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Fondation Greffe de Vie, pour le don d'organes et la greffe

Fondation Greffe de Vie, pour le don d'organes et la greffe

Don d’organes - Agence de la biomédecine Code de la santé publique - Article R1231-1 Avant toute greffe, et dans le cadre des obligations générales mentionnées à l'article R. 1211-13, l'équipe médicale de prélèvement procède à une collecte d'informations permettant de sélectionner les donneurs et de caractériser les organes pouvant faire l'objet d'une greffe. Les informations recueillies doivent au moins comprendre des données minimales fixées par arrêté du ministre chargé de la santé pris après avis du directeur général de l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé et du directeur général de l'Agence de la biomédecine. Cet arrêté détermine également les données complémentaires qui sont recueillies à la demande de l'équipe médicale en fonction de leur disponibilité et de la spécificité de chaque situation.

Agence de la biomédecine Association Ouest-Transplant Code de la santé publique - Article L1231-1 Le prélèvement d'organes sur une personne vivante, qui en fait le don, ne peut être opéré que dans l'intérêt thérapeutique direct d'un receveur. Le donneur doit avoir la qualité de père ou mère du receveur. Par dérogation au premier alinéa, peuvent être autorisés à se prêter à un prélèvement d'organe dans l'intérêt thérapeutique direct d'un receveur son conjoint, ses frères ou soeurs, ses fils ou filles, ses grands-parents, ses oncles ou tantes, ses cousins germains et cousines germaines ainsi que le conjoint de son père ou de sa mère. En cas d'incompatibilité entre la personne ayant exprimé l'intention de don et la personne dans l'intérêt de laquelle le prélèvement peut être opéré en vertu des premier ou deuxième alinéas, rendant impossible la greffe, le donneur et le receveur potentiels peuvent se voir proposer le recours à un don croisé d'organes.

Accueil - Institut National de la Transfusion Sanguine (INTS) Cœur artificiel : le concepteur vous dévoile ses secrets ecl522 avec le Professeur Alain Carpentier, de l’Académie des sciences Présenté à la presse fin octobre 2008, le coeur artificiel est une petite coque ovoïde de matière synthétique blanche, truffée d’électronique et de biomatériaux, qui palpite au rythme de 90 pulsations par minute, 24 heures sur 24. Confronté à de nombreux cas dramatiques d’insuffisance cardiaque terminale, d’infarctus de myocarde, et fort de sa réussite dans la conception de bio prothèse cardiaque, le professeur Alain Carpentier décida de se lancer en 1988 dans la conception du premier cœur artificiel autonome. Le cœur artificiel d’Alain Carpentier n’est pas à confondre avec l’assistance ventriculaire ou l’assistance circulatoire. Il aura fallu une vingtaine d’années, pour concevoir ce cœur artificiel autonome ; à l’heure actuelle, les simulations sur ordinateur se poursuivent. L’équipe du professeur Carpentier n’est pas la seule dans cette course au progrès médical. © Canal Académie - Tous droits réservés Déjà abonné ?

Descripteur : PRELEVEMENT D'ORGANE Prescriptions applicables aux prélèvements et greffes d'organes : code de la santé publique, art. L. 1231-1 A et s. et R. 1231-1 et s. textes non codifiés : Conditions d'implantation et conditions techniques de fonctionnement applicables aux activités de greffes d'organes et de greffes de cellules hémotopoïétiques : code de la santé publique, art. R. 6123-75 et s. et D. 6124-162 et s. Sanction pénale des pratiques illégales de trafic et de transplantation d'organes : code pénal, art. 511-2 et s.

Don d'organes : les familles ne donneront plus leur avis Le don d’organes sera automatique et les familles seront informées de la situation. Elles ne devront toutefois plus donner leur accord. Photo d’illustration d’un bloc opératoire Va-t-on vers une fin de pénurie d’organes en France ? Un don d’organes automatique pour réduire la ppénurie Cette décision doit être prise très rapidement lors d’un décès et même si le moment n’est pas propice à cette décision, en général au vu du caractère douloureux, cela débouche sur un refus de la famille 1 cas sur trois. Accepter ou refuser le don d’organes avant sa mort En 2015, 19 000 personnes sont en attentes de dons alors qu’en 1997 seulement 9000 étaient en attentes de greffes, le taux de refus ayant augmenté de 40 %, selon un sondage réalisé en 2013, 80 % des Français serait prêts à donner leurs organes lors de leur mort. Image Credits:

Dons d’organes : l’Ordre des médecins opposé à l’automaticité des prélèvements Les médecins s'opposent à la mesure prévue dans la loi de santé. Selon eux, le prélèvement sur une personne morte doit rester « subordonné à la décision de celle-ci de son vivant ou à défaut à l’assentiment de ses proches ». L’Ordre des médecins souhaite que les proches d’une personne décédée restent consultés avant tout prélèvement d’organe et veut s’opposer à une application stricte du principe du consentement présumé. Un amendement au projet de loi santé, adopté en première lecture le 14 avril par les députés, prévoit qu’à partir de 2018, le consentement au don d’organes sera présumé chez toute personne majeure décédée, sauf si son nom figure dans le registre national des refus. Les médecins ne sont pas les seuls à s’opposer à cette disposition. Un argument repris, dans un entretien au quotidien La Croix, par le Dr Jean-Marie Faroudja qui préside la section éthique et déontologique au Conseil national de l’Ordre des médecins.

Des organes bientôt prélevés sans l’avis des familles Un amendement à la loi santé conditionne l’opposition au don à l’inscription préalable sur le fichier des refus. Pourra-t-on, demain, se passer de consulter les proches d’une personne décédée avant de lui prélever des organes ? Un amendement adopté en commission des affaires sociales de l’Assemblée nationale, jeudi 19 mars, lors de l’examen du projet de loi santé, prévoit qu’à partir du 1er janvier 2018, afin de lutter contre le manque de greffons disponibles, seules les personnes qui se seront explicitement inscrites sur le registre national des refus seront exclues des prélèvements. Pour toutes les autres, si elles sont majeures, la famille et les proches seront simplement « informés » de l’opération et non plus consultés, comme c’est le cas aujourd’hui. Manque de concertation

Don d'organes : un tiers des familles refusent le prélèvement sur leur proche décédé Deux députés ont déposé un amendement à la loi santé qui permettrait de se passer de la consultation des proches avant le prélèvement des organes. Les députés vont-ils simplifier le don d'organe ? L'Assemblée nationale débat à partir du mardi 31 mars sur une mesure portée par les députés PS Jean-Louis Touraine et Michèle Delaunay qui permettrait aux médecins de se passer de la consultation systématique des proches d'un donneur potentiel avant tout prélèvement. Lire (en édition abonné) : Des organes bientôt prélevés sans l’avis des familles L'amendement, qui s'inscrit dans le cadre de la loi santé portée par la ministre Marisol Touraine, a un objectif : réduire le nombre de refus de don d'organes, et augmenter ainsi le nombre des greffons disponibles. Comme l'explique l'Agence de la biomédecine, organisme sous tutelle du ministère de la santé qui gère le don d'organes, les personnes n'ayant pas effectué cette démarche sont présumées consentantes. Des freins multiples Loïc Soleymieux

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