Pourquoi avons-nous besoin de catalogues 2.0 ? - La Feuille - Bl
J'ai le billet de Bertrand Callenge ouvert depuis plusieurs semaines dans mon navigateur (ce n'est pas bon signe). J'ai eu également celui de Lionel Dujol ouvert sur mon bureau quelques temps (mais j'avais trouvé le temps de trousser une rapide réponse). Je suis largement d'accord sur le fond avec les deux : les usagers ne viendront pas taguer et commenter en masse les catalogues des bibliothèques qu'ils fréquentent (ou pas) : ils ne se transformeront pas tous demain en bibliothécaires, pas plus qu'ils ne sont devenus tous citoyens, ou que tous les internautes sont devenus des personnes qui coopérent entre elles en puissance. Pour autant, il me semble que le refus du "2.0" qu'énonce Bertrand Callenge dans son billet est désastreux (il me semble en même temps, assez symptomatique de la vision des bibliothécaires - rien de personnel Bertrand, au contraire, je cherche à discuter pas à condamner. Les usagers, d'abord, cherchent des références, des titres, des bibliographies...
MyLinguistics - Marguerite Leenhardt's Web Log
Promouvoir les communs – pour une société de la connaissance partagée et inclusive
Magna Carta Tablet, Bury St Edmunds Abbey The motto of Bury St Edmund is « Sacrarium Regis, Canabula Legis », Latin for « Shrine of a king, cradle of the law », which combines the town’s links with Edmund and Magna Carta. SavoirsCom1 propose les amendements suivant au Projet de loi pour une République numérique, n° 3318, en commun avec les associations et personnalités listés ci-après. Notre collectif propose également ses propres amendements. Déclaration commune des organisations : Les biens communs – ou communs – nourrissent depuis toujours les pratiques d’échange et de partage qui structurent la production scientifique et la création culturelle. Mais ils s’inscrivent aussi dans une perspective plus large de défense d’un mode de propriété partagée et de gestion collective des ressources, sur le modèle des“communaux”, ces ressources naturelles gérées par tous les individus d’une communauté. La définition positive et la protection des communs de la connaissance I. II.
Blog d'un jeune (chercheur) entrepreneur en TAL
Évolution des métiers des bibliothèques et de la documentation
Cette synthèse par périodes historiques met en valeur l'évolution du cœur de métier des professionnels des bibliothèques et de la documentation. Depuis 2013 Big data.De nouveaux métiers : manager de l’information, chargé(e) de médiation numérique, expert de préservation numérique, community manager.Médiation numérique et co-construction.Un nouveau profil de cadres en bibliothèques. 2000 à 2012 Une révolution : le numérique.Un concept : la bibliothèque hybride.Deux nouveaux services : le web 2.0 et la bibliothèque numérique.Un mot d’ordre : la proximité.Une formation modernisée et individualisée. 1990 à 2000 Des métiers de l’information et de la documentation.Des professions en mutation.De nouvelles technologies : un bouleversement.Réseaux de coopération, politiques documentaires, médiation et formation des usagers. 1965 à 1990 1935 à 1965 Des bibliothèques diversifiées.Une identité professionnelle statutaire.Une formation structurée et une profession concurrente : les documentalistes. Avant 1935
On blogging in the Digital Humanities | Michael Ullyot
[This is a companion post to "On blogging in English 203," which I wrote for students in -- wait for it -- my English 203 (Hamlet in the Humanities Lab) seminar.] Blogging in the social, pure, and applied sciences is a common enough practice that two members of the London School of Economics’ Public Policy Group said today that it is “one of the most important things that an academic should be doing right now” — namely, circulating ideas-in-progress to readers in more immediate and (yes) more interesting forms than traditional academic publishing. It’s no less important in the humanities, even if it’s less common. It’s not surprising that digital media would outweigh papers, articles, and books in a field that’s predicated on, well, digital media. Why? Most researchers in the DH field are dealing with complex projects, for which their professional (graduate) training didn’t fully prepare them.
CaddE-Réputation
Intelligence économique, décision stratégique et analyse de l’environnement incertain: l’analyse des hypothèses concurrentes
A la suite de notre travail sur les surprises stratégiques à la CIA, mon confrère Milo Jones et moi-même recevons beaucoup de demandes pour discuter davantage de l’application des outils du renseignement au monde des affaires. Un outil que nous utilisons est l’analyse des hypothèses concurrentes (AHC ou ACH en anglais: Analysis of Competing Hypotheses). ACH est un outil analytique développé initialement par Richards Heuer pour la CIA, mais il s’applique bien au monde des affaires pour la prise de décision stratégique. Il est basé sur un modèle simple permettant, avec une approche scientifique, d’utiliser les idées de la psychologie cognitive et de l’analyse décisionnelle pour surmonter un biais très répandu: le fait que nous ayons tendance à percevoir ce à quoi nous nous attendons, plutôt que ce qui existe réellement. Pour illustrer cette tendance, lisez les mots dans les trois triangles ci-dessous: Que remarquez-vous? Où spécifiquement pouvez-vous décider d’utiliser ACH? Like this:
Carnets de recherche
Cartonomics: Space, Web and Society