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Ça - Moi - Surmoi | Aide Psy Il s'agit de le deuxième topique freudienne, la théorie des trois instances de la personnalité. Le Ça est le siège de l'inné, des pulsions. On le retrouve lorsqu'en réfléchissant au pourquoi de certains de nos actes, on se dit « ça a été plus fort que moi ». Le Moi est le siège de la décision, il reçoit les instructions pulsionnelles du Ça mais il doit tenir compte de la volonté du Surmoi. C'est lui qui met en action les mécanismes de défense face à la perception d'affects déplaisants. Il s'exprime par le langage. Le Surmoi est le siège de l'acquis, c'est-à-dire des interdits, de la morale, des lois, ... Ces trois instances sont parfois utilisées, dans leurs versions très très simplifiées, par les scénaristes de BD ou de dessins animés. (Dethy M. : "Introduction à la psychanalyse de Freud") En savoir plus ...
10 troubles de la personnalité (DSM-5) Mise à jour 2015 - Le DSM-5 (1) définit 10 troubles de la personnalité spécifiques. Ces troubles, ainsi que leurs critères diagnostiques, sont demeurés inchangés par rapport au DSM-IV. Cliquez sur les liens pour consulter ces critères diagnostiques. La personnalité paranoïaque est caractérisée par une méfiance soupçonneuse envers les autres dont les intentions sont interprétées comme malveillantes. La personnalité schizoïde est caractérisée par un détachement des relations sociales et une restriction de la variété des expressions émotionnelles. La personnalité schizotypique est caractérisée par une gêne aiguë dans les relations proches, par des distorsions cognitives et perceptuelles et des conduites excentriques. La personnalité antisociale est caractérisée par un mépris et une transgression des droits d'autrui. La personnalité limite (borderline) est caractérisée par une impulsivité marquée et une instabilité des relations interpersonnelles, de l'image de soi et des affects.
Science décalée : regarde mon cerveau et tu sauras combien j’ai d’amis Les amis peuvent composer une grande partie du réseau social d'une personne. Et de leur nombre dépend le volume de certaines régions du cerveau... © JohnCrider, Flickr, cc by nc nd 2.0 Science décalée : regarde mon cerveau et tu sauras combien j’ai d’amis - 2 Photos Timide ou extraverti, casanier ou toujours dehors avec ses amis… Nous sommes tous différents dans notre approche de la vie sociale. Le contexte : les aptitudes sociales limitées par le cerveau L’Homme est à l’instar de ses cousins primates un animal social. Ce travail célèbre établirait donc un lien direct entre la taille de certaines régions du cerveau et le niveau de sociabilité d’une espèce. Le volume de certaines régions du cerveau dépendrait de notre propre expérience et de nos propres habitudes sociales. L’étude : des régions cérébrales liées à la taille des réseaux sociaux MaryAnn Noonan et ses collaborateurs ont recruté 18 volontaires pour observer la structure de leur cerveau. A voir aussi sur Internet Sur le même sujet
Le trouble de personnalité limite, une maladie neuropsychologique qui se précise , aussi appelé trouble de la personnalité borderline, il y a des différences de densité dans la et leurs connexions) de deux régions clés du circuit de régulation des émotions. Ces différences se reflètent par des anomalies dans le fonctionnement de ces régions. Les personnes souffrant de TPL ont un excès de matière grise dans l'amygdale, une structure du cerveau liée à la peur et à l'anxiété. Cette région est sur-activée en réponse à certains stimuli perçus comme menaçants. À l'inverse, une région qui régule l'amygdale, le cortex cingulaire antérieur situé à l'avant du cerveau, présente une déficience en cellules nerveuses et est sous-active. Des altérations similaires dans les mêmes circuits ont été associées à la dépression et aux troubles anxieux, indiquant que le TPL peut partager des mécanismes communs avec ces troubles qui ont traditionnellement été abordés par la lorgnette de la biologie. (1) Michael Minzenberg, Antonia S.
Trouble de personnalité limite (borderline): anomalie cérébrale identifiée Un jeu sur ordinateur impliquant la confiance dans les relations pourrait servir de test pour diagnostiquer le trouble de personnalité limite (TPL) ou borderline selon des chercheurs. Dans ce jeu, les personnes atteintes du TPL présentaient des réactions distinctes et une activité du cerveau différente, ce qui fournit un nouvel éclairage sur la neurobiologie de ce trouble, considèrent les chercheurs. Read Montague du Baylor College of Medicine (Houston), coauteur, espère que cette recherche contribuera à déstigmatiser la maladie en montrant qu'elle a une origine biologique. La maladie n'est pas considérée traditionnellement comme reliée à des problèmes organiques du cerveau, précise-t-il. Le TPL se caractérise par un certain nombre de difficultés sociales, incluant la difficulté de contrôle de l'humeur, l'impulsivité et les difficultés de relation avec les autres. 55 personnes ayant le TPL étaient comparées à 55 personnes sans TPL dans ce jeu de confiance.
Trouble de la personnalité limite (TPL) Il existe des traitements efficaces pour traiter le trouble de la personnalité limite. Des études cliniques ont démontré que l’état d’une personne s’améliore de façon importante lorsque le trouble est détecté rapidement et qu’un traitement adéquat est entrepris. Les traitements permettent aux personnes atteintes de reprendre le contrôle sur leur vie et leurs activités quotidiennes. Dans la majorité des cas, le trouble de la personnalité limite se traite par la psychothérapie. Certaines personnes doivent aussi prendre des médicaments. Psychothérapie Les experts proposent différentes psychothérapies pour traiter le trouble de la personnalité limite. La thérapie comportementale dialectique est basée sur la résolution de problèmes. La psychothérapie peut être suivie de façon individuelle ou en groupe. Médicaments Il n’existe pas de médicaments conçus spécialement pour traiter les personnes atteintes d’un trouble de la personnalité limite. de mieux gérer certains symptômes.
Trouble de personnalité limite: la vie en montagnes russes Un moment, elles agissent en super héros et, l'instant d'après, elles creuseraient leur tombe. Littéralement. Hypersensibles, les personnes souffrant d'un trouble de personnalité limite ont longtemps été les grandes incomprises du système de santé. Elles sont mieux accompagnées aujourd'hui, mais leur parcours n'en est pas moins sinueux. Le parcours de Catherine Portant une chemise mauve et des boucles d'oreilles agencées, Catherine Dupré est arrivée à l'heure pile à notre rendez-vous dans un café de Rosemont, à Montréal. «Les scientifiques disent que le TPL apparaît vers l'adolescence, mais dans mon cas, j'ai bien l'impression que c'est arrivé avant ça. «Au secondaire, ma grand-mère aurait pu me mener à l'école, mais je préférais me lever seule, à 5 h du matin, et partir à pied pour arriver tôt à l'école, quand il n'y avait personne. «J'ai eu beaucoup d'idées suicidaires au secondaire. «J'ai eu des épisodes dépressifs certaines années. Les mal-aimés du système Tout ou rien De l'espoir
No Anger | A mon geste défendant Conférence donnée dans le cadre d’un atelier transversal pendant les journées professionnelles de DCA (l’association nationale pour le Développement des Centres d’Art), le 28 novembre, au Carreau du Temple (Paris). Voici la lecture audio de la conférence : Pendant quarante-cinq minutes, je vais parler du validisme et de son rapport à l’art contemporain. Mais qu’est-ce que le validisme ? Fin octobre, je roulais tranquillement dans un parc, quand j’entends soudain la voix paniquée d’un garçon de huit ans crier derrière moi : « Papa ! C’est ça, le validisme. Oui, car le validisme, ce sont aussi ces questions : qu’a-t-on inculqué à cet enfant pour qu’il réagisse ainsi ? A cet enfant, à ce père, on a montré des images, qui ont forgé, en leur subjectivité, une certaine idée du handicap. Aujourd’hui, je vais donc vous parler du validisme par le biais de l’imaginaire, car il faut bien choisir un angle d’approche pour brosser, en quarante-cinq minutes, un portrait efficace de cette oppression.