville comme le monde en compte très peu. Chaque quartier, chaque rue, chaque monument est un témoignage du temps passé. A vrai dire, n’importe quel mur ou presque de notre capitale transpire l’histoire. Cependant, Paris a beaucoup changé au fil des siècles. Le résultat ? Le Palais de la cité Sur l’île du même nom, le Palais de la cité accueille aujourd’hui le palais de justice. A l’époque de la conquête de Lutèce par les Romains, le site abritait le gouverneur de la ville, puis, après la conquête de la Gaule par les Francs, il fut la résidence des rois mérovingiens. Le pont au Change. Sous Charles le Chauve (823-877), le Grand-Pont a été construit pour relier l’île de la Cité à la rive droite de Paris. Le petit Châtelet. Les accès aux deux ponts reliant l’île de la Cité aux rives de la Seine étaient protégés par deux châtelets construits au IXe siècle. Le Grand Châtelet protégeait le Pont au Change et le Petit Châtelet protégeait le Petit-Pont. L’Hôtel-Dieu. La place de Grève.
les définitions de la mort par Marc-Alain DESCAMPS Les sociétés occidentales commencent à tirer les leçons des EMI (Expériences de mort imminente ou NDE Near Death Experience). Pratiquement cela a déjà abouti à un début de transformation de la société avec la remise en cause de l'acharnement thérapeutique, l'accompagnement des mourants, les services alternatifs, l'action de l'Association pour le droit de mourir dans la dignité, etc. Théoriquement, on en arrive à une nouvelle définition de la mort. Les récits des personnes, qui ont été déclarées mortes, qui ont parfois eu un certificat de décès signé par deux médecins, et qui sont revenues à la vie, ont bouleversé nos anciennes convictions Il nous faut changer notre définition de la mort. Les médecins ont constamment changé leurs critères de la mort : l'arrêt de la respiration, la cessation des battements du coeur et maintenant on en est à la mort cérébrale. a) la mort clinique. b) la mort encéphalique ou cérébrale. c) La mort physiologique, dite mort cadavérique.
Des images de synthèse vous dévoilent le visage de Paris au Moyen-Age « Le Louvre, l’Hôtel de Ville ou Notre-Dame présentaient des visages différents au Moyen Age. Voici des images de synthèse, signées Grez productions, qui permettent de découvrir la ville de Paris telle qu’on ne l’a jamais vue. » Le Palais de la cité Le plus grand bâtiment de l’île de la Cité, le Palais de la cité, accueille aujourd’hui le palais de Justice. Le pont au Change Sous le règne de Charles le Chauve, le Grand-Pont, par opposition au Petit-Pont, franchit le grand bras de la Seine entre l’île de la Cité et la rive droite. Le petit châtelet Les accès aux deux ponts qui reliaient l’île de la Cité aux berges de la Seine, furent protégés dès le IX° siècle par deux châtelets, d’abord en bois, puis en pierre. L’Hôtel Dieu L’Hôtel-Dieu est fondé en 651 et représente de ce fait le plus ancien hôpital de la capitale. La cathédrale Notre-Dame de Paris La Place de Grève