Les Z’atYpiques – Medium. Soft skills : les compétences du futur. Les soft skills sont des caractéristiques personnelles qui permettent d’interagir de manière efficace et harmonieuse en fonction de l’environnement, des interlocuteurs et du contexte.
Ces compétences qui relèvent plus de la personnalité que du parcours sont de plus en plus recherchées par les entreprises en raison de la complexité des modalités de travail et de l’évolution de l’emploi. Les pays anglo-saxons ont été les premiers à accorder de l’importance à ces compétences comportementales dans les années 90. Ces « super-compétences » sont aujourd’hui très recherchées par les recruteurs, et font souvent la différence entre deux candidats aux compétences techniques, ou « Hard Skills », identiques. Dans une étude menée dans 15 pays, le World Economic Forum a identifié les soft skills que les salariés estiment indispensables de posséder d’ici 2020. Coloriages à imprimer gratuits. Carte mentale : L'intelligence émotionnelle.
Je découvre aujourd’hui le site « Mind Map Art » et notamment la dernière carte mise en ligne par Nitya Wakhlu : L’intelligence émotionnelle. « Ma vision de l'école repose sur deux hypothèses : la première est que tout le monde n'a pas les mêmes capacités ni les mêmes intérêts, et que nous n'apprenons pas tous de la même façon. […] La seconde hypothèse est plus douloureuse : c'est qu'il est impossible aujourd'hui à quiconque d'appréhender le savoir dans son intégralité. » dit Gardner.
Nous sommes bien tous intelligents, mais tous de manière très différente. Malheureusement, notre système scolaire fait encore la part trop belle à l'intelligence verbale linguistique et à l'intelligence logique mathématique... J’ai consacré une page du site Idées ASH aux Intelligences multiples, j’y présentais alors les huit intelligences définies par Howard Gardner, à savoir : confiance en soiempathieassertivitécongruencerésilienceautomotivation… Pour en savoir plus sur la carte de Nitya Wakhlu : L'intelligence émotionnelle : force ou faiblesse de management ? Par Frédéric Fougerat. Pour le psychologue américain Daniel Goleman, la réussite professionnelle dépend moins du quotient intellectuel ou des diplômes que du savoir-faire émotionnel de chacun.
C’est ce qu’il développe dans son livre « L’intelligence émotionnelle » (disponible en Livre de poche). En effet, quand la technologie est accessible à tous et de plus en plus fiable, quand l’information est partagée quasi instantanément sur toute la planète, les enjeux de différenciation se recentrent de plus en plus sur l’humain, sur la réussite des femmes et des hommes, leur créativité, leur développement, leur engagement, et, surtout, leur motivation à réussir et à faire réussir leur entreprise.
Etre positif avec des personnes positives Qui est ce manager à l’intelligence émotionnelle élevée qui disposerait de réels atouts personnels pour motiver ses équipes ? Sans être un adepte de la méthode Coué, ni chercher à nier les difficultés, ce manager cherche en premier lieu à voir l’aspect positif des choses. Les valeurs du candidat plus décisives que ses compétences ? C’est un constat qui fait l’unanimité : les compétences professionnelles d’un(e) candidat(e) au recrutement sont essentielles.
Mais sa capacité à mobiliser un système de valeurs pour atteindre les objectifs de l’entreprise l’est tout autant. L’une des principales raisons qui explique que, toutes choses égales par ailleurs, on puisse être très efficace au sein d’une entreprise et assez inefficace chez un autre employeur, est sans doute l’existence ou l’absence de valeurs communes à partager avec l’entreprise. Postuler à un poste, adhérer à un système de valeurs Au-delà des compétences métier et des expériences professionnelles requises, c’est l’association possible et effective des valeurs revendiquées par le candidat et celles de l’entreprise qui maximisera les chances d’effectuer un bon recrutement. Online collaborative solution that enables audience members to interact. Soft skills, le digital redonne à la personnalité sa place dans l'entreprise. Le diplôme, le parcours professionnel et les compétences «techniques» déterminent depuis plusieurs dizaines d'années la valeur d'un salarié.
Ces hard skills sont aujourd'hui en passe de céder la place aux soft skills, les qualités humaines propres à chacun. Les spécialistes reconnaissent en effet que la généralisation du digital modifie radicalement les relations externes et internes de l'entreprise. En effet, on parle d’entreprise horizontale, de réduire le nombre voir même de supprimer les intermédiaires, on mentionne également l’entreprise hors des murs, la nécessité de nouveaux leaders dans l'entreprise etc...
Recrutement : les compétences avant les diplômes ? Ce n'est pas vraiment une surprise, les diplômes ne suffisent plus pour garantir un emploi.
Les recruteurs creusent au-delà des sésames acquis auprès des écoles ou des universités et recherchent des compétences bien précises, techniques bien sûr, mais aussi de l'ordre des soft skills, ces « compétences douces » – pensée critique, résolution de problèmes, créativité, savoir-être, etc. – qui assurent l’adaptation de l’individu à des postes potentiellement très différents. Recrutement, détection de leaders… : quand les soft-skills se mettent au coeur des outils d’évaluation. "L'évaluation doit être pensée dans une perspective de leadership.
" Thomas Henriksen, Directeur Talent Assessment Solutions chez Right Management Les tests d'évaluation utilisés en dehors du seul processus de recrutement : c'est l'un des basculements de tendances que le 28ème congrès HR a permis de mettre en lumière.