Sylvie Blocher : les vivants (1/2) Pour que ses œuvres habitent ce lieu en cohérence avec ce qu’elles sont en profondeur, l’artiste commence par recouvrir certains mots des 90 sentences religieuses et moralistes disséminées sur l’architecture de cet ancien Carmel.
Les sentences Nul ne peut vivre ici s’il ne veut s’humilier de tout cœur pour Dieu ; Prenez mon joug sur vous, car mon joug est doux et mon fardeau léger, deviennent Vivre ici ; Sur vous léger. C’est étonnant de constater qu’en enlevant les mots qui condamnent, le langage devient charnel, poétique, amoureux, philosophique, sourit l’artiste… ét [erniT] é, Création pour le musée d'art et d'histoire de Saint-Denis, 2016 Mais à Saint-Denis l’artiste montre aussi pour la première fois « Etats d’urgence », sa dernière création née après les attentats de Charlie Hebdo et concrétisée après ceux de novembre 2015.
Placées dans les anciennes cellules des religieuses, 5 vidéos présentent 5 textes qui ont provoqué la mort de leurs auteurs. Etats d'urgence, 2016. Touché(e). 1. Sylvie Blocher. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Pour les articles homonymes, voir Blocher. Sylvie Blocher (née en 1953) est une vidéaste française. Biographie[modifier | modifier le code] Sylvie Blocher est née en 1953 à Morschwiller-le-Bas en Alsace. Dès son plus jeune âge, elle collectionne déjà des dispositifs optiques comme des vues stéréoscopiques. Dans les années 1980-90, elle prépare une maîtrise et un CAPES d’arts plastiques. Parallèlement, elle travaille avec un jeune écrivain Gérard Haller, avec qui elle développe sa démarche artistique. En 1991, Sylvie Blocher lance le concept ULA (Universal Local Art), suite au manifeste Déçue, la mariée se rhabilla. Elle reçoit la médaille d’Or à la Biennale d’Alexandrie en Égypte en 1995. Avec l’architecte-urbaniste François Daune, elle crée, en 1997, Campement Urbain, avec lequel elle travaille les nouvelles urbanités. Sa démarche[modifier | modifier le code] Cette transversalité est née de son intérêt pour les textes de Goebbels. Art Basel. Frieze London. Jennifer Flay.
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Jennifer Flay au FILAF en 2013 Jennifer Flay, née en à Auckland (Nouvelle-Zélande), est une galeriste française[1] spécialisée dans l'art contemporain, devenue en 2003 la directrice artistique de la Foire internationale d'art contemporain (FIAC). Biographie[modifier | modifier le code] Débuts[modifier | modifier le code] Après avoir obtenu une maîtrise d'histoire de l'art, Jennifer Flay arrive en France en 1980 et travaille de 1982 à 1991 dans plusieurs galeries d'art contemporain : stagiaire chez Catherine Issert à Saint-Paul-de-Vence de 1982 à 1984, puis assistante de direction chez Daniel Templon de 1985 à 1987, et Ghislaine Hussenot à Paris de 1987 à 1990[2],[3].
Foire internationale d'art contemporain. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
FIAC, 18-21 octobre 2018. La Foire internationale d’art contemporain ou FIAC est une manifestation d'art contemporain qui se déroule chaque année depuis 1974 au mois d’octobre à Paris. Pendant plusieurs jours, cette exposition artistique et commerciale devient le lieu de rencontre internationale entre galeristes, collectionneurs, conservateurs, directeurs de musées et personnalités du monde de l’art contemporain international. Elle est actuellement dirigée par Jennifer Flay. Historique[modifier | modifier le code] Foire Internationale d'Art Contemporain - Paris.
D.c.a / Association française de développement des centres d’art. Actualités. Réseau d'art contemporain-France. Documents d'artistes. Les Centres d'art. Les premiers centres d’art ont émergé en France dans les années 70.
Ils sont des lieux de production et de diffusion de l’art contemporain. Ils entretiennent des rapports privilégiés avec la création artistique vivante et se tiennent au plus près de l’actualité artistique. Conçus comme des lieux de recherche et de création, leurs activités se déploient à travers un programme annuel d’expositions, des éditions et un travail de médiation auprès des publics les plus larges. Est Ensemble. CIPAC. Les Artothèques. Né à Berlin au tout début du XXème siècle, le concept d’artothèque s’est répandu et institutionnalisé en France dans les années 1980.
Il offre à chacun la possibilité de découvrir les œuvres d’art contemporain, mais plus encore de vivre avec elles, dans l’intimité quotidienne d’un appartement, d’une maison ou d’un lieu de travail. > Les artothèques membres de l’association ADRA / Association de Recherche et de Développement sur les Artothèques _Artothèque de VitréEspace de prêt 6 rue de Verdun 35500 Vitré _Artothèque Sud - Nîmes 9 rue Emile Jamais 30900 Nîmes. L'art contemporain en France - CIPAC. Qu’on l’appelle « école des beaux-arts », « école d’art » ou « école d’art et design », l’école supérieure d’art est un lieu en prise directe avec le monde et les professionnels de la création contemporaine, qui donne les moyens de la création à travers une pédagogie de projet, encourage et initie des situations d’expérimentation, apprend aux étudiant-e-s à analyser les œuvres, les images et les signes, dans une perspective résolument critique et pratique.
Sans finalité prédéterminée, elle constitue un milieu où les étudiant-e-s peuvent construire autant des nouvelles formes que des métiers inédits dans les champs de l’art et du design.