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15 conseils pour vivre hors réseau et cesser d’être un esclave « Off-the-grid » (hors réseau) fait référence à des maisons qui sont autonomes, ce qui signifie qu’on ne compte pas sur l’approvisionnement en eau, les égouts, le gaz naturel, le réseau électrique, ou les services publics similaires municipaux. Une vraie maison hors réseau peut fonctionner totalement indépendamment de tous les services publics traditionnels. « Nous devons faire disparaître la notion spécieuse que tout le monde doit gagner sa vie. Il est vrai qu’aujourd’hui une personne sur dix mille peut faire une percée technologique capable de supporter tout le reste. Les jeunes d’aujourd’hui ont tout à fait raison de reconnaître cette absurdité de gagner sa vie. Donc nous avons les inspecteurs des inspecteurs et des gens qui font les instruments pour les inspecteurs pour inspecter les inspecteurs. Voici 15 conseils pour ceux qui envisagent de prendre la décision de vivre « hors réseau » 1. 2. Eloignez-vous de la vie de servitude, et faites ce que vous aimez faire. 3. 4. 5. 6. 7. 8.
La ferme de demain, écolo et prospère, existe déjà, nous l’avons visitée - Chavagne (Ille-et-Vilaine), reportage Une allée d’arbres fruitiers conduit le visiteur jusqu’à la cour bordée de bâtiments en vieilles pierres. Les poules picorent le carré d’herbe voisin. Au premier coup d’œil, le décor de la ferme des Petits-Chapelais, à Chavagne, en Ille-et-Vilaine, a un air désuet, mais les tracteurs au fond de la cour remettent une touche de modernité. Arrive, d’un pas décidé, Gilles Simonneaux, qui lâche un large sourire. Gilles Simonneaux. Il plante des céréales, met un hectare à disposition de Sylvie, la maraîchère, ouvre un magasin, amène quelques cochons... « Au départ on était deux à travailler sur 75 hectares, aujourd’hui on est dix sur une centaine d’hectares. » Des prairies et des champs de blé « Tout est parti de l’élevage laitier », poursuit-il. Désormais, d’un côté de la route s’étendent de vertes prairies et de l’autre, les champs de céréales où grimpent les liserons. Mise au four des pâtons. Autonomie énergétique Les panneaux solaires de la ferme.
Comment voyager à moindre frais et en faire son mode de vie ? Pourquoi tout quitter ? Mon copain et moi avions des situations très confortables, des CDI et un appart, mais nous en avions marre de passer nos journées à travailler pour quelque chose qui ne nous intéressait pas. Travailler une année en Chine n’a pas vraiment amélioré le problème : le contexte était peut-être dépaysant, mais nous nous ennuyions toujours. Nous avions déjà testé la vie en France, en Espagne et en Chine donc, mais aucun de ces pays ne nous plaisait assez pour nous y installer définitivement. Nous étions tous les deux convaincus qu’une vie heureuse est une vie riche en expériences, en rencontres, équilibrée et surtout, avec toujours la possibilité de choisir. Alors en septembre, nous avons tout quitté et nous sommes partis à l’aventure! Baby, baby, it’s a wild world L’idée, c’est de voyager et découvrir de nouveaux pays et de nouvelles cultures, mais également de s’y immerger parfois pour plus longtemps et même de carrément s’y arrêter si nous en avons envie. On est parés.
GOLD OF BENGAL vivre sans argent | On peut vivre autrement ! Simplicité volontaire Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La simplicité volontaire ou sobriété heureuse est un mode de vie consistant à réduire volontairement sa consommation, ainsi que les impacts de cette dernière, en vue de mener une vie davantage centrée sur des valeurs définies comme « essentielles ». Cet engagement personnel et/ou associatif découle de multiples motivations (voir section : Motivations) qui vont habituellement accorder la priorité aux valeurs familiales, communautaires et/ou écologiques. Histoire[modifier | modifier le code] Les précurseurs[modifier | modifier le code] Si on peut trouver l'origine de la simplicité volontaire chez les différentes formes d'ascétisme grecques et orientales, ces dernières étaient surtout motivées par une philosophie mystique, et c'est donc plutôt chez les stoïciens, les cyniques, et surtout chez Épicure qu'on peut voir la réelle apparition du concept de simplicité volontaire. Au XXe siècle[modifier | modifier le code]
Heureux sans travailler «Je ne veux pas faire des trucs qui me font chier.» Camille - il a préféré donner ce prénom cher aux zadistes - ne travaille pas. Ou si peu : un ou deux mois par an, depuis qu’il a décroché son bac à Nancy en 2005. «Parasite social» «Inactifs» au sens conventionnel (ils ne sont ni en emploi ni au chômage), Camille, Hervé ou Lætitia sont pourtant loin d’être inaptes. Le travail est «un fait social total [dont] l’absence est devenue quelque chose d’absolument insupportable», écrit la sociologue et philosophe Dominique Méda dans son ouvrage Travail : la révolution nécessaire (2010). Economiser : le mot a son importance quand on ne «gagne» pas sa vie. Simon non plus n’a pas de domicile fixe. «Revenu inconditionnel» Mais la précarité n’explique pas tout. Samedi: Le bondage pour tous Christelle Granja «Je ne veux pas faire des trucs qui me font chier.» «Parasite social» Economiser : le mot a son importance quand on ne «gagne» pas sa vie. Simon non plus n’a pas de domicile fixe. Christelle Granja
Lester R. Brown Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Lester R. Brown Lester R. Lester Russell Brown, né le , est un agroéconomiste et analyste environnemental américain. Il est le fondateur de l'institut Worldwatch ainsi que du Earth Policy Institute, organisation non gouvernementale basée à Washington D.C., dont il est actuellement le président. Avec des publications traduites dans plus de quarante langues, il est l'un des auteurs-essayistes les plus largement diffusés dans le monde. Jean-Louis Borloo, ministre français de l'Écologie, du Développement et de l'Aménagement durables, reconnaît explicitement que Lester R. Biographie[modifier | modifier le code] Lester R. En 1966, le gouvernement américain le nomme administrateur du Service du développement agricole à l'étranger. Principaux ouvrages et idées développées[modifier | modifier le code] Bibliographie[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code]
Peut-on vivre sans argent? Cet homme l'a fait INSOLITE - "Je suis sur le point de pénétrer un monde qui m'est quasiment étranger et, pour la première fois, je me sens vulnérable". Et il y a de quoi. Car le monde que l'idéaliste Mark Boyle s'apprête à découvrir ne connait pas l'argent. Au lendemain de la crise des subprimes, cet Irlandais de 29 ans a fait un rêve, vivre les poches vides pendant un an. Une expérience radicale, l'utopie ultime qu'il a raconté dans un essai, L'homme sans argent dont la traduction vient de paraître (ed. Les Arènes). Hasard du calendrier, quelques jours plus tôt sortait un autre récit d'expérience tout aussi radicale. Lire aussi:» Psychologie : comment l'argent influence notre comportement » L'argent qui corrompt : comment la pression des marchés dégrade la morale Cette expérience, il la raconte depuis 14 ans sur son blog qu'il alimente depuis une bibliothèque municipale. Et c'est tout ce qui le différencie de Mark Boyle. Le moyen de cette déconnexion? Débrouille L’ameublement continue. Contactez-nous
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