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10 reasons Ph.D. students fail Focus on grades or coursework No one cares about grades in grad school. There's a simple formula for the optimal GPA in grad school: Optimal GPA = Minimum Required GPA + ε Anything higher implies time that could have been spent on research was wasted on classes. During the first two years, students need to find an advisor, pick a research area, read a lot of papers and try small, exploratory research projects. Learn too much Some students go to Ph.D. school because they want to learn. Let there be no mistake: Ph.D. school involves a lot of learning. But, it requires focused learning directed toward an eventual thesis. Taking (or sitting in on) non-required classes outside one's focus is almost always a waste of time, and it's always unnecessary. By the end of the third year, a typical Ph.D. student needs to have read about 50 to 150 papers to defend the novelty of a proposed thesis. The price of all this "enlightenment" was an extra year on my Ph.D. Expect perfection Procrastinate Aim too low It is.
L'immense gâchis des doctorats On m'excusera de ne pas citer les circonstances qui m'ont amené à connaître des doctorants dans la quête d'un emploi dans le secteur privé. Il s'agit de déontologie. L'article du 6/8 sur ce thème reste trop partiel et teinté d'optimiste volontariste. Le diplôme en situation de pénurie d'emploi Le diplôme est de peu de valeur dans le secteur privé avant l'embauche et sa reconnaissance dans les conventions collectives n'apportera rien en matière de recrutement (au contraire parfois, hélas, c'est un mythe cher aux travailleurs sociaux). Il sert à faire un premier tri des candidatures trop abondantes, car il indique un domaine de compétence et un niveau de capacité intellectuelle. Je ne vois pas de solution à ce premier barrage à court et moyen terme. En l'admettant passé, restent d'autres critères de sélection rangés classiquement en trois groupes chez les spécialistes des ressources humaines. Les trois groupes classiques de critères de sélection
Le blog du magazine Docteurs&Co Forum AquiDoc - Bordeaux - 10 juin 2010 - Sciences Po Bordeaux Universities are offering doctorates but few jobs - latimes.com As they walk in hooded robes to the strains of "Pomp and Circumstance," many students getting their doctorates this spring dream of heading to another university to begin their careers as tenure-track professors. But when Elena Stover finished her doctorate in September, she headed to the poker tables. Frustrated with the limited opportunities and grueling lifestyle of academia, Stover, 29, decided to eschew a career in cognitive neuroscience for one playing online poker. She got the idea from a UCLA career counselor, who was trying to help her find employment. "The job market is abysmal, especially within the academic system," said Stover, who spent six years getting her doctorate at UCLA. It has never been easy to find a tenure-track teaching job. "That's one of the weird things — after all this training, you should really have these career options, but in reality, it's really scarce," said Stover, who moved to Oakland, got a poker coach and says she's making enough to pay the bills.
La filière littéraire, un cursus à réinventer | slate Cette année, seuls 17% des candidats au bac sont des «littéraires». En 20 ans, la filière L a perdu 28% de ses effectifs, et les facs de sciences humaines 10% de leurs étudiants depuis 1999. Qui sont ces littéraires? Des jeunes qui n'ont pas trop les pieds sur terre, qui sont un peu coupés des réalités du monde? Caricature pas entièrement fausse: j'ai suivi cette voie il y a dix ans. publicité Dans une tour d'ivoire Ceux qui croient sauver la filière en répétant que les humanités ont une valeur en soi car elles permettent à chacun de développer son esprit critique, etc. ne font pas beaucoup avancer les choses. Ce qui est fascinant avec le modèle français, c'est que lorsqu'on donne des oeillères au littéraire, on le persuade aussi que cet isolement est bénéfique, que c'est une façon de lutter contre l'utilitarisme ambiant. Certes, c'est une chance de pouvoir étudier Proust plutôt que de faire des cours intensifs de comptabilité. Quelques initiatives Le monde du travail et du grand capital
La thèse, un « vrai » travail! Souvent, nous avons nous-mêmes du mal à considérer notre travail de thèse comme un « vrai » travail. Se considérer soi-même comme « chercheur(e) », en formation certes, mais chercheur(e) quand même, me semble cependant un pas important dans le processus d’insertion professionnelle. En effet, la thèse est une véritable expérience professionnelle qui demande des compétences nombreuses qui dépassent de loin la seule capacité de rédiger le document final. Sans ignorer la situation problématique dans laquelle se trouvent actuellement l’enseignement supérieur et la recherche en France, l’insertion professionnelle reste, en partie, une question d’estime de soi et d’état d’esprit. Donc : n’intériorisons pas l’infériorité supposée de notre statut en concevant la thèse comme du « non-travail » ou du « pas encore-travail »! Poser la question de l’insertion professionnelle en termes de « passage thèse-travail » (autrement dit : « Qu’est-ce que j’aimerais faire quand je serai grand ?
Les aspects concrets de la thèse (2010-2011) Résumé Dans sa troisième année, le séminaire « Les aspects concrets de la thèse » restera fidèle à son engagement de départ : éclaircir, expliciter et ouvrir un débat sur les aspects concrets du travail de thèse en sciences sociales – aspects qui, trop souvent, sont considérés comme allant de soi et donc exclus de la formation à la recherche. Annonce Séance du 05 novembre : "L’écriture scientifique existe-t-elle ?" Intervenante : Maryvonne Charmillot, Maître d'enseignement et de recherche, Université de Genève Début de séance : Sébastien Kapp et Moritz Hunsmann, doctorants à l‘EHESS ; présentation du séminaire et du programme de l’année Séance du 19 novembre : "Être acteur de son doctorat : Pistes et outils pour la prise d’initiatives et contre l’isolement" Intervenantes : Jade Legrand, doctorante à l’EHESS ; Irène Bellier, directrice de recherche CNRS Séance du 03 décembre : "De l’écrit universitaire au texte lisible : trouver un lectorat élargi pour ses travaux" Lieux Dates
La multinationale et l’université : conflit de chantier - Jade Lindgaard, Médiapart, 27 juillet 2010 Pour lire cet article sur le site de Médiapart. Bataille de chiffres, de normes, de vision de l’architecture et de la commande publique à l’université Paris 7-Diderot. Dans le quartier de l’avenue de France, dans le XIIIe arrondissement parisien, fertile terre d’expérimentation architecturale, quatre bâtiments doivent voir le jour sur le campus de la fac scientifique, qui poursuit ainsi son développement hors du site historique de Jussieu. Ce n’est pas un chantier comme les autres : c’est l’un des tout premiers partenariats public-privé (PPP) signés par l’université française. L’avantage immédiat pour l’Etat est évident : l’économie des coûts d’investissement, qui permet de réduire la dette. L’université Paris 7-Diderot a signé il y a tout juste un an un contrat de partenariat –forme juridique demandée par le ministère– avec le groupe Vinci, mastodonte du BTP, pour la somme de 273 millions d’euros. C’est peut-être ce qui est en train de se produire, mais pas dans le sens qu’il espérait.