Nicolas Sarkozy juge que les HLM sont indûment occupés LE MONDE | • Mis à jour le | Par Catherine Rollot et Vanessa Schneider En cette veille de Noël, Nicolas Sarkozy est d'humeur compatissante. "Je ne prétends pas qu'on a tout bien fait, je vois vos difficultés", a-t-il reconnu, l'air peiné, devant des responsables des Restos du cœur qu'il venait rencontrer, jeudi 22 décembre, dans un entrepôt de Vitry-sur-Seine (Val-de-Marne). Face à la pauvreté, le chef de l'Etat a expliqué que "le logement est absolument la clé". Pour le président, il y a "deux problèmes". "A cela s'ajoute le problème de l'immigration", a-t-il glissé sans en dire plus. Qui sont ces indésirables ? Sur le plan national et toujours selon les chiffres de l'USH, 5 % des locataires dépasseraient le plafond de 20% et seulement 0,3% serait au-delà de 100 %. La majorité des 4,2 millions de HLM sont occupés par des salariés d'entreprises privées ou publiques ou par des fonctionnaires d'Etat. C'est aussi une conséquence d'une législation qui a peu évolué.
How to End This Depression by Paul Krugman The depression we’re in is essentially gratuitous: we don’t need to be suffering so much pain and destroying so many lives. We could end it both more easily and more quickly than anyone imagines—anyone, that is, except those who have actually studied the economics of depressed economies and the historical evidence on how policies work in such economies. The truth is that recovery would be almost ridiculously easy to achieve: all we need is to reverse the austerity policies of the past couple of years and temporarily boost spending. Never mind all the talk of how we have a long-run problem that can’t have a short-run solution—this may sound sophisticated, but it isn’t. But some readers will wonder, isn’t a recovery program along the lines I’ve described just out of the question as a political matter? Let me start by talking about the possibility of a decisive change in policy direction. Nothing Succeeds Like Success But is there any chance of actually getting them enacted as legislation?
L'arnaque de la dette publique Merci de vous référer à l'article pour les détails des calculs ayant aboutis aux conclusions qui suivent Les intérêts de la dette nourrissent la dette. Nous essayons ici de déterminer les évolutions de la dette des administrations publiques au sens de Maastricht si nous n’avions pas eu à payer d’intérêts sur la dette, tous autres éléments restant constant par ailleurs (en particulier la quantité totale de monnaie en circulation dans l’économie). Le résultat des calculs : Constatations : Entre fin 1979 et fin 2009 (30 ans), les APu (État, Administrations diverses, et Administrations de Sécurité Sociale) ont du financer les intérêts de leur dette à hauteur de 1340 milliards d’euros, soit en moyenne 44,7 milliards d’euros par an (un peu plus de 120 millions par jour). Il est intéressant de pouvoir visualiser année par année les capacités ou les besoins de financement des APu – avec et sans intérêts – sur ces années
L'or-papier: il y a quelque chose de pourri au royaume de Danemark… L'un des objectifs de tous analystes et spécialistes de l'or est de présenter les raisons pour lesquelles il est fondamental et rationnel d'acheter et de posséder de l'or physique; mais il y a un autre objectif primordial : celui de présenter des faits qui permettent d'user de la raison, et non de l'émotion. L'élément fondamental et portant de l'intérêt des privés pour l'or est cette nouvelle possibilité - qu'on pourrait définir avec le mot: hystérie sociale - d'acheter de l'or… mais sur papier. La bulle ultime. L'or-papier est comme la chirurgie esthétique: tout le monde veut être toujours beau comme à vingt ans et personne ne veut point tenir compte du vieillissement naturel et du temps qui passe. Exemple bien concret de ces flatteries empressées et mielleuses: les 850 $ l'once du 21 Janvier 1980 représentent 2.000 dollars d'aujourd'hui - ergo le prix de l'or de ces jours-ci, disons: 1.200 $ tr. oz. est sous évalué! …mais le papier oui!! Source données:
le Plus, l’info peut surprendre Laurent Wauquiez a de la compassion et des solutions. Enfin, des solutions qui n'en sont pas, mais font leur petit effet en période électorale. Et de la compassion, pas pour tout le monde... Laurent Wauquiez trouve que l’on en fait trop pour les très pauvres et pas assez pour ce qu’il appelle "les classes moyennes", appellation pratique où tout le monde peut se retrouver. La veille de l’élection présidentielle, Laurent Wauquiez découvre en effet que nombre d’infirmières, plus largement de travailleuses et de travailleurs, passent des heures dans les transports, faute de trouver un logement abordable près de leur travail. Un raisonnement limité Le raisonnement est d’un simplisme et d’une démagogie à peine voilée. Mais surtout, il feint d’ignorer les responsabilités de sa famille politique dans les difficultés à se loger de millions de Français des classes moyennes. Un discours contradictoire "Leur mauvaise foi est évidente.
The Greek inferno: First the unravelling, then the rupture – - Left FlankLeft Flank SYRIZA leader Alexis Tsipras at a pre-election rally in Athens Read mainstream accounts of the massive electoral realignment in Greece and you notice a strange use of terminology. The pro-austerity parties — especially conservative New Democracy and centre-Left PASOK — are called “pro-bailout” and “moderate”, while the parties that oppose austerity are called “extremist” and “hard-line”. And there’s a tendency to portray the rise of new forces on the Left and Right as part of exactly the same phenomenon — an electorate driven to irrational choices by austerity. So here is the “moderate” path, of “necessary” restructuring, that the “extremists” and “hardliners” are getting in the way of: Just short of two years after the Greek government signed its first memorandum of understanding with the so-called “troika” (IMF/EU/ECB), the radical restructuring programme accompanying it has had some cataclysmic effects. This has been justified ideologically in a number of ways. Opinion polls 2009-12
Garçon ! l'addition ! Alors que le gouvernement stigmatise le petit voleur d’oranges, il détourne pudiquement les yeux lorsque les gros poissons trichent en toute décomplexion. Claude Guéant et Nicolas Sarközy ont en effet lancé la chasse aux fraudeurs de la sécu, dont on nous dit qu’ils pillent allègrement l’institution nationale. Celui-là percevrait des indemnités doubles, en ayant deux adresses, et un autre se ferait porter pâle alors qu’il est en bonne santé, et le préjudice serait de taille. On évoque dans le quotidien « la Dépêche » la somme annuelle de 400 millions d’euros (lien) alors que « le nouvel obs » est plus modeste, évoquant 241 millions d’euros. A y regarder de plus près, cela ne représente que 1% des prestations versées. Le citoyen responsable trouvera-il normal que le gouvernement s’en prenne aux plus petits, en laissant allègrement filer les gros poissons ? Sommes-nous en période de guerre ? Pourtant 24 milliards d’euros ont été dépensés pour l’achat de 4 sous marins nucléaires. Sarko…verdose
Chinese TV Host Says Regime Nearly Bankrupt | Business & Economy By Matthew RobertsonEpoch Times Staff Created: November 13, 2011 Last Updated: December 10, 2011 Larry Lang, chair professor of Finance at the Chinese University of Hong Kong. (Wu Lianyou/The Epoch Times) China’s economy has a reputation for being strong and prosperous, but according to a well-known Chinese television personality the country’s Gross Domestic Product is going in reverse. Larry Lang, chair professor of Finance at the Chinese University of Hong Kong, said in a lecture that he didn’t think was being recorded that the Chinese regime is in a serious economic crisis—on the brink of bankruptcy. The restrictions Lang placed on the Oct. 22 speech in Shenyang City, in northern China’s Liaoning Province, included no audio or video recording, and no media. In the unusual, closed-door lecture, Lang gave a frank analysis of the Chinese economy and the censorship that is placed on intellectuals and public figures. Fifthly, that taxes are too high.
Pauvre petit propriétaire Bastien loue depuis 4 ans un studio à Paris qu'il partage avec femme et enfants. 4 dans 24m2. Autant dire une surface conséquente pour cette espèce parisienne en voie disparition: la famille stupidement salariée ayant de surcroît la bêtise économique d'avoir moins de 40 ans. Le propriétaire de petite surface parisienne est, en général, de mauvaise humeur lorsque sa pompe à fric, surnommé locataire trentenaire, lui annonce une prochaine anicroche dans le versement de la thune. Mais pas de ça avec Mr Centuri. Bastien lui passe un coup de fil pour l’avertir du départ prochain de sa petite famille rapport que, après cinq ans de lutte dans la jungle concurrentielle des pauvres petits propriétaires parisiens poussés par la rapacité spéculative à être particulièrement inventifs dans l'optimisation ubuesque des produits à superficie ridicule et loyer d'enculé, il a enfin trouvé plus grand. 10 minutes après. Mais bon. Fatigué par ses émotions téléphoniques,
European elections: if the left doesn't lead revolt against austerity, others will | Seumas Milne Revolt against austerity is sweeping Europe. The election of François Hollande has not only opened up the chance of a change of direction in France, but even in the citadels of fiscal orthodoxy in Brussels, Frankfurt and Berlin. In Greece, Sunday's electoral earthquake has all but destroyed the political establishment that dominated the country for 40 years. From the Netherlands to Romania, governments are falling under the weight of cuts and tax rises required by the eurozone's new permanent deflation treaty. In Ireland, the anti-austerity tide is swelling support for a no vote in this month's treaty referendum. By rejecting renegotiation of either the treaty or the impossible terms of Greece's bailout, Angela Merkel has meanwhile turned the struggle over Europe's economy into a battle for democracy. And it's not difficult to see why they're rejecting it. Of course they also insisted they would "go for growth".
La France des riches contre la France des travailleurs -- Front Syndical de classe Bonjour à tous. Ceux qui suivent les commentaires que je fais sur tel ou tel sujet ont compris que je ne suis pas de votre bord, mais que j’apprécie la liberté d’expression, le débat, et par dessus tout, l’Homme et la Justice. Il y a dans ce texte du très vrai, mais aussi du faux, ou du mal compris. D’abord les chiffres sont assénés sans donner les sources permettant de les vérifier. On confond (volontairement ?) Les impôts, destinés à financer les fonctions "régaliennes" de l’Etat (budget de l’Éducation, de la Justice, de la Culture, de la Défense, de l’Intérieur...) et les dépenses de protection sociale, qui sont des revenus indirects (protection maladie, branche famille...) ou différés (protection chômage, retraites...) Ensuite : Niches fiscales : D’accord pour dire qu’il ne devrait pas en avoir du tout. Mais il y a une niche fiscale dont vous ne parlez pas : La moitié des foyers fiscaux ne payent pas d’impôt sur le revenu. L’exonération des cotisations patronales n’est pas de même nature.
Hyperinflation Special Report (2011) March 15, 2011 United States Nears Hyperinflationary Great Depression Federal Reserve and Government Have Exploded the U.S. High Risk of Ultimate Dollar Disaster Beginning to Unfold in Months Ahead 2014 Remains the Outside Timing for Same Contracting Money Supply Can Be Inflationary When Real Economy Contracts Even Faster Major Economic Series Suggest Formal Depression in Place Hyperinflation Special Report (2011) is the fourth in a series of related writings going back to 2006. In turn, the 2010 report updated and replaced the Hyperinflation Special Report version of April 8, 2008, which was published post-Bear Stearns, but pre-Lehman, pre-TARP, pre-recession recognition and pre-2008 presidential election. This missive includes new material in addition to much of the same text that was in the 2010 edition, with revisions and updates reflecting the still-unfolding economic and systemic-solvency crises. Contents Section 1—Overview. Section 3—Two Examples of Hyperinflation. Section 7—U.S. U.S.
Emmanuel Todd : une nouvelle caste de riches a pris le pouvoir Emmanuel Todd bataille contre l’idée dominante selon laquelle la crise serait due à l’irresponsabilité des emprunteurs, et insiste sur la bonne affaire que constitue la dette d’Etat pour les détenteurs de capitaux. Face à Berlin, qui juge-t-il, a mené une politique commerciale et industrielle déloyale envers ses partenaires, il conviendrait de faire preuve d’une certaine « brutalité » dans les négociations, en raison de « rigidités » qui sont selon lui un « trait culturel » allemand. Emmanuel Todd s’entretien avec Ruth Elkrief, 2 décembre 2012 - extraits Q : vous proposez dans le Point d’effacer la dette de la zone euro (...) R : ce qui important, c’est la cohérence. Alors qu’en fait il y a une complicité fondamentale entre tous les acteurs. (...) Pour la dette publique, par exemple, il y a une sorte de jeu pervers entre les gens qui concoctent les plans d’austérité et les gens qui menacent de mettre des mauvaises notes aux Etats s’ils ne se tiennent pas bien. Q : (...)