Docker monte un plan conteneurs avec Kubernetes. Kubernetes, l'orchestrateur de containers qui passe à l'échelle mondiale. Kubernetes 1.9 apporte le support de Windows Server. La version 1.9 de Kubernetes a été livrée et comporte l'API Workloads pour les charges de travail, une nouvelle API de stockage de conteneur (en alpha) et le support de Windows Server (en bêta).
Livrée en décembre, la dernière version 1.9 de Kubernetes, le framework d'orchestration de conteneur open source, généralise la disponibilité de l'API Workloads pour les charges de travail, comporte une version alpha d'une nouvelle API de stockage de conteneur et inclut le support en bêta de Windows Server. L'API Workloads généralement disponible en version de production Avec la mise à jour de Kubernetes, l'API Apps Workloads, arrivée en version bêta dans Kubernetes 1.8, passe en version de production. Cette API permet de définir les charges de travail en fonction de leurs comportements, ce qui peut s’avérer fort utile pour les applications ayant besoin de temps d’exécution importants, voire persistants. Docker intègre Kubernetes.
Pour son cinquième anniversaire, Docker nous ménage des surprises. Quelques jours après nous avoir avisés du départ prochain de son directeur technique et fondateur Solomon Hykes, le spécialiste du conteneur annonce l’intégration de Kubernetes. Pour être honnête, ce n’est pas tout à fait une surprise puisque l’éditeur franco-américain avait déjà évoqué cette possibilité à l’automne dernier lors de la DockerCon Europe à Copenhague. La nouvelle version Enterprise Edition (EE) 2.0 n’abandonne toutefois pas l’orchestrateur-maison Swarm.
Les deux produits peuvent d’ailleurs opérer simultanément sur le même cluster. « Ainsi les développeurs ne doivent pas choisir le type d’orchestration et les équipes d’exploitation ont la possibilité de choisir des orchestrateurs de manière interchangeable », explique l’éditeur dans un communiqué. Windows Server 2019 disponible en préversion avec un meilleur support de Linux et Kubernetes et des améliorations de sécurité. Microsoft a annoncé hier que la prochaine version majeure de Windows Server sera généralement disponible au deuxième semestre de cette année, et dès maintenant vous pouvez tester une préversion de Windows Server 2019 via le programme Insiders.
Avec Windows Server 2019, Microsoft supporte mieux les scénarios de cloud hybride, pour répondre au besoin croissant des clients de combiner des environnements on-premises et cloud. En septembre 2017, Microsoft avait déjà annoncé une préversion technologique de son projet Honolulu, une interface Web pour la gestion de Windows et de Windows Server, avec entre autres objectifs de simplifier la connexion des déploiements existants de Windows Server aux services Azure.
Avec le projet Honolulu, Windows Server 2019 va faciliter la connexion des logiciels sur site aux services Azure tels qu'Azure Backup, Azure File Sync, la reprise après sinistre et bien plus. Source : Blog Microsoft Et vous ? Lesquelles appréciez-vous le plus ? Containers : les quatre tendances pour 2018. Les containers Docker n’ont certes que 5 ans d’existence, mais leur écosystème a considérablement évolué et continuera d’évoluer dans les 12 prochains mois. 2018 sera rythmé à coup sûr au son de cette technologie.
A quoi faut-il donc s’attendre ? Kubernetes devient l’orchestrateur par défaut Le marché des orchestrateurs de containers s’est étoffé ces dernières années, avec Apache Mesos, Docker Swarm et Kubernetes, ce projet né chez Google. Mais jusqu’alors le marché restait assez flou. Docker Swarm restait un favori car développé par Docker, et Mesos offrait une approche plus mature en étant ouvert aux autres formats de containers. De son côté, Kubernetes était l’outil préféré des utilisateurs qui souhaitaient surtout des fonctions de scalabilité à grande échelle, comme celles offertes par son prédécesseur Borg.
Récemment, Microsoft a d’ailleurs rallié la cause du projet, en supportant largement la technologie sur Azure, suivi de peu par AWS. Swarm et Kubernetes: Docker mise sur la cohabitation. A partir de la version 17.06, dont le lancement est prévu pour le premier trimestre 2018, la version Enterprise Edition de la plateforme Docker entrera dans une nouvelle ère : celle de la cohabitation. Swarm, l’orchestrateur-maison de containers de Docker, côtoiera de façon native Kubernetes, l’autre orchestrateur né chez Google et aujourd’hui entre les mains de la Cloud Native Computing Foundation. Objectif : capitaliser sur les outils Entreprise de Docker pour simplifier l’administration de clusters Kubernetes, réputés comme étant particulièrement difficiles à mettre en place et surtout à maintenir et à opérer.
Concrètement, la prochaine version de Docker Enterprise Edition embarquera une distribution de Kubernetes. Une distribution que Docker souhaite complète, « upstream » et sans wrappers : celle embarquée sera la version « Vanilla » de la CNCF. Un Kubernetes dopé aux outils pour entreprises Les orchestrateurs, bientôt une commodité ? Proxmox VE 5.2 est disponible avec Cloud-Init et Let’s Encrypt. Proxmox Server Solutions GmbH, développeur de la plate‐forme de virtualisation libre Proxmox VE, a publié Proxmox VE 5.2.
Tufin lance une nouvelle solution d’automatisation de la sécurité des conteneurs. Par Bertrand Garé, le 13 avril 2018 12:09 L’éditeur de solutions d’orchestration de règles de sécurité a développé une nouvelle solution Cloud qui étend les services de règles de l’éditeur aux environnements en conteneurs et aux microservices. L’accès à Orca, le nom de l’extension des services de Tufin, est désormais ouvert dans un programme Beta en accès libre à partir du site de l’éditeur. Elle autorise une utilisation illimitée avec un support dédié et permet d’intégrer le logiciel dans les suites d’outils DevOps. Le logiciel autorise principalement d’identifier et contrôler l’accès externe aux conteneurs vulnérables et limiter l’impact d’une compromission.
Tufin Orca identifie et protège les conteneurs vulnérables accessibles depuis l’extérieur. OpenStack épouse les conteneurs et l’intégration continue. Réunie à Vancouver, la communauté OpenStack a vu le lancement de Kata Containers, solution d’infrastructure de conteneurs sécurisés.
La plateforme cloud open source en profite pour présenter le projet Zuul sur la livraison continue. OpenStack ne veut pas vivre dans l’ombre des conteneurs et de Kubernetes. Si le second devient petit à petit un standard pour gérer les clusters, la plateforme cloud open source entend bien se faire entendre sur la technologie de conteneurisation. Elle vient de le rappeler à Vancouver lors d’un rassemblement de la communauté. A cette occasion, OpenStack a enfin livré la version 1.0 du projet Kata Containers. Cette initiative a vu le jour en décembre 2017 et se résume comme étant une technologie de VM plus légère, plus rapide et plus sûre.
La fondation OpenStack dégaine Kata Containers 1.0. Quelles tendances dans le monde des conteneurs ? L’adoption en mode production de la technologie des conteneurs serait encore relativement lente. Mais après l’avoir essayé, les entreprises sont enclines à l’adopter de manière assez rapide. C’est ce qui ressort de deux enquêtes que viennent de publier la Fondation Cloud Foundry[1] et la société Datadog, spécialisée dans le monitoring des applications cloud hybrides. Malgré l’engouement durable suscité par les perspectives offertes par les conteneurs, une entreprise sur quatre seulement utilise cette technologie en production, une hausse faible de 3% par rapport à 2016, selon l’étude de la Fondation Cloud Foundry.