background preloader

Les Moso, société sans père et sans mariage

Les Moso, société sans père et sans mariage
«L’effet de la Pluie sur l’herbe» est un webdocumentaire sonore et photographique sur la société des Moso, créé à partir d’un carnet de voyage réalisé en Chine en avril 2011. Les Moso sont un peuple du sud-ouest de la Chine, vivant sur un territoire situé aux confins du Sichuan, du Yunnan et de la frontière tibétaine, sur les contreforts de l’Himalaya, à 2 700 mètres d’altitude. Depuis deux millénaires, ils vivent selon une organisation matriarcale où les notions de mariage et de paternité sont quasi inconnues. Dans cette société sans mariage et donc sans infidélité, la sexualité est libre, sans rapports de domination entre hommes et femmes. Le titre — «L’effet de la pluie sur l’herbe» — vient d’un passage à la fin du documentaire : en matière de sexualité, «l’homme est comme l’effet de la pluie sur l’herbe, peu importe qui arrose, ce qui compte c’est que la femme soit arrosée». Cliquez sur l'image ci-dessous pour voir le webdoc par Aurélien Bertini et Magali Jeanningros Related:  Situation des femmes et des filles dans le mondecoxie

Commission de la condition de la femme | ONU Femmes – Siège La Commission de la condition de la femme des Nations Unies (CSW) est le principal organe intergouvernemental mondial dédié exclusivement à la promotion de l’égalité des sexes et de l'autonomisation des femmes. La CSW est une commission fonctionnelle du Conseil économique et social des Nations Unies (ECOSOC) créée par la résolution 11(II) du Conseil du 21 juin 1946. La Commission de la condition de la femme joue un rôle important dans la promotion des droits des femmes. Elle reflète la réalité vécue par les femmes dans le monde entier et contribue à l'établissement des normes mondiales relatives à l'égalité des sexes et à l'autonomisation des femmes. En 1996, dans sa résolution 1996/6, le Conseil économique et social des Nations Unies a élargi le mandat de la Commission. ONU Femmes appuie tous les aspects du travail de la Commission. Méthodes de travail Programme de travail pluriannuel La Commission a élaboré son premier programme de travail pluriannuel en 1987.

Les modes d'accueil des jeunes enfants : un enjeu de l'égalité entre les femmes et les hommes Allez au contenu, Allez à la navigation 16 juin 2015 Recherche Recherche avancée Vous êtes ici : Travaux parlementaires > Rapports > Rapports d'information Les modes d'accueil des jeunes enfants : un enjeu de l'égalité entre les femmes et les hommes Rapport d'information de M. À mi-parcours de la mise en oeuvre de la Convention d'objectif et de gestion (COG) 2013-2017, signée par l'État et la CNAF en juillet 2013, et qui vise à créer 275 000 nouvelles solutions de garde des jeunes enfants à l'échéance de 2017, la délégation a souhaité faire le point sur la politique actuelle de développement de l'accueil des jeunes enfants. Elle a souhaité aborder ce sujet sous l'angle de l'égalité professionnelle entre femmes et hommes, qui fait partie de ses priorités. La délégation a formulé 11 recommandations, parmi lesquelles : - la valorisation des métiers de la petite enfance ; - la nécessité d'harmoniser les normes qui s'imposent aux structures d'accueil. Rapport A lire aussi Mon Sénat Accès rapide

Fabrique des garçons Quelque chose ne tourne pas rond chez les garçons. Les chiffres parlent d’eux-mêmes : au collège, ils représentent 80% des élèves sanctionnés tous motifs confondus, 92% des élèves sanctionnés pour des actes relevant d’atteinte aux biens et aux personnes, ou encore 86% des élèves des dispositifs Relais qui accueillent les jeunes entrés dans un processus de rejet de l’institution scolaire. Tous ces garçons ont-ils des problèmes, des troubles du comportement et/ou de l’apprentissage ? Eh bien non, loin s’en faut. Des travaux récents (1) montrent que leurs transgressions et leurs difficultés scolaires sont, le plus souvent et quel que soit leur milieu social d’origine, des conduites liées à la construction même de leur identité masculine. Tous les premiers vendredis du mois, Libération publie en partenariat avec le magazine en ligne de l’organisme ( une analyse scientifique originale. L'injonction sociale à la virilité Repenser l'éducation des garçons

De la paternité, de la maternité et du féminismeen Figures médiatiques à succès, reflets de mutations des rapports entre les genres, les « nouveaux pères », que les sociologues peinent à cerner, rencontrent le scepticisme des féministes. Au point que certaines, de façon surprenante, ont accueilli la récente loi sur l’autorité parentale comme un inacceptable retour en force du patriarcat. La paternité, dans nos sociétés, connaît-elle de véritables transformations susceptibles de modifier les rapports de domination ? Mouvements : Nouveaux pères, nouvelle paternité : cette terminologie correspond-t-elle à une véritable transformation susceptible de modifier les rapports de domination ? Michèle Ferrand : La définition de la paternité, comme celle de la maternité, est un enjeu des rapports entre les sexes. La domination masculine s’articule avec les autres rapports sociaux, notamment de classe et ne prend pas les mêmes formes partout. M. M. : Ça redéfinit donc aussi la masculinité. M. M. M. M. M. M.

Éducation et égalité des genres L'égalité des genres constitue pour l'UNESCO une priorité à l’échelle mondiale, indissociable de ses efforts de promotion du droit à l'éducation et de son soutien à la réalisation des Objectifs de développement durable (ODD). L’Agenda Education 2030 reconnaît que l'égalité des genres requiert une approche qui « garantisse que les filles et les garçons, les femmes et les hommes non seulement aient le même accès aux différents cycles d’enseignement, jusqu’à leur terme, mais aussi qu’ils aient les mêmes possibilités de s’épanouir dans l’éducation et grâce à l’éducation. » Il existe dans de nombreux contextes de grandes inégalités de genre dans l'accès, les acquis de l’apprentissage et la poursuite des études, le plus souvent au détriment des filles, même si dans certaines régions ce sont les garçons qui sont désavantagés.

Le couple Dans la conférence introductive, François de Singly a évoqué la première et la seconde modernité de la famille. Cest une clé essentielle pour en comprendre les transformations contemporaines. Ce terme de « seconde » modernité tous ne l'emploient pas. Pour dater cette seconde modernité on parle des années 1960. Comment caractériser schématiquement ces mutations? On voit apparaître une émergence du sujet, de la personne, qui veut intervenir dans sa vie et être sujet de son existence, mais qui en même temps est souvent contrainte par la force des choses, par le mouvement de la vie et de la société. Cest le cas, par exemple, dans leurs relations sociales. L'individu choisit ses liens sociaux, il choisit son avenir. Choix de la morale également. Enfin chacun choisit sa vérité. Le sens du vrai et du faux, dans tous les domaines de la vie privée était autrefois donné par la tradition et transmis d'une génération à l'autre. La réponse est ambiguë. Mais il nen va pas de même pour le couple.

Un outil pour exprimer la colère de manière respectueuse L’action d’un enfant regroupe ses actes, sa manière de réagir visible « à l’extérieur » dans une situation donnée. Tout comportement n’est pas acceptable (taper ne l’est pas, insulter non plus, pas plus que se montrer irrespectueux/se). A partir du moment où une action blesse (physiquement ou psychologiquement) quelqu’un ou soi-même, elle n’est pas acceptable. Les sentiments d’un enfant correspondent à ce qu’il ressent, à ce qui se passe « à l’intérieur » (la tête qui bout, les jambes qui flagolent, le cœur qui bat vite…). Ainsi, tout enfant a le droit d’être fâché, d’éprouver des sentiments hostiles à l’égard d’autrui, de se sentir en colère à l’intérieur. Tu as le droit d’être en colère et c’est ce que tu ressens à l’intérieur de toi. Il convient donc de poser des règles et des repères raisonnables aux actes d’un enfant tout en le laissant manifester les sentiments qu’il peut ressentir. Le Dr. Rien n’est plus dangereux que d’empêcher la vapeur de s’échapper d’une chaudière.

École : enseigner autrement Faire le ménage, apprendre à s'habiller, découvrir les continents, lire des mots, voilà la méthode utilisée dans cette école maternelle pendant trois ans, où les enfants n'avaient même plus peur des opérations compliquées. Ces élèves n'étaient pas des surdoués, mais ils ont bénéficié d'outils pédagogiques différents, sélectionnés par Céline Alverez, une enseignante révoltée par l'échec scolaire qui cherchait à "stimuler le potentiel des enfants". Dans son livre, Les lois naturelles de l'enfant, Céline détaille son expérience tout comme les nombreuses études scientifiques sur lesquelles elle s'est appuyée pour réinventer l'école. Aujourd'hui en CE2, Kenza a passé deux ans dans cette maternelle si particulière et dès la grande section, c'était une grande lectrice. Pour sa mère, Pascaline, cette expérience a transformé sa fille. Mais en 2014, le couperet tombe : malgré de bons résultats, Céline doit revenir dans le cadre ou quitter l'école. Le JT

Loi Famille: PMA, GPA, beau-parent... Ce que la loi prévoyait, ce qu'elle ne prévoyait pas LOI FAMILLE - Opération déminage. Après avoir capitulé face à la Manif pour tous en reportant sine die son projet de loi sur la famille, le gouvernement tentait désespérément ce mardi 4 février de donner le change. Promis, juré, le texte qui devait être présenté au mois d'avril ne sera pas enterré. "Je ne suis pas inquiète, je ne crois pas qu'il n'y ait plus de texte", a défendu sans grande certitude la ministre de la Justice Christiane Taubira, tandis que la porte-parole de l'exécutif, Najat Vallaud-Belkacem, insistait sur le fait que le texte n'était "pas prêt". LIRE AUSSI - Sur la PMA, le renoncement permanent du gouvernement "L'hystérisation autour de ce projet de loi, notamment du fait de la Manif pour tous qui s'est appuyée sur des fantasmes, des peurs imaginaires pour hystériser le débat, est préoccupante et problématique et nous ne voulons pas que ce projet de loi prospère dans ce type de conditions. Ce devait être une des mesures phares du texte. Egalement sur Le HuffPost:

Séparations, nouvelles unions : quelles influences sur la fécondité ? 2010 En France, les ruptures d'unions et les remises en couple sont de plus en plus fréquentes. Diminuent-elles la fécondité, les ruptures empêchant des naissances, ou l'augmentent-elles au contraire, puisque la formation de nouveaux couples est l'occasion de nouvelles naissances ? Éva Beaujouan dresse le bilan en analysant deux enquêtes récentes de l'Ined et l'Insee, Étude des relations familiales et intergénérationnelles de 2005 et Étude de l'histoire familiale de 1999 Pour télécharger l'article, voir boîte ci-contre. Pour recevoir l'avis de parution, voir boite "En savoir plus" ci-contre Résumé (cliquez sur +) Union, séparation, nouvelle union : les comportements conjugaux en France ont évolué, et avec eux la fécondité. Sommaire (cliquez sur +)

Réinventer la famille / Revue L’autre - Idées Catherine Bonvalet, Céline Clément, Jim Ogg : Réinventer la famille.L’histoire des baby-boomers (PUF) / Revue L’autre, revue transculturelle (clinique, cultures et sociétés) Dossier parentalités (La Pensée sauvage éditions) « Réinventer la famille », selon les auteurs de ce livre, démographes et sociologues, aura été l’affaire de la génération des baby-boomers. Il y a plus d’un paradoxe dans cette histoire : les rejetons de ce qu’on peut considérer comme l’âge d’or de la famille se sont retournés contre elle arrivés à l’âge adulte et ont massivement rejeté le modèle qu’elle incarnait alors même que la plupart d’entre eux avaient gardé un souvenir positif de leur enfance. Autre paradoxe : c’est à la Libération, dans un contexte difficile de pénurie et avec une situation catastrophique du logement que cette vague démographique se forme. Les auteurs s’interrogent ensuite sur les raisons de la durée du baby-boom qui ne s’est pas limité au rattrapage des naissances lié à la guerre.

Related: