Il était une fois les patrons 1840 1976 la montée de l'Etat G20 : les chefs d'Etats parlent de "grande dépression" Les dirigeants du G20 sont réunis à Brisbane en Australie ce week-end pour établir un plan de relance de la croissance mondiale et sortir l'économie d'une "grande dépression". Si les questions internationales ont agité la première journée de réunion du G 20 à Brisbane en Australie, les enjeux économiques demeurent au cœur de la rencontre. La relance de la croissance mondiale divise les chefs d'Etats et de gouvernement, alors qu'un plan d'action doit être annoncé à la fin du week-end. Or, lors de leurs discussions, les dirigeants ont évoqué une "grande dépression", et non une "crise". Cette formule très alarmiste, loin du langage très mesuré des sommets internationaux, révèle l'inquiétude des plus grandes puissances économiques (le G20 représente 90% de l'économie mondiale). "Grande dépression" de l'économie mondiale De fait, la croissance mondiale n'a jamais retrouvé son niveau d'avant la crise de 2008-2009. Relance par les investissements
La conquête des libertés en Occident Libéralisme politique, libéralisme économique, libre pensée, libertés des moeurs, temps libre... La liberté s'est répandue en quatre siècles en Occident en bouleversant tour à tour toutes les autorités établies. Mais au fil de ces conquêtes successives, le thème de la liberté a cessé d'être une idéologie de combat pour se transformer en inquiétude. Quelles sont ses limites exactes? Et une fois les libertés acquises, que doit-on en faire? La liberté est, avec l'Egalité, l'Individu et la Raison une des valeurs cardinales de la modernité. En quatre siècles, la conquête des libertés a soufflé sur l'Occident sous différentes formes : libertés intellectuelles, libéralisme politique et économique, émancipation individuelle (choix libre du conjoint, libération de la femme, temps libre, liberté sexuelle, etc.). On peut retracer l'histoire de l'Occident sous l'angle d'un «grand récit»: celui de la libération progressive de l'individu des contraintes qui pèsent sur sa destinée. Un mythe conquérant
Comment classer les sociétés On a longtemps identifié les sociétés primitives – sans État et sans richesse – à des sociétés simples. Elles seraient suivies de sociétés complexes où règnent les inégalités et le pouvoir séparé. Cette opposition entre simple et complexe ne permet pas de rendre compte de l’évolution des formes d’organisation sociale qui doit être pensée, selon Alain Testart, à partir des structures de pouvoir et des formes de propriété. À l’heure de la mondialisation, toutes les sociétés qui se rencontrent sur le globe ont un air de ressemblance : toutes admettent la même liste de droits de l’homme que celle jadis proclamée par l’Occident, en particulier que l’homme naît libre et le demeure, car personne, même sous les régimes les plus funestes, ne s’avise de restaurer l’esclavage, et toutes encore tentent de développer leur économie selon un modèle qui imite peu ou prou celui de l’Occident. Les peuples « sans foi, ni roi, ni loi » L’opposition des sociétés Des économies de pur prestige ? (1) A.
Assassin's creed syndicate Londres et la seconde révolution industrielle Qu'est-ce que le capitalisme ? Alors que le capitalisme semble régner sans partage sur tous les recoins de la planète, les historiens débattent comme rarement sur sa genèse. Depuis que des chercheurs ont entrepris de réviser de fond en comble l’histoire économique des contrées non européennes, c’est une nouvelle histoire du capitalisme qui se profile. Les travaux d’histoire globale ont remis sur le tapis la question des origines du capitalisme en montrant que nombre de ses ingrédients constitutifs peuvent être repérés bien avant le XVIe siècle, tant en Europe qu’en Asie, qu’il s’agisse de l’existence de marchés développés, du système de crédit, de contrats salariaux, de l’impérialisme (1)… Ce courant de recherche prolonge en ce sens la vision de Fernand Braudel, pour lequel le capitalisme se définit comme un ensemble de pratiques présentes dans de multiples sociétés, à de multiples époques (2). La quête rationnelle du profit Raison de plus pour rappeler en quoi consiste la spécificité du capitalisme. (1) Voir P.
La grande histoire du capitalisme SciencesHumaines.com Le Cercle Psy Editions Sciences Humaines Changer le travail S'identifier Créer son compte Pour vous identifier sur le site, merci de saisir votre identifiant et mot de passe ci-dessous : Identifiant / mot de passe oublié ? Vous avez oublié votre identifiant et/ou votre mot de passe ? Veuillez saisir votre adresse mail ci-dessous, vous recevrez vos codes d'accès dans quelques instants. Liste des présidents des États-Unis par longévité Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le tableau ci-dessous dresse la liste des présidents des États-Unis par longévité (durée de la présidence et âge au moment du décès). Aperçu[modifier | modifier le code] La répartition des présidents selon l'âge auquel ils ont accédé au pouvoir suit presque une loi normale (la ligne verticale marque la médiane). L'âge moyen d'accession au pouvoir est de 54 ans et 11 mois, entre Herbert Hoover (le 22e président le plus jeune) et Lyndon B. L'ancien président le plus âgé encore en vie est George H. Le président qui a vécu le plus longtemps après la fin de son mandat est Jimmy Carter : 13 046 jours. Tablea[modifier | modifier le code] Diagramme[modifier | modifier le code] Référence[modifier | modifier le code] (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « List of Presidents of the United States by age » (voir la liste des auteurs). Voir aussi[modifier | modifier le code]
Jacques de Larosière, Eurofi - La fin de Bretton woods : le basculement monétaire et financier du monde - Parole d'auteur éco Xerfi Canal TV a reçu Jacques de Larosière, Président d’honneur d’Eurofi, dans le cadre de son livre : "50 ans de crises financières".... Ghislain Deslandes, ESCP Europe - Les marchands du temple : quel statut pour la richesse ? - Notes de lecture - xerficanal.com Tout en haut de la hiérarchie sociale les philosophes et les dirigeants de la cité, au milieu les guerriers, et tout en bas de l’échelle sociale, les marchands et les artisans. Voilà en version simplifiée l’organisation hiérarchique que Platon proposait aux lecteurs de son temps : le business était une activité peu valorisée. Dans le livre de l’historien Giacomo Todeschini, Les marchands et le temple, dont la traduction vient d’être publiée en français, nous apprenons que c’est au Moyen-âge que s’est produite la réévaluation sociale de la figure du marchand, profession qui depuis les Grecs était en quête d’une légitimité sur le plan moral. Le livre est sous-titré la société chrétienne et le cercle vertueux de la richesse du Moyen Âge à l’Epoque Moderne, et on pourrait se demander ce qui reste de chrétien, ou de vertueux, dans le monde économique contemporain.