Droit d'auteur : l'infantilisme des pirates du Net - Laurent Joffrin - Nouvelobs.com Plusieurs milliers de personnes ont manifesté dans toute l'Europe contre le projet ACTA qui vise à réprimer à l'échelle internationale les atteintes au droit d'auteur et à la propriété intellectuelle. Ce projet d'accord international est discuté depuis plusieurs années dans des conditions d'opacité peu démocratiques. Il comporte des dispositions contestées, notamment celles qui visent à obliger les fournisseurs d'accès Internet à réprimer eux-mêmes, ou à dénoncer, les contrevenants au droit d'auteur, qu'il s'agisse de sociétés commerciales ou de particuliers. Les manifestants voient dans le projet ACTA une menace grave contre les principes de liberté et de neutralité du réseau qui président traditionnellement aux échanges sur Internet. Le droit d'auteur, une conquête On a en effet le sentiment, en lisant leurs textes ou en écoutant leurs slogans, que ce mouvement – complexe au demeurant et formé de courants divers – confond la liberté du citoyen avec l'absence totale de règles.
L'affaire Megaupload : le début de "l'Internet de plomb" ? / Grand entretien avec Mísia . - Arts & Spectacles 1ère partie : L'affaire Megaupload : le début de "l'Internet de plomb" ? Jeudi 19 janvier 2012, la justice américaine a ordonné la fermeture de Megaupload, l’un des plus importants sites de téléchargement de films et de musique. Cette opération ultramédiatisée a, à la fois, relancé le débat en France sur la régulation d’Internet (droite et gauche se renvoyant dans les cordes quant à la suppression de la loi Hadopi) et radicalisé un peu plus les groupes de hackers sur le net. Va-t-on vers un internet de plomb ? Avec : Antonio CASILLI André GUNTHERT Etienne KLEIN Archives diffusées : - Générique d’annonce de messages Anonymous. - Extrait du journal télévisé du 03/04/2009. 2ème partie : Grand entretien avec Mísia . Misia Caroline Broué©Radio France Le fado est pour elle un langage émotionnel universel et un art de vire. A l’occasion de son concert à Paris fin janvier, Mísia s’est arrêtée dans le studio de la Grande Table. Musiques diffusées : - Amalia RODRIGUES, "Lagrima".
Encrypt Your Data Requiring a strong password to log onto accounts on your computer is a good security step. But when the government is your attacker, it's not nearly enough. If the government seizes your computer, all it has to do to get around your account protection is to take the hard drive out and stick it into another computer to get around your password protection. Similarly, if you were subject to a sneak-and-peek search, the government could sneak in with their own hardware, take your hard drive out and copy it, and then replace it without you ever knowing. You should also find out more about how to choose and use file and disk encryption software. So I used file encryption and the government seized my computer — now what? Alternatively, a prosecutor may ask a judge to order you to turn over your password.
Une Infographie pour mettre fin à l’histoire de Megaupload C’est une réalité, Megaupload c’est bien fini … du moins dans la version dans laquelle on le trouvait. En effet, après la fermeture menée par le FBI et l’arrestation des membres de la société, le moins que l’on puisse dire c’est que Megaupload était aimé de beaucoup de monde à en croire les nombreux articles, réactions en chaine que l’on peut lire sur le Web. Pour preuve, une infographie a été réalisée sur le sujet. Celle-ci nous indique que ce sont environ 50 millions de visites uniques par jour, avec 5,5 millions de VU en France (dont 2,2 millions pour Megavideo). Ensuite, Megaupload c’est quand même le treizième site le plus fréquenté d’après le FBI ! Voilà vous savez tout, ou presque de Megaupload. Vous pouvez visualiser ici l’infographie dans une meilleure résolution En tout état de cause, cette fermeture a provoqué un séisme dans le monde du Web. Tout comme le note WebActus, voici une petite touche d’humour proposée par une parodie de Bref intitulée : « Bref, MegaUpload a fermé »
Comment fonctionnait exactement Megaupload avant sa fermeture ? Il y a une semaine jour pour jour, les autorités américaines ont fermé le site de partage de fichiers Megaupload pour violation des droits d’auteur, et arrêté le fondateur du site, Kim Dotcom, qui s’était enfermé à l’intérieur de son manoir à Auckland avec un coffre-fort contenant 30 millions de dollars… Quelques heures après cette fermeture, le site de partage de fichiers rival, FileSonic, pour qui on aurait pu penser allait récupérer les utilisateurs de Megaupload, a au contraire volontairement fermé ses portes sur sa capacité de partage de fichiers. Mais, que font exactement ces sociétés pour violer les droits d’auteurs ? C’est ce que je vais tenter d’expliquer dans la suite de cet article. En quoi consiste exactement un service de partage de fichiers ? Tout service populaire qui permet à un utilisateur de télécharger un fichier et ensuite le rendre disponible comme un lien pour que d’autres personnes puissent le télécharger. Pas du tout. Pas du tout. Ralentir ?
Comment vos photos personnelles se retrouvent, à votre insu, sur Google Images Imaginez la scène: vous photographiez une fête particulièrement déjantée, avec moult invités déguisés, dépoitraillés ou dans un état d’ébriété avancée, parmi lesquels votre patron direct (pourquoi pas ?), votre épouse, et vous-même. Et le soir même, ces clichés se retrouvent en accès libre sur Google Images dès que vous y tapez vos nom et prénom. Vos photos privées accessibles à tous ? C’est l’expérience étrange qu’a vécue Alexandre, un architecte parisien, dans la nuit du 10 au 11 janvier. "Alors que je m’étais amusé à “googler” mon nom dans Google Images, j’ai vu apparaître toutes les photos perso que j’avais prises avec mon téléphone Android !" Les photos de sa famille, ses photos de vacances et des photos de lui totalement hirsute dans son lit. L'impact de la fonction "Instant upload" Comment ces photos privées ont-elles pu se retrouver sur Google Images ? Jusqu'à 6 semaines de délai pour les faire enlever de Google Une vigilance vraiment nécessaire Par Fleurpudlo, le 13/04/2011 Bonjour,
Pour les internautes, les données sur l'identité valent plus que les autres De plus en plus de services en ligne monnayent les informations personnelles des individus. Si ces derniers arrivent à quantifier hypothétiquement la valeur de chacune d'entre elles, ils restent souvent hostiles au procédé. Les utilisateurs donnent une valeur spécifique à leurs informations personnelles lorsqu'ils se trouvent sur Internet. Des chercheurs de l'université de Columbia et de Telefonica Research ont mené une enquête auprès d'internautes espagnols quant à leur attitude et leur sentiment par rapport à la collecte et à la monétisation de certaines de leurs données confidentielles lorsqu'ils se servent de services gratuits en ligne (Google, Facebook...). L'étude se déroulait sur deux mois et consistait en l'installation d'un plugin dans le navigateur Firefox. Conscients mais opposés à la monétisation des informations Le pop-up était également accompagné de questions plus généralistes sur la connaissance des utilisateurs en matière de vie privée sur Internet.
Scoop : l'Hadopi est morte le 24 décembre ! C'est une situation incongrue, qui visiblement embarrasse le gouvernement. Depuis le 24 décembre 2011, l'Hadopi n'a plus d'existence juridique ; ou cette dernière est en tout cas entachée d'irrégularité. En effet, alors que la loi prévoit que le collège de l'Hadopi est composé de neuf membres, parmi lesquels figure le président (en l'espèce la présidente) de l'autorité administrative, trois des membres n'ont plus de mandat depuis la veille de Noël. C'est par un décret du 23 décembre 2009 que les neuf membres du collège de la Haute Autorité avaient été désignés. Christine Mauguë, nommée par le CSPLA ; Patrick Bouquet, nommé par la Cour des comptes ; Michel Thiollière, nommé par le président du Sénat. Ces trois membres n'ont plus de mandats, et n'ont pas été remplacés. En revanche, son site internet a été modifié. Pire. Or tant qu'il ne sera pas remplacé, la CPD ne pourra plus se réunir, et ne pourra donc plus envoyer de recommandés ou transmettre des dossiers aux juges.