Comment la testostérone vient aux hommes (et aux femmes aussi) «Effets du comportement de genre sur la testostérone chez les femmes et les hommes», annonce le titre de l’étude*.
Minute: le mécanisme n’est-il pas censé fonctionner dans l’autre sens? La testostérone n’est-elle pas un facteur explicatif de certaines attitudes associées au genre masculin – forte compétitivité, agressivité marquée, moindre empathie? Les idées courantes vont globalement dans cette direction-là. Mais l’expérience réalisée par Sari M. van Anders, Jeffrey Steiger et Katherine L. Goldey, trio interdisciplinaire des universités du Michigan et George Washington, montre, au contraire, une «relation inversée»: plutôt que de hauts niveaux de testostérone engendrant des comportements considérés comme masculins, c’est le fait d’adopter ces comportements qui fait grimper le niveau de testostérone.
Pharrell Williams, Antoine de Caunes et les stéréotypes de genre. The Little Girl from the 1981 LEGO Ad is All Grown Up, and She’s Got Something to Say. **A Women You Should Know Exclusive** By Lori Day – In mid-January, this article on The Huffington Post hit my Facebook newsfeed like a Justin Bieber deportation petition—it was everywhere.
In it, HuffPost Family News Editor Jessica Samakow writes: Pay attention, 2014 Mad Men: This little girl is holding a LEGO set. The LEGOs are not pink or “made for girls.” She isn’t even wearing pink. Something about this piece with the iconic 1981 ad tapped the zeitgeist and it became one of HuffPo’s more viral articles in recent memory, receiving over 60,000 shares. As I was planning my interview with Rachel Giordano, I saw this blog post by Achilles Effect, and knew immediately what Giordano should be holding in the new version of the photo. “Break the big story of the world’s best cake with the Heartlake News Van! Cake? As Achilles Effect blogger Crystal Smith notes, “This toy had so much potential to inspire young girls who think journalism would be a cool career.
Ne nous trompons pas de peur. Je suis las des débats sur le genre.
Néanmoins, je m’y colle encore une fois. Je suis parti d’un billet rédigé par M. François-Xavier Bellamy, adjoint au maire de Versailles, ancien élève de l’École normale supérieure et agrégé de philosophie, billet qui m’a un peu agacé – déçu, surtout, j’attendais mieux – et m’a donné le carburant nécessaire pour écrire ce texte entre minuit et deux heures du matin. Oui, le concept de genre existe. Pourquoi les femmes sont-elles plus petites que les hommes ? #lefilm. Alors si ce n’est pas la sélection sexuelle, il reste la sélection naturelle.
Les grands seraient-ils meilleurs à la chasse, ont-ils rapporté les meilleurs mammouths à la grotte, les plus gros poissons et les meilleurs fruits des arbres ? Et comme les femmes se penchaient pour cueillir les fruits, elles auraient eu plus intérêt à être petites ? Sauf qu’on sait (grâce à l’anthropologie) que la galanterie est un gadget assez récent et peu généralisable, les femmes ne sont pas cantonnées aux tâches légères/simples, qu’elles sont chargées de tâches très difficiles et demandant de la force physique, dans plein de cultures et régions du monde, et que cela en a probablement toujours été ainsi. Le film montre plein de femmes qui portent des charges hallucinantes et font des boulots durs. Il y a de bonnes raisons de penser qu’« il vaut mieux » être grande, pour une femme, si on veut avoir des enfants.
Bon alors c’est quoi la réponse ? Serrez ma haire avec ma discipline. Je vais partager avec vous un souvenir qui n’a de cesse de me faire songer.
C’était il y a deux ans environ, dans un colloque sur l’interdisciplinarité. J’y présentais quelques réflexions sur les rapports méthodiques entre l’analyse des séries télévisées et l’analyse littéraire des textes. Je vous passe les détails ; l’article est encore à paraître. Cette communication s’inscrivait dans l’un de mes chantiers un peu plus vastes : l’étude de la progressive disciplinarisation et institutionnalisation des études sur les séries, distinguées peu à peu à la fois des études médiatiques, des études télévisuelles et des sciences de l’information et de la communication. J'enseigne le genre. Et je continuerai à le faire. Après la Suède, la Chine veut (re)neutraliser ses pronoms personnels sujets. Après la Suède, c'est au tour de la Chine de neutraliser le genre de ses pronoms sujets.
Enfin, plus précisément de les re-neutraliser, précise Victor Mair, professeur de chinois à l'Université de Pennsylvanie sur le blog LanguageLog. Alors que les Suédois en ont créé un de toutes pièces (dans la langue de Stieg Larsson, «il» se dit «han», «elle», «hon» et le neutre, donc, «hen»), notamment pour permettre à leurs enfants «d'être la personne qu'ils veulent être», les Chinois avaient autrefois un seul pronom sujet. Celui-ci se prononçait «tā» et s'écrivait originellement 他, avec le radical «humain» (le radical étant une partie du caractère chinois ou du mot apportant une information sémantique ou linguistique), et s'utilisait aussi bien pour le féminin, le masculin et le neutre – «il» et «elle». publicité.
Why I Wear Nail Polish — Gender Justice/Feminism. A teenage girl sat across from me on the tram today.
“Excuse me,” she asked, “are you a boy or a girl?” “Boy,” I replied. She leaned back and said, “So why are you wearing nail polish?” I stared at her, taken aback by the venom in her voice. “No reason,” I eventually responded. What I didn’t tell her. Albums 3-7 ans. Why Queer Fat Femme? Welcome to the Queer Fat Femme Blog Guide to Life!
Featuring advice, glitter, fat fashion, travel, performance recaps, community building and sardonic anecdotes from the life of Bevin Branlandingham. Why Queer Fat Femme? I believe in the power of community to bring strength to marginalized identity. I believe in giving power to that identity. I believe claiming what has kept you down in the past as your own is part of the journey to loving yourself and making your own path. I believe there is no one right way to be Queer, Fat or Femme. For me I identify as Queer because I do not acknowledge a gender binary and most of the people I date don’t identify exclusively (if at all) as women. J'enseigne le genre. Et je continuerai à le faire.