Epjt.fr. Les mots sont de Mika, ultra parisien. « Je suis père de famille, j’ai une femme et trois enfants, mais 95 % de ma vie, c’est mon club. Cela se fait aux dépens de ma famille. C’est ma drogue. Le PSG, c’est ce qui nous fait respirer. A Paris, si vous nous enlevez le PSG, on ne sait pas pourquoi on va se lever le matin. » Chez les ultras, il n’y a qu’une seule priorité : le club. Être ultra n’est donc pas qu’une question de foot. Cette cohésion sociale, c’est à Saint-Etienne qu’elle est la plus exacerbée. Le stade est le poumon de la ville comme nulle part ailleurs. « Le foot, il n’y a que ça à Saint-Etienne, témoigne Julien Sablé, ancien capitaine emblématique des Verts. L’image est secondaire. Être ultra ne se limite donc pas aux actions menées pour son club. Récemment, ils ont invité des réfugiés sahraouis à assister à un match après avoir effectué une collecte de vêtements.
Un ensemble de valeurs qui mène inéluctablement à la politisation. Epjt.fr – Les Ambassadeurs. Dans les deux conférences françaises, Nord et Sud, qui composent le championnat Élite, aucun club ne se prive des imports américains. En posséder un, voire deux, aux postes clés, généralement ceux de l’escouade offensive, semble être la condition sine qua non pour exister au haut niveau et se donner une chance de décrocher le fameux Casque de diamant récompensant le champion de D1. Le début du championnat 2016 l’illustre encore, avec l’exemple frappant des Dauphins de Nice. Surprenants leaders de la première division après cinq journées disputées sur les dix que compte la saison régulière, les Niçois devancent aujourd’hui les grosses cylindrées que sont le Flash de La Courneuve et ses neuf titres nationaux, les Cougars de Saint-Ouen-l’Aumône (champions en titre) ou encore les Argonautes d’Aix-en-Provence (huit titres).
Un début de saison tonitruant et presque inespéré qu’ils doivent en grande partie à un homme : leur import américain Rondell White. L'Equipe Explore - Femke van den Driessche, la fille qui avait un petit moteur dans son vélo. VICTORIA RAVVA | Yann SchreiberYann Schreiber. “Elles doivent encore marquer deux points pour nous battre ! Rien n’est fini !” La Halle Carpentier est en ébullition. C'est la finale du Championnat de France 2015 de volley-ball féminin.
Le RC Cannes est au bord du gouffre. Deux manches à une, 23-19 pour le Cannet au tableau d’affichage. Mais ce soir, pas question de perdre. Pour cette ultime épreuve, la Franco-géorgienne prie. Ajouté à ses 19 titres, 18 Coupes de France et 2 Ligues des Champions. Mais voilà, Victoria pratique le volley-ball. “Elle pouvait gagner un match à elle toute seule. Une attitude conquérante saluée par le monde du volley-ball français mais aussi européen. Oui, il y a eu une Une de L’Equipe en 2003, quand le RC Cannes capturait pour la seconde année consécutive la coupe européenne. Toute sa carrière sportive n’a été que plaisir du jeu. Naturalisée française en 2002, elle a porté les couleurs de l’équipe de France entre 2004 et 2007. "Et j'ai joué pour la France! — Shorthand Social. "Quand j'ai appris qu'Osama Abdul Mohsen avait été invité à venir en Espagne, qu'il était redevenu entraîneur, qu'il avait rencontré les joueurs du Real Madrid, je n'en revenais pas.
C'est complètement fou comme histoire. J'aurais voulu être à sa place à ce moment-là... " S'il y a une pointe de jalousie derrière ces quelques mots spontanés, elle se cache loin, très loin, derrière l'immense joie qu'Ahmad Ismail manifeste pour son ancien entraîneur Osama. Footballeur professionnel au club d'Al-Ittihad à Alep, Ahmad a quitté son pays natal en février 2013.
"On ne s'est pas senti accueillis. L'Allemagne. Fin 2014, une sulfureuse grogne xénophobe s'est élevée dans le ventre industriel de la capitale de la Saxe. Manifestations pro-PEGIDA dans les rues de Dresde, le 19 octobre 2015. Depuis la fin de l'année dernière, la vie d'Ahmad s'est adoucie, l'aidant à oublier, un peu, l'ombre PEGIDA qui plane toujours sur la ville. Zohir, le père d'Ahmad, est devenu le chef de cette fratrie improvisée.