Big Data : les progrès de l’analyse des données Nous voici entré dans l’ère des Big Data des ensembles de données tellement gigantesques qu’ils nécessitent de nouveaux outils techniques et scientifiques pour les comprendre et en tirer du sens. Un déluge de données qui pose des questions profondes sur leur collecte, leur interprétation, leur analyse… Dans ce siècle des réseaux, la science des algorithmes, censée extraire le sens de ces amas d’information doit apprendre à comprendre ce qu’elle analyse. L’enjeu des Big Data nous adresse des questions scientifiques, mais aussi politiques et éthiques. Les Big Data, c’est le dossier de la semaine d’InternetActu. Après un retour sur l’article fondateur de Chris Anderson, regardons un peu ce que les Big Data permettent d’envisager. Vers le commerce algorithmique La tarification dynamique est bien connue des sociétés de transports qui vous proposent des tickets moins chers si vous réservez longtemps avant la date de votre voyage. Image : le déluge de données vu par The Economist.
Vie privée : le problème se situe entre la chaise et le clavier « Si vous voulez garantir la confidentialité de vos données, tout ce que vous avez à faire est de vous rendre dans notre village « Opt Out », et d’arrêter de parler avec ceux qui ont décidé de ne pas y habiter. C’est très simple ! Google ne risquera plus de lire vos emails : il n’y a aucun ordinateur dans le village. Et pas plus de risque d’être surveillé par ailleurs : on n’y trouve aucune banque, et pas plus d’électricité.Intéressés ? Cliquez donc sur le bouton « Opt Out » de la page d’accueil de Google, des employés de sa division vie privée viendront vous aider à déménager, et s’occuperont de détruire toute trace de votre vie passée. » Le reportage d’ONN (Onion News Network, site d’information satirique américain) a le mérite de la clarté : il est de plus en plus difficile de ne pas être indexé dans les bases de données de Google. Google, leader mondial du ciblage comportemental Notre vie privée est une monnaie Orwell ? Le problème est inhérent à l’informatique. Edgar J. « Merde.
La vidéo francisée des 20 ans du noyau Linux Le noyau Linux a 20 ans. C’était en effet le 25 août 1991 que Linus Torvalds (qui fait justement l’objet de la librologie de la semaine) a en effet posté son célèbre message. Pour l’occasion la Linux Foundation nous a proposé un petit clip anniversaire que nous avons non seulement sous-titré (merci Framalang) mais également doublé en français (merci Padoup-Padoup). La vidéo en VO STFR Loaded: 0% Progress: 0% —> La vidéo au format webm—> Le fichier de sous-titres La vidéo en VF —> La vidéo au format webm Sur le même sujet, on pourra également lire la très intéressante interview donnée par Torvalds à LinuxFr. Transcript URL d’origine du document L’histoire de Linux (à l’occasion de son 20e anniversaire) Notre histoire commence il y a vingt ans. C’est en août 1991 qu’un étudiant en informatique de 20 ans nommé Linus Torvalds s’est assis devant son écran à Helsinki pour envoyer un des plus célèbres messages de l’histoire de l’informatique Des entreprises ont basé leur activité sur Linux.
Blue Ribbon Campaign Display the Blue Ribbon to support the essential human right of free speech, a fundamental building block of free society, affirmed by the U.S. Bill of Rights in 1791 and by the U.N. Declaration of Human Rights in 1948. Here at EFF, we continue to fight for the right to free speech. Our latest campaign revolves around the legal rights of bloggers and citizen journalists. EFF is a donor-funded nonprofit group of passionate people—lawyers, technologists, volunteers, and visionaries - who depend on your support to continue successfully defending your digital rights. You Have the Right to Blog Anonymously. You Have the Right to Keep Sources Confidential. You Have the Right to Make Fair Use of Intellectual Property. You have the Right to Allow Reader's Comments Without Fear. You Have the Right to Protect Your Server from Government Seizure. You Have the Right to Freely Blog about Elections. You Have the Right to Blog about Your Workplace. You Have the Right to Access as Media.
3 - Comment se faire son environnement Google ? - Blog de dada Accueil · Archives S'abonner Blog de dada Logiciels, systèmes d'exploitation, politique et actualité... Logiciel Libre Distributions Médias Événements Paroles libres Technologie Point de vue Politique Libre Jeux Vie du serveur Aller au contenu | Aller au menu | Aller à la recherche 3 - Comment se faire son environnement Google ? Publié le vendredi 09 septembre 2011, 01:17 - modifié le 08/09/11 - Logiciel Libre - Lien permanent Article Commentaires (19) Fichiers attachés (0) Note : Ceci est le troisième billet dans la série de billets sur "Comment transposer les offres Google en service maison". Lien vers la partie 1 ( Google Music, Google Reader, Picasa) Lien vers la partie 2 (Blogger, Analytic, Agenda) Ce billet se compose en deux parties : les réponses aux questions ou avis apparus dans les commentaires du second billet puis une nouvelle série d'outils Google transposables en logiciels libres. Réponses La question de la synchronisation avec son smartphone sous Android revient aussi régulièrement. gmail Google
Cellphone tracking: What happens when our smartphones can predict our every move? Jojje / Shutterstock.com Your cellphone knows where you’ve been. And new research shows it can take a pretty good guess at where you’re going next. A team of British researchers has developed an algorithm that uses tracking data on people’s phones to predict where they’ll be in 24 hours. That’s far more accurate than past studies that have tried to predict people’s movements. The researchers solved that problem by combining tracking data from individual participants’ phones with tracking data from their friends—i.e., other people in their mobile phonebooks. For this innovation, the researchers—Mirco Musolesi, Manlio Domenico, and Antonio Lima of the University of Birmingham—won this year’s Nokia Mobile Data Challenge. In Forbes, Parmy Olson focused on the possible law enforcement applications. The problem is that this algorithm isn’t about aggregating a bunch of anonymous data and then picking out trends. The main obstacle, Musolesi acknowledges, is privacy.
2 - Comment se faire son environnement Google ? - Blog de dada Accueil · Archives S'abonner Blog de dada Logiciels, systèmes d'exploitation, politique et actualité... Libres. Logiciel Libre Distributions Médias Événements Paroles libres Technologie Point de vue Politique Libre Jeux Vie du serveur Aller au contenu | Aller au menu | Aller à la recherche 2 - Comment se faire son environnement Google ? Publié le lundi 05 septembre 2011, 18:30 - modifié le 05/09/11 - Logiciel Libre - Lien permanent Article Commentaires (17) Fichiers attachés (0) Note : Ceci est le deuxième billet dans la série de billets sur "Comment transposer les offres Google en service maison". - Lien vers la Partie 1 ( Google Music, Google Reader, Picasa). Ce billet se compose en deux parties : les réponses aux questions ou avis apparus dans les commentaires du premier billet puis une nouvelle série d'outils Google transposables en logiciels libres. Réponses - Les galeries photos ne manquent pas. - TinyTIny RSS semble très répandu sur la toile. - Un équivalent à Netvibes ? Blogger devient Dotclear. agenda
Peur du piratage ? 4 trucs pour effacer ses traces sur le Web Une figurine passe le balai sur un clavier d’ordinateur (Katerha/Flickr/CC). Afin d’échapper aux intrusions informatiques, espionnages numériques, filtrages et autres flicages, voici un guide qui donne des parades aux citoyens paranos ou ayant des choses à se reprocher. Et si la vidéo ci-dessous d’une heure vous semble trop longue, je vous ai fait un résumé par écrit. A voir dans la vidéo Ce qu’il faut savoir 0’00’’ Introduction2’44’’ La sécurité par couche (matériel, système d’exploitation, logiciel)16’19’ Cryptez vos données25’35’’ Adresses IP, mots de passe & cie : comment fonctionnent les réseaux informatiques Après la théorie, la pratique 34’27’’ Comment s’équiper pour démarrer43’36’’ Les outils de chiffrement46’58’’ Naviguer en proxy : utiliser le réseau Tor pour masquer son identité53’09’’ Chatter dans l’anonymat avec le réseau IRC55’38’’ Bitcoin, la monnaie privée du net56’57’’ Freenet, un réseau parallèle à l’Internet mondial Commençons par un peu de théorie.
Sortie du manuel Introduction à la science informatique En visite en Angleterre, voici ce que disait le patron de Google dans une récente traduction du Framablog : « Je suis sidéré d’apprendre qu’il n’existe même pas d’enseignement de base de l’informatique dans les écoles britanniques aujourd’hui. Votre programme de technologie se concentre sur la manière d’utiliser un logiciel, mais n’explique pas comment il a été conçu. » Et Slate.fr d’en remettre une couche le 4 septembre dernier dans son pertinent article La programmation pour les enfants: et pourquoi pas le code en LV3 ? : « Lassés d’avoir bouffé des slides de PowerPoint et des tableurs Excel dans leurs jeunes années, les étudiants se sont détournés peu à peu de l’étude de l’informatique confondant, bien malgré eux, l’apprentissage d’applications qu’ils trouvent généralement inintéressantes et celui des sciences computationnelles dont ils ne comprennent même pas l’intitulé. » Et le Libre dans tout ça ? Un manuel Introduction à la science informatique . Edité par le CRDP de Paris[3]
Au tour de Couchsurfing.org de piétiner votre vie privée Utilisateurs de Couchsurfing.org, votre profil-canapé n’est plus vraiment privé. Le réseau social, qui permet de mettre en contact voyageurs en quête d’hébergement et propriétaires de divans vacants, a publié de nouvelles conditions d’utilisation. Et sa nouvelle politique de (non) confidentialité n’a rien à envier aux réseaux sociaux d’ordinaire décriés. Depuis le 21 septembre, le nouveau point de règlement 5.3, intitulé « Member Content License » a déclenché la fureur des membres, informés des modifications par e-mail et par message sur leur profil, à la fin du mois d’août : Collecte et partage de données privées Couchsurfing se réserve donc le droit d’utiliser toutes les informations de ses membres : noms, adresses, localisations, messages, photos, matériel utilisé, temps passé sur l’appli mobile... Le site va même plus loin. En deux modifications, Couchsurfing accroît sa collecte de données sur ses utilisateurs et élargit son champ d’action. Les « couchsurfers » en colère Flou juridique