Self et faux-self: instance psychique, structure psychologique de l'inconscient (winnicott). Migration et faux-self : perspectives récentes. Auteur(s) : Alberto Eiguer Psychiatre, Président de l’Association internationale de psychanalyse de couple et de famille, directeur de la revue Le Divan familial. 154, rue d’Alésia 75014 Paris Dans ce document, nous ferons référence à une dimension de la migration qui nous paraît au centre de la crise, celle de l’identité.
Une migration représente un traumatisme, mais un traumatisme particulier. Comme dans tout traumatisme, le moi est bouleversé, déréglé. L’affect de perte, bien qu’important, ne semble pas caractériser la situation du migrant. Reconnaître la spécificité d’un sujet appartenant à une minorité est le produit d’un long travail. Son identité se forge en partie par la reconnaissance sociale de son groupe ; son estime de soi dépend de l’appréciation extérieure ; si elle est négative, son image de soi en pâtit le conduisant le cas échéant à s’auto-déprécier. Distorsion du moi en fonction du vrai et du faux self - Inventeurs de lectures. Donald W.Winnicott La mère suffisamment bonne Petite bibliothèque Payot La mère suffisamment bonne (5bis)
Shrek, ou régression infantile et faux self? Shrek est le personnage principal des films d’animations éponymes sortis en 2001 et réalisés par Andrew Adamson (Shrek 1 et 2) Chris Miller ( Shrek 3) et Mike Mitchell (Shrek 4).
Shrek est un ogre qui vit seul dans un marécage. Tout se passe bien jusqu’au jour où des créatures errent dans sa forêt. Il va donc voir le seigneur Lord Farquaard qui aurait expulsé ces personnes de son royaume. Ce dernier voulant épouser la princesse Fiona, afin de devenir roi, propose un marché à Shrek: S’il va au secours de Fiona, Lord Farquaard lui promet que son marais sera de nouveau comme avant. Shrek part donc délivrer Fiona, en compagnie d’un âne. Fiona est victime d’une malédiction: elle devient ogresse chaque soir à la tombée de la nuit jusqu’au petit matin. Shrek représente la régression aux stades libidinaux retrouvée dans la sexualité infantile décrite par Freud.
Fiona, quant à elle, affiche l’image de la princesse parfaite. Shrek retrouvera Fiona avant son mariage. Like this: J'aime chargement… Self faux-self et self héroique - LAPARQUE. Journal de bord:
WINNICOTT, le faux_self. Penser la crise. Dans notre société qui réserve un triomphe au paraître, à l’immédiateté et au faire, nombreux sont ceux qui ne vivent pas réellement leur vie.
Ils avancent en présentant une collection de masques, espérant ainsi correspondre aux attentes des autres. Le pédiatre et psychanalyste Donald Winnicott a appelé faux-self ce type de personnalité organisée autour d’un vide intérieur. Au fil du temps, le faux-self s’est forgé une carapace, un carcan de règles, de devoirs, de croyances et d’interdits qui l’obligent à imposer à la face du monde un être factice. Sa quête éperdue de lui-même dans le regard de l’autre le conduit inexorablement à se perdre. La crise surgit notamment lorsque la détresse de ne pas être soi devient insupportable. À travers cet ouvrage, Danièle Zucker explique comment un travail psychothérapeutique profond, intense et souvent fécond peut être engagé avec les patients en crise. Sommaire. Le-Vide-en-Psychanalyse.pdf. Personnalité distanciée.
Patrick Juignet, Psychisme, 2011.
Nous décrivons ici une forme de personnalitée entrant dans la sphère psychotique*. La personne donne une impression d'originalité, d'être un peu hors du monde. L'adaptation sociale et relationnelle se fait grâce à des recettes, mais elle est suffisante pour permettre d’exercer un métier, d’avoir une vie de famille. Cette forme est également répartie dans les deux sexes. On parle parfois de personnalté schizoïde mais le terme est a éviter car il évoque une schizophréniea minima, ce qui n'est pas le cas * Nous employons le qualificatif de "psychotique" pour catégoriser d’une forme d’organisation de la personnalité dont la principal détermination vient de troubles relationnels de l’enfance (voir notre classification par pôles) et non pas une maladie comme la psychose maniaco-dépressive ou la schizophrénie.
L’enfance. Éloge du faux-self. Je n’aime pas la transparence dans les rapports humains, les gens qui croient pouvoir excuser leurs pires vacheries verbales en clamant : « Je suis comme ça, moi !
» ou encore : « Tu me connais, je dis ce que je pense ! », alors même qu’il s’agit, le plus souvent, de dire sans réfléchir aux conséquences tout ce qui leur passe par la tête, sans jamais faire exercice de ces filtres les plus élémentaires qu’on appelle autrement « délicatesse », « politesse » ou « diplomatie ». Au contraire, ils croient à une vérité une et indivisible, bien évidemment en leur possession, et à laquelle vous avez droit sans avoir rien demandé.
Car vous l’avez compris, je ne parle pas de ces situations, parfois désagréables, au cours desquelles on reçoit une réponse déplaisante, mais sincère et argumentée, à une question que l’on est en droit de regretter d’avoir posée. Je parle de ces vérités taillées à la serpe que l’on vous assène, au nom d’une supposée transparence. Les « hauts potentiels » et le « faux-self » La personnalité « as if » : la création du self face au vide. Le moi, le soi, l'ego, le faux self et s'éveiller à soi-même.