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Trouble bipolaire | Guérir des blessures émotionnelles Information provenant de l’ A.I.T.B, site d’information sur les troubles bipolaires (conseils rassemblés par minos) Ces conseils ne prétendent en aucun cas se substituer à un avis médical spécialisé. Le diagnostic Les troubles bipolaires touchent environ 1% de la population et cependant de nombreux cas ne sont pas diagnostiqués et ne peuvent donc pas bénéficier de traitements. - tant que les épisodes dépressifs ou maniaques ne sont pas majeurs, les patients ne consultent pas de médecins ou alors seulement pour des symptômes annexes (fatigue, insomnies ….). Cette hygiène de vie concerne essentiellement le sommeil, la consommation d’alcool et de drogues, la prise de certains médicaments, les activités « stressogènes. – Le sommeil. Classiquement les épisodes maniaques commencent par une diminution du besoin de sommeil, à différencier de l’insomnie banale ou le patient à envie de dormir mais n’y arrive pas. - Ayez au moins 7 heures de sommeil par nuit – Évitez grasse matinée et sieste. – L’alcool.
Peur du téléphone Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La peur du téléphone[1] (phobie du téléphone, peur téléphonique ou téléphonophobie[2]) est une peur ou angoisse de passer ou de prendre des appels téléphoniques. La peur du téléphone est également considérée être un type de phobie sociale ou un trouble anxieux[1]. Les individus qui en souffrent exposent typiquement une peur de se tromper lors d'une conversation téléphonique[1] ou une peur de ne savoir que dire, ce qui pourrait résulter en un silence embarrassant, un balbutiement ou un bégaiement[1]. Une autre raison de la peur du téléphone peut aussi être la crainte que le correspondant n'ait de mauvaises intentions ou qu'il n'annonce de mauvaises nouvelles. Comme pour de nombreuses phobies et angoisses, il existe un spectre sévère de peur des conversations téléphoniques accompagné de difficultés[1]. Articles connexes[modifier | modifier le code] Références[modifier | modifier le code] Portail de la psychologie
Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir DSM. Le manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (également désigné par le sigle DSM, abréviation de l'anglais : Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders), publié par la Société américaine de psychiatrie (APA), est un ouvrage de référence qui classifie et catégorise des critères diagnostiques et des recherches statistiques de troubles mentaux spécifiques. Le manuel évolue à partir des statistiques collectées depuis des hôpitaux psychiatriques et depuis un manuel diffusé par l'Armée de terre des États-Unis, qui a radicalement été révisé en 1980. Utilisation[modifier | modifier le code] Il est utilisé aux États-Unis et internationalement par des cliniciens, chercheurs, sociétés d'assurances et pharmaceutiques, et par les pouvoirs publics. Le DSM, incluant le DSM-IV, est une marque appartenant à l'Association américaine de psychiatrie (APA)[3]. Historique[modifier | modifier le code]
Manie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Il ne faut pas confondre l’état maniaque avec des traits obsessionnels (obsession du ménage et de la propreté par exemple), acception pourtant retenue dans le langage courant. Symptômes et signes[modifier | modifier le code] Un épisode maniaque est caractérisé par une modification de l’humeur, et la survenue de certains symptômes tels ceux décrits ici. Des symptômes typiques sont par exemple : une excitation, une exaltation, ressenti de « pressions intérieures » ;une humeur « élevée » : euphorique classiquement, mais aussi une irritabilité, une plus grande réactivité (« au quart de tour »), une propension à se mettre en colère ;de l’activité sans repos, de l’agitation improductive. La plupart de ces comportements sont étrangers au caractère du malade qui, pendant une phase maniaque, ne réalise pas qu’il est malade se sentant « parfaitement bien », le plus souvent (ce qui rend le traitement difficile). Traitements[modifier | modifier le code]
Peur du téléphone ? 8 astuces pour la surmonter Selon certaines études, 40 % des travailleurs souffrent de cette crainte. Et selon ces mêmes études, cette angoisse sociale est la principale raison pour laquelle les vendeurs échouent dans leur branche. En suivant ces quelques conseils, vous pouvez essayer de la contrôler. 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8.
Dépression (psychiatrie) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La dépression (également appelée dépression caractérisée, dépression clinique ou dépression majeure) est un trouble mental caractérisé par des épisodes de baisse d'humeur accompagnée d'une faible estime de soi et d'une perte de plaisir ou d'intérêt dans des activités habituellement ressenties comme agréables par l'individu. Cet ensemble de symptômes (syndrome) est individualisé et classifié dans le groupe des troubles de l'humeur dans le manuel diagnostique de l'Association américaine de psychiatrie en 1980. Le diagnostic de la dépression se base sur plusieurs éléments : le ressenti personnel rapporté par le patient, le comportement perçu par son entourage et le résultat d'un examen psychologique. Les patients sont habituellement traités avec un médicament antidépresseur et, dans certains cas, suivent une psychothérapie. La sérotonine serait supposée réguler d'autres systèmes de neurotransmetteurs.
Anhédonie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Histoire[modifier | modifier le code] Le mot est un néologisme proposé par Théodule Ribot en 1896 pour désigner l'insensibilité au plaisir. Signification[modifier | modifier le code] Il existe différents modèles permettant de rendre compte de l'anhédonie : psychanalytique, phénoménologique, cognitif, biologique. Cause possible[modifier | modifier le code] La consommation de cocaïne ou de MDMA peut également provoquer le symptôme d'anhédonie. Évaluation[modifier | modifier le code] L'anhédonie peut être évaluée sur le plan quantitatif grâce à des échelles psychométriques spécifiques, dont deux ont été traduites et validées en français : l’Échelle Révisée d'Anhédonie Sociale (SAS Social Anhedonia Scale)[3] ;Questionnaires d'anhédonie physique et sociale de Chapman[4].l'échelle de plaisir de Snaith-Hamilton (1995) questionnaire de 14 items destiné à mesurer la capacité à éprouver du plaisir au cours des derniers jours: e.g. Loas G.
Trouble de la personnalité borderline Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Trouble de la personnalité borderline Classification et ressources externes Le trouble de la personnalité limite (TPL) ou trouble de la personnalité borderline[1] (TPB) est un trouble de la personnalité caractérisé par une impulsivité majeure et une instabilité marquée des émotions, des relations interpersonnelles et de l'image de soi [2]. Signes et symptômes[modifier | modifier le code] Le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (DSM-IV-TR) définit deux comportements principaux liés au trouble de la personnalité borderline : un comportement impulsif, et une instabilité émotionnelle ainsi que dans les relations sociales et sur l'image de soi, spécifiant neuf critères pour démontrer la présence de ces comportements[3]. Émotions[modifier | modifier le code] Les individus souffrant de TPB ressentent les émotions plus sensiblement, plus profondément et plus longtemps que la normale[5]. Comportement[modifier | modifier le code]
Dépression psychotique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Symptômes[modifier | modifier le code] Les individus atteint de dépression psychotique souffrent d'un épisode dépressif majeur accompagné de symptômes psychotiques incluant les délires et/ou les hallucinations[1]. Les délires peuvent être classifié comme interférant avec l'humeur, aux dépens de leur nature[1]. Les états d'humeur qui accompagnent les délires incluent la culpabilité, l'auto-blâme, ou une mauvaise perception de l'image de soi[3]. La moitié des patients font l'expérience de délires[1]. Cause[modifier | modifier le code] Les symptômes psychotiques tiendraient à se développer chez un individu dépressif sans antécédent de psychose[1]. Traitements[modifier | modifier le code] Les patients souffrant de dépression psychotique devraient être soigné par administration d'antipsychotique et d'antidépresseur, ou par électroconvulsivothérapie (ECT)[3]. Notes et références[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code]
Automutilation Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cet article concerne l'automutilation infligée lors d'un trouble mental. Pour l'automutilation physique durant les guerres ou les jeux sexuels, voir Modification corporelle et Algolagnie. L’automutilation est caractérisée par des blessures et dommages physiques directes[1], exclue d'intention suicidaire. Ce terme est utilisé depuis l'ancienne littérature dans le but d'atteindre une terminologie neutre, ainsi que dans le manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (DSM-IV-TR). La forme la plus répandue d'automutilation est la dégradation cutanée, mais l'automutilation se réfère à un large rang comportemental, ce qui inclut (mais ne s'y limite pas) brûlures, griffures, cognement de certaines parties du corps, réouverture d'anciennes plaies cutanées, arrachage de cheveux (trichotillomanie) et ingestion de substances ou objets toxiques[2],[3]. Définition[modifier | modifier le code] Signes et symptômes[modifier | modifier le code]
Psychose Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La psychose (du mot grec ψυχή, psyche, « esprit, âme », et -ωσις, -osis, « anomalie ») est un terme générique psychiatrique désignant un trouble, ou une condition anormale, de l'esprit évoquant le plus souvent une « perte de contact avec la réalité. » Les individus souffrant de psychose sont nommés des « psychotiques ». La psychose qualifie les formes sévères d'un trouble psychiatrique durant lesquelles peuvent survenir délires, hallucinations, violences irrépressibles ou encore une perception distordue de la réalité.[2]. Le terme de « psychose » a une utilisation très variée et peut désigner toute expérience délirante ou aberrante exprimée dans les mécanismes complexes et catatoniques de la schizophrénie et du trouble bipolaire de type I[3],[4]. En outre, une grande variété de maladies liées au système nerveux central, causées par des substances étrangères ou des problèmes physiologiques, peuvent produire des symptômes de psychose.