Marre du harcèlement de rue lesbophobe? Envoyez votre photo au Lesbeton! Hollaback! You have the power to end street harassment. Projet Crocodiles. Quand M6 fout en l'air le travail des asso contre le harcèlement de rue - Militante en talons. #FirstHarassed, quand les femmes dénoncent le harcèlement sur Twitter. « Mots doux », un projet qui dénonce les phrases sexistes dans l'espace public. Une élève de terminale a imaginé un projet qui transpose à l’écrit les remarques sexistes entendues à l’oral dans les rues de sa ville. Une initiative toute simple et bienvenue ! Face au sexisme, au slut-shaming ou au harcèlement de rue, il n’y a pas de « petite » initiative. Celle de SWEG, un pseudo derrière lequel se cache une Nantaise, élève en terminale Sciences et technologies du design et des arts appliqués, est toute simple, mais bienvenue. Le harcèlement de rue montré en caméra cachée aux États-Unis. Mains au cul, frotteurs et drague lourde: elles racontent le harcèlement dans les transports.
Alors que le gouvernement a lancé le 9 juillet un plan de lutte contre le harcèlement dans les transports, nous sommes allées à la rencontre des utilisatrices des transports en commun pour qu’elles nous racontent les remarques salaces, les regards insistants et les insultes auxquels elles sont quotidiennement confrontées.
Ils sont de toutes les origines sociales, argentés ou sans argent, et ethniques, Blancs, Noirs, Arabes… Ils ont tous les âges: jeunes adultes, trentenaires, quadras, quinquas, seniors… Ils sont de toutes les apparences: l’un est “propre sur lui”, l’autre “costard-cravate”, un autre encore “déglingué et pas net”, “c’est tant le mec en jogging cra-cra que le commercial BCBG”. Le profil type de l’homme qui harcèle ou agresse dans les transports n’existe pas. Il n’y a pas non plus de portrait-robot de la femme victime d’agression ou de harcèlement sexuels. Très jeunes, la vingtaine, la trentaine ou la quarantaine, elles ont tous les âges. Dégringoler de l’échelle de Darwin. Agressée sexuellement dans le métro, une blogueuse est accusée d'avoir porté une jupe. L’histoire de Jack Parker est un bel exemple de culpabilisation des victimes d’agression sexuelle.
Le 13 mars, la blogueuse, ex-rédactrice en chef adjointe du site féminin et féministe Madmoizelle, raconte son voyage dans le métro la veille au soir “après une (trop) longue journée“. La rame est bondée et la jeune femme se retrouve collée à “un quadra lambda“. Soudain, l’homme se baisse comme s’il allait ramasser quelque chose par terre. “J’ai senti ses doigts se faufiler sous ma jupe et s’enfoncer dans mon entrejambe, à travers mes collants”, raconte-t-elle. Ni une ni deux, elle se retourne, l’attrape par les cheveux et lui assène des coups.
“Sayait, il fait plus de 20 degrés et sa sort la jupe” Baisse les yeux. Tais-toi. Ravale ta colère et déglutis tes larmes. Baisse les yeux. Tais-toi. Ravale ta colère et déglutis tes larmes. Ça vous parle ? C’est ce que vous faites quand on vous traite de salope ou de pute dans la rue. Harcèlement de rue (Femmes de la rue, par Sofie Peeters) Stop Harcèlement de rue. (c’est quoi le slut shaming? Clique) L’article que j’ai écrit sur Madmoizelle raconte comment j’ai récemment répondu à différentes agressions verbales sexistes et/ou sexuelles (grâce notamment aux conseils du blog « Projet Crocodiles »), et vous pouvez le lire ici. Voilà. Cette (première?) Petite mise au point me semblait nécessaire.Ceux qui me connaissent dans la vie savent que je suis intransigeante dès qu’il s’agit de l’égalité homme-femme. "Viande à viol" : insultée, j'en ai vomi. J'ai créé des sacs contre le harcèlement de rue.
Laura a fondé l'association "Colère : Nom féminin", pour lutter contre le harcèlement de rue (Chloé Vollmer-Lo) L'idée de l'association "Colère : Nom féminin", qui lutte contre le harcèlement de rue, m'est venue il y a à peu près deux mois, quand j'ai lu l'agression de la journaliste Jack Parker, qui a été accusée par la suite de l'avoir bien cherché.
J'ai eu envie de faire quelque chose. Tenue vestimentaire, harcèlement dans l'espace public et consentement ~ Stop au harcèlement de rue. "Ma jupe ne veut pas dire oui", "Ma robe ne veut pas dire oui", "Mes talons ne veulent pas dire oui", "Mon maquillage ne veut pas dire oui", "Mon jogging ne veut pas dire oui"...
Je pourrais continuer longtemps comme ça mais au bout d'un moment ça saoule (si, si je vous assure). Au final, pourquoi se focaliser sur la tenue / le look des femmes ? Ce qui est primordial de rappeler c'est qu'une tenue, quelle qu'elle soit, ne veut rien dire. Mon corps, mes choix, mon consentement. Harcèlement de rue: qu’est-ce que ça veut dire? La mode est en ce moment à la dénonciation du harcèlement que subissent les femmes dans la rue.
La fameuse vidéo de Sofie Peeters, tournée en caméra cachée dans les rues de Bruxelle, a fait sensation. Un phénomène un peu étrange, quand beaucoup de femmes ont eu l’impression qu’on venait d’inventer la roue: ha bon, les femmes se font harceler dans la rue? Diantre ! Harcèlement de rue Plus que la vidéo, ce sont certaines réactions étonnées qui ont déclenché la prise de parole massive des femmes. Comment rendre la ville aux femmes ? La rue est censée appartenir à tout le monde.
Pourtant, hommes et femmes la vivent différemment, terrain de jeu et de sociabilité pour les uns, milieu hostile pour les autres. Urbanistes et sociologues se penchent sur la question. « 100% des femmes seraient "harcelées" quotidiennement. Ne pas tout confondre : être sifflée dans la rue est plutôt sympa ! » Avec ce tweet, écrit ce jeudi 16 avril 2015, la chef d'entreprise Sophie de Menthon (connue notamment pour avoir longtemps participé aux Grandes Gueules sur RMC) a provoqué une petite polémique sur les réseaux sociaux. Lieber Marylène, Genre, violences et espaces publics. La vulnérabilité des femmes en question. 1Qui n’a pas entendu dire qu’il était « dangereux » pour une femme de sortir seule le soir ?
Qu’il fallait « prendre ses précautions » au risque de « s’exposer » à une agression ? Et qu’une « femme bien » ne devait pas « traîner » dans l’espace public ? Au fondement de ces injonctions, il y a une évidence : celle de la vulnérabilité des femmes dans l’espace public du fait même de leur sexe. Or ce qui semble aller de soi mérite bien souvent d’être questionné comme le démontre de façon convaincante Marylène Lieber dans Genre, violences et espaces publics.
Dans cet ouvrage, issu de sa thèse de doctorat en sociologie, elle questionne la persistance des peurs féminines et leurs implications dans la vie quotidienne, plus particulièrement en matière de déplacements diurnes et nocturnes. 3C’est ce que l’auteure entreprend à partir d’une analyse des politiques publiques françaises (chap. 2) et de la production statistique sur les violences (chap. 3). Sociologie du harc?lement dans les lieux publics - Une heure de peine... , la question du "harcèlement de rue" a eu un petit succès médiatique la semaine dernière ( sur Twitter.
Qu'est-ce que le "harcèlement" ? Erving Goffman va nous aider à y voir plus clair (et va même nous donner des conseils de drague). Il y a eu beaucoup de réactions à cette prise de parole d'un nombre important de femmes. « Plutôt sympa » de se faire « siffler dans la rue » ? Personne n’est d’accord avec Sophie de Menthon. Le Haut Conseil à l’égalité entre les femmes et les hommes rend, jeudi 16 avril, son rapport sur cette violence sexiste qui « limite le déplacement des femmes dans l’espace public ».
C'est un message malvenu en pleine semaine internationale de lutte contre le harcèlement. Sophie de Menthon, patronne d'entreprise et ancienne candidate à la direction du Medef, fait partie des milliers de personnes qui ont réagi en ligne aux conclusions du rapport du Haut Conseil à l'égalité entre les femmes et les hommes, qui estime que le harcèlement de rue s'apparente à de la violence, « entame le droit [des femmes] à la sécurité et limite leurs déplacements dans l'espace public » et que chacune en a été victime, qu'elle s'en soit rendue compte ou pas. Du street art contre le harcèlement de rue. ART - Des dessins contre le harcèlement de rue.
“Stop telling women to smile” a été lancé en 2012 par Tatyana Fazlalizadeh, une artiste basée à Brooklyn.