Hindouisme. La tolérance des hindoux, en matière spirituelle est remarquable.
Nul pays n'offre une telle palette de cultes religieux (hindouisme, islam, bouddhisme, christianisme, jaïnisme) que l'Inde, sans compter une multitude de cultes locaux. De par sa constitution, l'Inde est religieusement neutre. Aucune distinction de classes ou de sectes religieuses n'est reconnue et toute référence à la religion est exclue. Ce pays a cependant conservé un certain sens du sacré, en considérant que tout personnage illustre était une représentation du divin. Les funérailles hindoues, la crémation. La mort en Inde. Rite Bouddhiste. Rites funéraires : entre angoisse et sérénité.
Il y a environ 100 000 ans, chez l’homme de Néanderthal, apparaît le souci de s’occuper des morts ; les cadavres sont disposés dans des fosses enduites d’ocre, ocre qui, étrangement, demeurera jusqu’à nos jours la couleur de “celui qui est passé”.
C’est en effet la teinte de base des vêtements du bhikkhu (le moine du bouddhisme ancien), de celui qui est “mort” à la vie laïque pour “renaître” à la vie monastique. Les premières ébauches de rites funéraires apparaissent, les morts sont accompagnés d’objets usuels (armes, bijoux) de fleurs ou de nourriture. Une spiritualité est en train de se construire avec probablement son cortège de questions sur la mort, l’après-mort, le sens de la vie. Au cours de l’histoire de l’homme diverses conceptions verront le jour, liées directement à des représentations différentes de l’après-mort, d’où une influence sur les rites (embaumement, inhumation, crémation, etc. ). La conception de la mort dans le bouddhisme ancien Les rites de passage Les funérailles.
Le rituel funéraire bouddhiste. Rites funéraires bouddhistes. Bouddhisme Chez les bouddhistes, plusieurs types de cérémonies sont possibles.
En général, le corps est placé sur le côté droit, la main droite au niveau du menton, la main gauche sur la cuisse gauche. On procède à une lecture auprès du défunt du Livre des Morts Tibétains. Des offrandes sont offertes au bonze et ensuite à la famille. Un exemple de rites funéraires à Shanghai En juin 2004 notre oncle WU Yuan Chun décédait dans son logement à Shanghai dans le district de Pu Tuo. Ensuite le corps est placé sur son lit et y reste pendant trois jours. Enterrement bouddhiste et cérémonie funéraire bouddhique. Le bouddhisme est une religion qui a remis en cause certains concepts de l’hindouisme.
On l’apparente parfois plus à une philosophie qu’à une religion. Elle est très différentes des religions occidentales, entre autres dans son approche de la mort. Les bouddhistes attachent notamment beaucoup d’importance aux fleurs de deuil blanches. Le bouddhisme ne prévoit pas de rites spécifiques pour les personnes défuntes. Avec sa forte expansion géographique, les pratiques se sont diversifiées de manière sensible en fonction des coutumes locales. Christianisme. Le Christianisme, religion monothéiste issue du judaïsme (Ancien Testament), est inspiré par Jésus de Nazareth, juif lui-même, né à Bethléem, en 7 (ou 5) avant notre ère et mort en l'an 30 à Jérusalem, crucifié par Ponce Pilate.
Jésus se présente comme le "Fils de l'homme" et annonce le Royaume des cieux. Ses adeptes accueillent alors la Bonne Nouvelle (en grec évangélion, "évangile") et professent la bonne parole, à commencer par les apôtres, nommés par lui. Cette religion croit à un Dieu unique et transcendant : Yahvé et propose un message universaliste qui s'adresse à tous les hommes. Rite Catholique. Rite Protestant. Judaïsme. Le judaïsme adhère aux principes moraux et spirituels qui forme la base de sa foi.
Rites funéraires juifs. Religion juive La Tahara, toilette purificatrice est exécutée par un membre de la Hevra Kadicha.
Des psaumes sont récités durent les différentes étapes de la toilette et le corps est entièrement entouré d’une étoffe blanche. Ensuite, une veillée réunit la famille qui lit des prières. Dans les premières 24 heures, le corps est mis en bière et la tête du défunt repose sur un petit sac contenant de la terre d’Israël. La même terre est répandue sur le corps du défunt.
La halakha (loi juive) prévoit 3 étapes de deuil qui s’étendent sur 12 mois: les 7 premiers jours (chiv’a), période marquée par les visites de la communauté et imposant de nombreux interdits ; période de 30 jours (chlochim) et l’année. Texte en pdf ici> pdf downloaden Réagir à l’article? Rite Israélite. Deuil dans le judaïsme. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Présentation du pain d'affliction à une famille d'endeuillés Le deuil ( hébreu : אבלות avelout ) a lieu dans le judaïsme lorsqu'une personne perd son père, sa mère, son frère, sa sœur, son fils, sa fille ou son conjoint [ 1 ] . Les prescriptions de deuil ont pour but de rendre hommage au mort ( kevod hamet ) et de soutenir les endeuillés au cours de leurs divers phases de deuil ( ni'houm avelim ). Les rites et coutumes qui s'y rattachent varient en fonction de l'origine culturelle du défunt et du degré d'observance des parents. La mort, les rites funéraires,le deuil et l'autopsie chez les Juifs et les Musulmans. Islam. Qu'est-ce que l'Islam?
Une religion, bien évidemment. Rites funéraires dans l’Islam. Religion islamique Après le décès, dès que possible l’imam vient au domicile du décédé pour réciter à l’oreille droite puis à l’oreille gauche la prière dite de Shahâdâ: « il n’y a de Dieu qu’Allah » dit à l’oreille droite et « Mahomet est le prophète d’Allah » dit à l’oreille gauche.
Le déroulement du service funèbre en islam. Rites funéraires Baha’i. Notre vie terrestre, selon des explications données par Bahá’u’lláh, est comparable à la vie du fœtus dans le ventre de sa mère : ignorant presque tout du monde extérieur, le fœtus acquiert cependant des aptitudes qui lui permettront de s’adapter à ce monde et d’y parfaire son développement. De même, au cours de cette vie, la seule qui nous soit accordée sur terre, l’âme acquiert les outils nécessaires pour affronter l’autre vie où son développement se poursuivra sous forme d’un cheminement vers Dieu.
Cette image me paraît très parlante pour essayer d’entrevoir la réalité du sens de la vie et celle du monde spirituel qui nous attend après la mort. Je vois ma vie comme étant un voyage dont la destination est le monde spirituel. Pour moi, l’être humain est constitué de plusieurs dimensions, il n’est pas seulement un corps ou un mental, il est également, par essence, un être spirituel car il est doté d’une âme. . « Ô Fils de l’Esprit !