Traité de l'argumentation, la nouvelle rhétorique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Traité de l'argumentation, la nouvelle rhétorique est un ouvrage publié en 1958 par le professeur de logique, de morale et de métaphysique Chaïm Perelman, enseignant à l'Université libre de Bruxelles et la linguiste Lucie Olbrechts-Tyteca. Présentation[modifier | modifier le code] Le traité se propose de ressusciter la rhétorique comme pratique fondée, par opposition à la logique du discours. La « nouvelle rhétorique » a été initiée par Chaïm Perelman dans cet ouvrage. Cette rhétorique étudie les mécanismes du discours social général et de son efficacité pratique ; elle se penche par exemple sur la propagande politique ou commerciale, et la controverse juridique ou philosophique. Marc Angenot étudie quant à lui les effets manipulateurs du discours, dans La parole pamphlétaire (1982). Annexes[modifier | modifier le code] Articles connexes[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code]
What is a Hacker? Copyright © 2001 Eric S. Raymond As editor of the Jargon File and author of a few other well-known documents of similar nature, I often get email requests from enthusiastic network newbies asking (in effect) "how can I learn to be a wizardly hacker?". Back in 1996 I noticed that there didn't seem to be any other FAQs or web documents that addressed this vital question, so I started this one. If you are reading a snapshot of this document offline, the current version lives at Note: there is a list of Frequently Asked Questions at the end of this document. Numerous translations of this document are available: ArabicBelorussianChinese (Simplified), Czech, Danish, Dutch, Estonian, German, GreekItalianHebrew, Norwegian, PersianPortuguese (Brazilian), RomanianSpanish, Turkish, and Swedish. The five-dots-in-nine-squares diagram that decorates this document is called a glider. If you find this document valuable, please leave me a tip on Gittip. 1.
Vers un modèle anthropologique de la pratique psychothérapeutique Afin de cerner le contexte relationnel qui préside à la consultation de thérapie systémique, je vais prendre comme point de départ ce qui me semble constituer l’interaction élémentaire caractéristique de la relation thérapeutique qui s’instaure entre le thérapeute et son client. Il s’agit, bien évidemment, d’une caricature, d’ins~piration rogerienne (Rogers, 1951), mais qui aurait le mérite de faire ressortir cer~taines des propriétés distinctives de cette situation que tout le monde reconnaît comme autrement plus complexe et subtile. Pour des raisons qui ne sont pas évidentes, la réponse du thérapeute, qui pourtant ne fait que répéter ce que lui communique le client sous une forme légèrement diffé~rente, a des effets bien au-delà de ce à quoi on pourrait normalement s’attendre. Poursuivons l’analogie avec le théâtre. L’efficacité de la présentation spectaculaire comme celle de la consultation thé~rapeutique repose en une large partie sur un processus de dédoublement virtuel.
What to do with a degree in psychology | Money What do actor Katharine Hepburn (right), Playboy magazine founder Hugh Hefner and serial killer Ted Bundy all have in common? The answer is that they all read psychology at university – perhaps not in itself a compelling argument for studying the subject, but an indication at least that when it comes to different walks of life, psychology students form a broad church. The same, fortunately, goes for your job prospects. From research analysts to retail managers, a good grasp of human behavioural patterns and the science of the mind will put you in the thoughts of all sorts of employers. What skills have I gained? Psychology graduates develop the transferable skills that all employers require, such as communication, numeracy, independent learning and the ability to work in teams. Courses accredited by the British Psychological Society (BPS) contain substantial teaching on statistics and research methodology, as well as scientific methods. What careers can I pursue? Postgraduate study?
Le rationnel et l'argumentation. À propos du « Traité de l'argumentation » de Chaïm Perelman et Lucie Olbrechts-Tyteca Le rationnel et l'argumentation A propos du «Traité de l'argumentation» de Chaïm Perelman et Lucie Olbrechts-Tyteca (*) La seconde édition du Traité vient douze ans après la première (1). 1. II y va en effet de la capacité humaine de connaissance et partant de la vérité. (*) 2e éd., Bruxelles, Université Libre de Bruxelles, Éditions de l'Institut de Sociologie, 1970, un volume 23 X 15,5 de 734 p.
Nos décisions en questions Comment prenons-nous des décisions morales ou éthiques ? Dans l’idéal, nous devrions les prendre uniquement sur les faits… Nous en sommes loin, rappelle Jonah Lehrer dans Wired, l’auteur de Faire le bon choix : comment notre cerveau prend des décisions. Jonathan Haidt, l’auteur de L’hypothèse du bonheur, psychologue à l’université de Virginie, est connu pour avoir soutenu que nos jugements moraux sont comme des jugements esthétiques. Quand vous êtes face à un tableau, vous savez généralement instantanément et automatiquement si vous l’aimez. Notre jugement moral fonctionne un peu de cette façon, explique Jonah Lehrer. Nous ne jugeons pas sans biais Ed Yong, qui tient le blog Not Exactly Rocket Science pour Discover Magazine a mis à jour une passionnante étude issue des Actes de l’Académie nationale des sciences américaine qui observe le processus mental à l’oeuvre dans les décisions des juges concernant des affaires de libération conditionnelle. Mais ce n’est pas si vrai. Hubert Guillaud
Étude de l'ennéatype de Carl Rogers Carl Rogers, l'évitement du conflit devenu théorie thérapeutique et pédagogique1 Qui êtes-vous Carl Rogers ? « Je suis un psychologue ; un psychologue clinicien, à mon avis, un psychologue humaniste sans aucun doute ; un psychothérapeute profondément intéressé par la dynamique du changement dans la personnalité ; un chercheur, étudiant ces changements au mieux de ses possibilités ; dans une certaine mesure un philosophe, en particulier dans le domaine de la philosophie des sciences ou dans celui de la philosophie et de la psychologie des valeurs humaines. » [1, p. 5] Voilà une réponse complexe et paradoxale qui explique en partie la richesse du personnage Carl Rogers et la profusion d'écrits sur lui et ses travaux. Pour mener cette étude, nous nous appuierons d'une part sur l'intelligence et les lumières pénétrantes de l'ennéagramme et de ses neuf types de personnalités, et nous nous concentrerons d'autre part principalement sur les écrits introspectifs et autocritiques de Carl Rogers.
Les jeunes sur Internet. Se construire un autre chez-soi 1Les liens entre la Toile et les adolescents analysés depuis plus d’une décennie semblent être un terrain d’étude particulièrement fécond pour penser la société des jeunes. Constatant qu’une très grande majorité d’entre eux s’approprie relativement rapidement cette technologie, nous nous sommes interrogées sur les raisons de ce succès. Les particularités de l’adolescence, telles que la recherche d’autonomie et dans le même temps d’appartenance à un groupe, semblent particulièrement bien s’accorder avec les applications relationnelles et « individualisantes » d’Internet. Outil de sociabilité et d’autonomisation, la Toile est une ressource pratique et personnalisable pour les jeunes d’aujourd’hui. Cependant, rares sont les recherches qui replacent ces appropriations dans une perspective plus globale de récit de vie exploitant le contexte familial et domestique du jeune. 6D’abord, nous situerons notre démarche dans le panorama des recherches sur les jeunes et Internet.
Les principes de l'argumentation L'argumentation n'est pas manipulation. Pour Aristote, la rhétorique est un outil d'éducation civique. Il se montre d'autant plus honorable qu'il tire sa vertu des limites mêmes de son pouvoir: " sa fonction propre n'est pas de persuader, mais de voir les moyens de persuader que comporte chaque sujet ". Aristote considère que la rhétorique enseigne les moyens de persuader sans toutefois préjuger du succès. La métaphore : " Que nous fassions du monde une maison, une gare desservant cette maison, un terrain d'essais, un atelier d'instruments potentiels, une carrière exploitable par le travail humain, un pays étranger, un camp ennemi, une prison... et notre mode de vie en sera fondamentalement transformé. " Helmut Kuhn, Encounter with Nothingness, London, Melthuen, 1951. L’analogie permet de transférer l'accord obtenu sur la situation recadrée à un terme ou à une opinion au nom d'une ressemblance. Paralogisme de composition. Paralogisme de généralisation. Bibliographie indicative
Ce que traduit la peur de la distraction La lecture de la semaine, il s’agit de quelques extraits d’un entretien que Cathy Davidson a donné le 21 août dernier au magazine en ligne Salon. Cathy Davidson enseigne les études interdisciplinaires à l’Université de Duke en Caroline du Nord et elle est l’auteure d’un livre intitulé Now you see it qui traite de la manière dont les travaux sur l’attention vont transformer notre manière de vivre, de travailler et de penser. Dans cet article de Salon, elle est interrogée sur les enfants et sur la manière dont nouvelles technologies modifient le cerveau des enfants, pas forcément dans le mauvais sens. Cathy Davidson commence par expliquer que le discours sur les nouvelles technologies et les enfants a complètement changé après la tuerie de Colombine (en 1999 deux adolescents avaient tué à l’arme automatique 13 de leurs condisciples et professeurs). Xavier de la Porte
Les limites de la mesure de soi Kevin Kelly, cofondateur du Quantified Self a prononcé la conférence de clôture de la première édition de la conférence sur la quantification de soi qui se tenait la semaine dernière à Mountain View en Californie, permettant, comme le dit Ethan Zuckerman qui en rapportait les propos, d’offrir un contexte pour comprendre les propos échangés pendant deux jours. Pour Kevin Kelly, auteur de What technology Wants (Ce que veut la technologie), la quantification de soi fait partie d’une tendance plus large vers laquelle nous allons. Cette tendance plus large consiste à être à l’écoute de la technologie, parce que « la technologie nous dit où elle va ». La quantité d’information ne cesse d’augmenter, plus rapidement que tout ce que nous faisons. On estime d’ailleurs que le volume d’information croit de 66 % par an. Image : Gary Wolf et Kevin Kelly sur la scène de la première édition de la conférence Quantified Self, photographiés par Marc Smith. Nous n’échapperons pas au Lifestream